Les deux cavaliers frappèrent les rangs ennemies en premier.
Sir Brennelle le premier une poignée d'ungor s'était regrouper pour lui opposer leurs lances dans l'espoir de le désarçonner en abattant sa monture.
Sir Brennelle loin d'appréhender la situation, fit accélérer Devoir au maximum, alors que les hommes bêtes , bien que musculeuses et coriaces , reculait d'un pas, voyant la confiance sans borne du chevalier.
Alors qu'il arrivait sur le Soldat en proie à 3 adversaires , derrière on se battaient pour la domination du bourg.
Les hommes d'armes avaient un bon équipement fourni par le duché, et la troupe était constitué de soldats aguerris pour la plupart. De leur cotés les engeances du chaos possédaient de simples armes primitives mais une sauvagerie et une ténacité inhumaine pour faire couler le sang.
La bataille prit des allures macabres, lorsque les premiers combattants commencèrent à tomber. Il n'était pas rare de voir un homme bête venant de vaincre un humain qui usant de ses longues griffes commençait à l'étriper.
Devant , eux , Brennelle , se préparait à prendre de dos les ungors assaillant l'homme qui ne flanchant pas lançait autour de lui de large coups pour déchirer les poitrails nues de ceux assez téméraires pour s'avançait.
Faldar remarqua qu'il ne semblait connaitre ni la peur , ni la douleur , quand bien même il était évident qu'il était blessé. Cette vision , lui rappela ses moments d'enfance lorsque qu'il était dans un état similaire après le pillage du château de sa famille.
Le soldat , perfora le premier s'approchant , mais laissant sa garde ouverte , il fut perforé par la lance d'une de ses bêtes. Loin d'être mort , il dégaina un couteau avant de le planter dans l'œil d'une des bêtes. A ce moment les deux cavaliers arrivèrent à toute allure.
Il ne firent pas de quartier , Brennelles décapita le premier , alors que Faldar élimina le dernier encore debout, deja blessé par une dague. Son épée bâtard fut encore souillé , et sa tunique sera certainement très difficile à nettoyer mais l'engeance s'effondra sans même agoniser au sol. Une justice expéditive.
Où sont vos hommes soldats ? Nous devons les encercler !
Exigea hâtivement le chevalier.
Le soldat semblait ignorer la question , comme inconscient qu'on lui adressait la parole , le regard fixé vers la mêlée.
Il retira la lance , oubliant son hémorragie , il se releva , sans même retirer les tripes de ses armes , s'élança vers le combat.
"- A MORT ! TUEZ LES TOUS ! "
Fut son cri de guerre avant de courir à nouveau vers le massacre.
"- Faldar , ils sont de dos , encore une charge et ils seront en déroute , Reste avec moi ! "