[RP groupé] La première pierre...
Modérateur : Equipe MJ
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[RP groupé] La première pierre...
Par le passé, Wilhelm Ebenhart avait prouvé tout autant ses compétences que ses difficultés face à certains mystères. Néanmoins, les Magisters décisionnaires de son collège pensaient qu'il était capable de mener à bien une nouvelle mission. Ils avaient fait en sorte qu'il puisse démarrer ses recherches de la meilleure des façons en affrétant une petite embarcation pour lui et avaient réussi à lui trouver quelques aventuriers prêts à le suivre.
Steffon était un homme mystérieux qui parlait peu et ne posait pas de questions. Cela avait plu aux commanditaires de Wilhelm. Il avait accepté la somme proposée sans chercher à négocier. Sans doute avait-il d'excellentes raisons d'accompagner le mage mais il n'en avait rien dit alors.
Le chevalier bretonnien et son rustre compagnon n'avaient pas été difficiles à convaincre non plus. Les employeurs de Wilhelm avaient souhaité engager des personnes comme eux pour ne pas attirer les regards indiscrets sur leur entreprise. Ils en avaient raconté peu mais cela avaient suffi pour que les deux hommes acceptassent d'en être.
Sur les quais, un peu à l'écart, Surcouf avait amarré son sloop et attendait conformément aux instructions qui lui avaient été données. Il savait que quatre hommes devaient le rejoindre mais ne connaissait le nom que d'un seul. Les récents déboires du contrebandier à Bordeleaux l'avaient obligé à s'expatrier loin de chez lui, vers cette cité indépendante bien au nord de sa Bretonnie, dans les Wastelands, plus grand port du Vieux Monde : Marienburg. Il avait besoin d'argent tout autant que de se faire oublier et avait accepté de louer son Rouge-gorge à un homme étrange mais qui l'avait bien payé.
L'automne touchait à sa fin, midi venait de sonner et les cinq hommes n'allaient pas tarder à être réunis pour la première fois.
Steffon était un homme mystérieux qui parlait peu et ne posait pas de questions. Cela avait plu aux commanditaires de Wilhelm. Il avait accepté la somme proposée sans chercher à négocier. Sans doute avait-il d'excellentes raisons d'accompagner le mage mais il n'en avait rien dit alors.
Le chevalier bretonnien et son rustre compagnon n'avaient pas été difficiles à convaincre non plus. Les employeurs de Wilhelm avaient souhaité engager des personnes comme eux pour ne pas attirer les regards indiscrets sur leur entreprise. Ils en avaient raconté peu mais cela avaient suffi pour que les deux hommes acceptassent d'en être.
Sur les quais, un peu à l'écart, Surcouf avait amarré son sloop et attendait conformément aux instructions qui lui avaient été données. Il savait que quatre hommes devaient le rejoindre mais ne connaissait le nom que d'un seul. Les récents déboires du contrebandier à Bordeleaux l'avaient obligé à s'expatrier loin de chez lui, vers cette cité indépendante bien au nord de sa Bretonnie, dans les Wastelands, plus grand port du Vieux Monde : Marienburg. Il avait besoin d'argent tout autant que de se faire oublier et avait accepté de louer son Rouge-gorge à un homme étrange mais qui l'avait bien payé.
L'automne touchait à sa fin, midi venait de sonner et les cinq hommes n'allaient pas tarder à être réunis pour la première fois.
Les Péjis sont là comme des marionnettes qui, dans l'atmosphère brûlante de leur Erpé,
oublient qu'elles n'ont que l'illusion de la liberté...
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- Dan Surcouf
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Re: [RP groupé] La première pierre...
Le capitaine Dan Surcouf, commandant du fier Rouge-Gorge, un sloop de fabrication Bordelienne, attendait tranquillement dans son navire, jouant avec une petite bille de métal qu'il avait délogé, il y a quelques temps, de son dos. Il s'agissait en effet du genre de projectile en métal que l'on glissait dans un pistolet, pour l'envoyer se loger dans la viande de quelqu'un, en l’occurrence celle de Surcouf.
Souvenir de ses tristes aventures à Bordeleaux, où sa carrière de contrebandier avait été des plus courtes. L'affaire de l'Arsenal Royale de Bordeleaux, un beau bordel orchestré par le "brillantissime" Favière, un gros bonnet de la pègre bordelienne. Favière l'avait obligé à participer à l'infiltration d'un inconnu dans l'arsenal, mais cela avait mal finit lorsque le garde complice avait géré avec la finesse d'un pachyderme un autre de ses collègues.
Résultat, course poursuite avec la marine royale, une balle dans le dos, pour se retrouver coincé sur l’île Muette, source de craintes démeusurée chez les marins de la région. Il n'avait dû son salut qu'à une tempête digne de la fureur de Manann! Mais après son évasion "audacieuse" de l’île Muette, Surcouf s'était retrouvé avec un navire démâté, un nombre incalculable de voies d'eau dans la coque, sans compter le bordel monstre qu'il avait laissé à Bordeleaux, Favière et les Royaux le cherchant sans relâche...
Pendant ce temps, il avait finit par trouver un petit village de pêche, avec un charpentier et un médicastre, qui avaient remis sur pied sa personne et son navire... du très bon travail, qu'il avait dû toutefois payer... et comme il n'avait pas un rond, quelqu'un eu vite fait de le dénoncer à Favière, qui à son tour le dénonça aux royaux, qui envoyèrent alors quelques navires à ses trousses.
C'est à cette occasion qu'il décida de quitter, pour longtemps, Bordeleaux et, plus généralement, la Bretonnie. Si Favière en était à lui lancer la marine aux trousses, c'est qu'il était vraiment furax... et il avait dû probablement rameuter tout ces petits copains de la côte pour s'assurer que jamais il n'arriverait à mouiller dans un port Bretonniens sans que Favière ne le sache... sans oublier la Marine Royale, qui assurément n'allait pas lui laisser beaucoup de répis.
C'est à ce titre qu'il décida de changer d'eau, mettant le cap vers l'Empire, où les pouvoirs de la Marine Royale et de Favière étaient nettement plus limités. Non pas que cela l'enchante d'ailleurs... les impériaux, on ne pouvait pas vraiment prétendre qu'il en était fan... mais bon, faute de grives, on mange des merles.
Le contrebandier avait donc lancé l'ancre à Marienbourg, plus grand port du monde connu (bien que le meilleur reste Bordeleaux). Il y avait vivoté quelques jours, vivotant de braconnage et de cueillette dans les bois et rivières avoisinantes. Il s'était, d'ailleurs, assuré d'offrir à Manann, Ranald et la Dame ses trois première prise. Les créanciers de Surcouf semblaient avoir la facheuse tendance de ne pas lui laisser le temps de payer ses dettes... il ne tenait pas spécialement à tester sa théorie avec des dieux. Il était d'ailleurs allé présenter ses respect à Manann directement au temple de Marienburg.
Et peut-être que cela avait plu aux dieux, puisque l'on était venu le voir pour un travail, payé d'avance. Sa mission? Trimbaler un certain Wilhelm Ebenhart... et il aurait le droit à 10 couronnes de plus si le type rentrait en vie à Marienburg. Un boulot honnête, mais qu'il suspectait être un potentiel nid à emmerdes.
Tout en jouant avec la balle, il espérait que cette expédition ne vire pas au fiasco comme à Bordeleaux... m'enfin, le fait d'avoir été payé d'avance était une nette amélioration. Au moins avait-il pu s'acheter une bonne paire de bottes, ainsi qu'une chemise, histoire d'éviter de trop se peler les miches avec l'hivers qui arrivait.
Il attendait donc, que le dénommé arrive... en soit, il espérait qu'il saurait reconnaître le nom du navire, car il n'allait certainement pas l'attendre avec une pancarte à son nom... déjà qu'il ne savait pas lire, ou même écrire son nom, il ne fallait lui demander non plus d'aller écrire celui d'un impérial!
Souvenir de ses tristes aventures à Bordeleaux, où sa carrière de contrebandier avait été des plus courtes. L'affaire de l'Arsenal Royale de Bordeleaux, un beau bordel orchestré par le "brillantissime" Favière, un gros bonnet de la pègre bordelienne. Favière l'avait obligé à participer à l'infiltration d'un inconnu dans l'arsenal, mais cela avait mal finit lorsque le garde complice avait géré avec la finesse d'un pachyderme un autre de ses collègues.
Résultat, course poursuite avec la marine royale, une balle dans le dos, pour se retrouver coincé sur l’île Muette, source de craintes démeusurée chez les marins de la région. Il n'avait dû son salut qu'à une tempête digne de la fureur de Manann! Mais après son évasion "audacieuse" de l’île Muette, Surcouf s'était retrouvé avec un navire démâté, un nombre incalculable de voies d'eau dans la coque, sans compter le bordel monstre qu'il avait laissé à Bordeleaux, Favière et les Royaux le cherchant sans relâche...
Pendant ce temps, il avait finit par trouver un petit village de pêche, avec un charpentier et un médicastre, qui avaient remis sur pied sa personne et son navire... du très bon travail, qu'il avait dû toutefois payer... et comme il n'avait pas un rond, quelqu'un eu vite fait de le dénoncer à Favière, qui à son tour le dénonça aux royaux, qui envoyèrent alors quelques navires à ses trousses.
C'est à cette occasion qu'il décida de quitter, pour longtemps, Bordeleaux et, plus généralement, la Bretonnie. Si Favière en était à lui lancer la marine aux trousses, c'est qu'il était vraiment furax... et il avait dû probablement rameuter tout ces petits copains de la côte pour s'assurer que jamais il n'arriverait à mouiller dans un port Bretonniens sans que Favière ne le sache... sans oublier la Marine Royale, qui assurément n'allait pas lui laisser beaucoup de répis.
C'est à ce titre qu'il décida de changer d'eau, mettant le cap vers l'Empire, où les pouvoirs de la Marine Royale et de Favière étaient nettement plus limités. Non pas que cela l'enchante d'ailleurs... les impériaux, on ne pouvait pas vraiment prétendre qu'il en était fan... mais bon, faute de grives, on mange des merles.
Le contrebandier avait donc lancé l'ancre à Marienbourg, plus grand port du monde connu (bien que le meilleur reste Bordeleaux). Il y avait vivoté quelques jours, vivotant de braconnage et de cueillette dans les bois et rivières avoisinantes. Il s'était, d'ailleurs, assuré d'offrir à Manann, Ranald et la Dame ses trois première prise. Les créanciers de Surcouf semblaient avoir la facheuse tendance de ne pas lui laisser le temps de payer ses dettes... il ne tenait pas spécialement à tester sa théorie avec des dieux. Il était d'ailleurs allé présenter ses respect à Manann directement au temple de Marienburg.
Et peut-être que cela avait plu aux dieux, puisque l'on était venu le voir pour un travail, payé d'avance. Sa mission? Trimbaler un certain Wilhelm Ebenhart... et il aurait le droit à 10 couronnes de plus si le type rentrait en vie à Marienburg. Un boulot honnête, mais qu'il suspectait être un potentiel nid à emmerdes.
Tout en jouant avec la balle, il espérait que cette expédition ne vire pas au fiasco comme à Bordeleaux... m'enfin, le fait d'avoir été payé d'avance était une nette amélioration. Au moins avait-il pu s'acheter une bonne paire de bottes, ainsi qu'une chemise, histoire d'éviter de trop se peler les miches avec l'hivers qui arrivait.
Il attendait donc, que le dénommé arrive... en soit, il espérait qu'il saurait reconnaître le nom du navire, car il n'allait certainement pas l'attendre avec une pancarte à son nom... déjà qu'il ne savait pas lire, ou même écrire son nom, il ne fallait lui demander non plus d'aller écrire celui d'un impérial!
Dan Surcouf, Contrebandier
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- Steffon Rückensborg
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Re: [RP groupé] La première pierre...
Cela faisait maintenant six mois que Steffon était sur les routes à chasser le mal partout où il en entendait parler. La plupart du temps, cela n’était que de simple rumeur vite expédier par ses observations minutieuses qui prouvaient que rien de dangereux ne se préparait dans tel ou tel village. Mais il est arrivé parfois que ces rumeurs étaient fondées et le répurgateur ce faisait un devoir d’éradiquer toute trace de vil corruption mais toujours en tentant d’épargner un maximum d’innocent. Lors de son retour à Altdorf pour y faire son rapport, il fut accueilli par de hauts fonctionnaires de L’Église de Sigmar qui, après son rapport, lui apprirent qu’il avait une nouvelle mission d’une grande importance selon eux, protégé un homme, Wilhelm Ebenhart.
Une fois arrivé aux porte de la ville, Steffon opta pour la discrétion, car qui sait à qui appartiennent les yeux qui pourraient l’observé, et ne dévoila pas son appartenance à l’Église en payant la taxe pour traverser les portes. Rajustant son chapeau, afin que celui-ci ne laisse entrevoir que la moitié de son visage, il se dirigea vers le lieu de rendez vous avant que n’arrive midi car comme on dit, arrivé à l’heure, c’est déjà être en retard.
Il fit une longue marche vers le port où attendait un homme sur le lieu de rendez-vous, semblant être un marin. Mais ne sachant pas qui faisait parti de l’équipe, il décida de ne pas parler à l’individu et de se poser debout contre une caisse qui traînait proche du lieu et d’y attendre le fameux Ebenhart.
Une fois arrivé aux porte de la ville, Steffon opta pour la discrétion, car qui sait à qui appartiennent les yeux qui pourraient l’observé, et ne dévoila pas son appartenance à l’Église en payant la taxe pour traverser les portes. Rajustant son chapeau, afin que celui-ci ne laisse entrevoir que la moitié de son visage, il se dirigea vers le lieu de rendez vous avant que n’arrive midi car comme on dit, arrivé à l’heure, c’est déjà être en retard.
Il fit une longue marche vers le port où attendait un homme sur le lieu de rendez-vous, semblant être un marin. Mais ne sachant pas qui faisait parti de l’équipe, il décida de ne pas parler à l’individu et de se poser debout contre une caisse qui traînait proche du lieu et d’y attendre le fameux Ebenhart.
Steffon Rückensborg, Voie du répurgateur
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- Catuvolcos
- PJ
- Messages : 124
Re: [RP groupé] La première pierre...
Après les funestes événements d’Eldagsen, Martin et moi nous remirent en route. Une route semée d'hommes bêtes, de peaux vertes, de bandits, de séides du chaos et j’en passe etc… Tous nous rencontrèrent et tous périrent sous le coup de nos lames. Bien des quêtes comme les nommait le chevalier furent menés à bien et nombre de gens nous furent reconnaissants. De mon côté ayant dû abandonner mon style de combat avec le bouclier car n’étant pas assez naturel au goût de mon familier. Je dû avec l’aide de Martin me tourner vers le style à deux armes, ayant acheté dans une bourgade aux forgerons du coin ce qui l’appelait une épée courte sur les recommandations de Martin, qui dès lors m’enseigna à m’en servir.
Sous l’égide du Renard je fis bien des progrès sur le plan spirituel, développant mon affinité avec lui tout comme celle avec Danu. Recevant même ses appels alors que je méditais, j’eu une vision qui m’indiquait la route du Nord là m'attendait selon la Déesse Mère un ancien lieu sacré datant d’une époque depuis longtemps oublié.
Martin qui commençait à croire que Danu et la Dame étant possiblement une même divinité décida de me suivre dans ma quête. Il avait peut-être raison ça Dame n’était que hypothétiquement la forme Bretonienne de la Mère, mais quoique qu'il en soit, j’étais heureux d’avoir le chevalier à mes côtés, je pouvais compter sur son courage et sa foi en tout temps.
Voyageant à travers l’Empire guidé par mon magique familier, nous traversions même un immense marécage qui n’était pas sans me rappeler ma chère Albion. À force de marche je compris que notre chemin nous dirigeait vers une immense ville cosmopolite comme il m'avait été indiqué en rêve. À un moment des marchands rencontré sur la route nous apprirent que nous avions quitté les terres impériales et que nous étions maintenant aux pays perdues non loin de Marienburg.
Ah Marienburg c’était donc ça, malheureusement pour moi je ne pouvais m'y rendre, enfin plutôt que je ne le voulais pas. La Déesse-Mère me voulait maintenant en permanence auprès d’elle, je ne me sentais pas vraiment à mon aise près des lieux artificielle t’elle que les villages, alors une ville si je pouvais éviter de m’y rendre… En rase campagne non loin des portes de la ville je fis part à Martin des instructions que ma Déesse avait souhaité me faire savoir.
Tu dois te rendre aux docks et retrouver un certain Surcouf, c’est lui le propriétaire d’un navire là il pourra l'emmener plus loin sur la côte où je vous retrouveraient, que Danu soit avec toi mon ami.
Nous séparant je me dirigeai vers la côte en ressassant sur le chemin toutes mes visions conférées par mon familier et notre Déesse Mère, qu’avait de si important ce site perdu, ça j'espérais le découvrir et si besoin détruire le mal qui le rongeait parole de Gaels!
Sous l’égide du Renard je fis bien des progrès sur le plan spirituel, développant mon affinité avec lui tout comme celle avec Danu. Recevant même ses appels alors que je méditais, j’eu une vision qui m’indiquait la route du Nord là m'attendait selon la Déesse Mère un ancien lieu sacré datant d’une époque depuis longtemps oublié.
Martin qui commençait à croire que Danu et la Dame étant possiblement une même divinité décida de me suivre dans ma quête. Il avait peut-être raison ça Dame n’était que hypothétiquement la forme Bretonienne de la Mère, mais quoique qu'il en soit, j’étais heureux d’avoir le chevalier à mes côtés, je pouvais compter sur son courage et sa foi en tout temps.
Voyageant à travers l’Empire guidé par mon magique familier, nous traversions même un immense marécage qui n’était pas sans me rappeler ma chère Albion. À force de marche je compris que notre chemin nous dirigeait vers une immense ville cosmopolite comme il m'avait été indiqué en rêve. À un moment des marchands rencontré sur la route nous apprirent que nous avions quitté les terres impériales et que nous étions maintenant aux pays perdues non loin de Marienburg.
Ah Marienburg c’était donc ça, malheureusement pour moi je ne pouvais m'y rendre, enfin plutôt que je ne le voulais pas. La Déesse-Mère me voulait maintenant en permanence auprès d’elle, je ne me sentais pas vraiment à mon aise près des lieux artificielle t’elle que les villages, alors une ville si je pouvais éviter de m’y rendre… En rase campagne non loin des portes de la ville je fis part à Martin des instructions que ma Déesse avait souhaité me faire savoir.
Tu dois te rendre aux docks et retrouver un certain Surcouf, c’est lui le propriétaire d’un navire là il pourra l'emmener plus loin sur la côte où je vous retrouveraient, que Danu soit avec toi mon ami.
Nous séparant je me dirigeai vers la côte en ressassant sur le chemin toutes mes visions conférées par mon familier et notre Déesse Mère, qu’avait de si important ce site perdu, ça j'espérais le découvrir et si besoin détruire le mal qui le rongeait parole de Gaels!
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Catuvolcos, Voie du Druidisme
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"La nature est par définition incontrôlable. Le mieux que l'on puisse faire est d'essayer de l'influencer, mais toujours on reste soumis à ses caprices."
Familier : Renard
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- Dan Surcouf
- Warfo Award 2022 de l'Incitation au voyage
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Re: [RP groupé] La première pierre...
Le capitaine du Rouge-Gorge nota l'arrivé d'un inconnu, avec un grand chapeau, le genre qu'on utilise pour cacher sa tronche, le genre que les chasseurs de primes adoraient porter pour espionner leurs proies. Et Surcouf était une proie, recherché par la marine royale bretonienne et Favière... les deux devaient offrir une récompense coquette pour ses pauvres fesses, le second probablement plus pour mort que vivant. Le contrebandier, à tout hasard, posa donc une main sur son coutelas, gardant à l’œil l'inconnu au chapeau.
Dan Surcouf, Contrebandier
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- Martin de Mavignon
- Warfo Award 2018 du Maudit de Ranald
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Re: [RP groupé] La première pierre...
A peu près plus d'un mois s'était écoulé depuis les événements survenus dans la petite ville pas si tranquille de Eldagsen. Le chevalier bretonnien plus en forme que jamais, avait accepté sa paye pour sa quête accomplie, mais avec amertume, tout comme son camarade d'Albion. Puis, commençant petit à petit à être persuadé que la Mère Nature du druide d'Albion était en réalité, et probablement, une autre forme de la Dame du Lac, le chevalier, plutôt que d'enfin retourner en ses terres natales de Bretonnie pour enfin acquérir un fief, décida de continuer son chemin dans le Vieux Monde aux côtés de son camarade qui semble t-il, avait reçu un appel de "Mère Nature", lui dictant un nouveau chemin. Il n'en fallut pas plus pour convaincre notre bon et humble chevalier que de continuer sa route au sein des terres de l'Empire, tout en profitant pour aider le plus de monde possible, parfaire ses connaissances, sa maîtrise à l'épée ainsi que son accent terrible en reikspel ! De plus, à côté, le chevalier avait commencé à entraîner le druide qui s'était acheté une petite lame courte, et commençait à s'entraîner avec.
Et le chemin tracé par la Dame, les menas tout deux directement en approche de la ville de Marienburg, le plus grand port du Vieux Monde dit-on. Martin connaissait bien cette ville, après tout, quel noble bretonnien n'avait pas entendu parler de ce port se trouvant dans le Pays Perdu, et faisant saliver la Bretonnie entière et qui revendiquait le port depuis maintenant des siècles ? Martin lui, en bon chevalier noble, était persuadé que la ville devait revenir à la couronne de Bretonnie, qu'importe le prix à payer, par la Dame ! Mais cela n'était cependant pas à l'ordre du jour, tandis qu'en approchant de la ville, le duo de compères furent contactés de manière mystérieuse par un homme tout aussi mystérieux. Moyennant une somme d'argent, le duo se devait d'assurer l'escorte d'une personne au nom échappant au chevalier via un voyage via la côte sur un bateau. Persuadés que cela était ce sur quoi la Dame/Mère Nature les avaient guidés, Martin et Catuvolcos acceptèrent immédiatement, et tandis que le druide partait pour la côte pour éviter la civilisation dont-il est était devenu allergique, Martin lui se dirigea avec sa monture vers le port de Marienburg et atteint bientôt l'entrée du grand port.
Nullement impressionné par cette ville qui ne valait pas la beauté et splendeur de Bordeleaux, le chevalier s'approcha des docks, de là où devait se trouver le contact qu'il devait rencontrer et qui mènerait tout ce beau monde en bateau. Entreposant sa monture dans l'écurie d'une taverne pour une durée indéterminé en payant le locataire pour veiller sur sa monture, le chevalier, drapé de tout son équipement, s'approcha des docks et commença alors à inspecter les lieux du regard, avant de tiquer en voyant une sorte de petite embarcation situé sur le dock, avec pas moins de deux personnes attendant dans leur coin.
S'approchant, prudemment mais également d'un pas sûr et le regard haut, le chevalier errant vînt à la rencontre du gaillard situé devant la sorte de chaloupe et attira son attention en levant sa main, se plaçant à quatre pieds du personnage, qui portait un visage qui lui semblait étonnement blasé. Pas de doutes, c'était sûrement son contact, ce fameux "Surcouf" :
- Bien le bonjour ! Ne seriez vous pas le fameux..."Surcouf" qui doive escorter du beau monde sur votre navire, par hasard ?
Son accent bretonnien, tout en parlant l'occidental, s'était légèrement amélioré, mais il y avait encore du boulot pour sûr.
Et le chemin tracé par la Dame, les menas tout deux directement en approche de la ville de Marienburg, le plus grand port du Vieux Monde dit-on. Martin connaissait bien cette ville, après tout, quel noble bretonnien n'avait pas entendu parler de ce port se trouvant dans le Pays Perdu, et faisant saliver la Bretonnie entière et qui revendiquait le port depuis maintenant des siècles ? Martin lui, en bon chevalier noble, était persuadé que la ville devait revenir à la couronne de Bretonnie, qu'importe le prix à payer, par la Dame ! Mais cela n'était cependant pas à l'ordre du jour, tandis qu'en approchant de la ville, le duo de compères furent contactés de manière mystérieuse par un homme tout aussi mystérieux. Moyennant une somme d'argent, le duo se devait d'assurer l'escorte d'une personne au nom échappant au chevalier via un voyage via la côte sur un bateau. Persuadés que cela était ce sur quoi la Dame/Mère Nature les avaient guidés, Martin et Catuvolcos acceptèrent immédiatement, et tandis que le druide partait pour la côte pour éviter la civilisation dont-il est était devenu allergique, Martin lui se dirigea avec sa monture vers le port de Marienburg et atteint bientôt l'entrée du grand port.
Nullement impressionné par cette ville qui ne valait pas la beauté et splendeur de Bordeleaux, le chevalier s'approcha des docks, de là où devait se trouver le contact qu'il devait rencontrer et qui mènerait tout ce beau monde en bateau. Entreposant sa monture dans l'écurie d'une taverne pour une durée indéterminé en payant le locataire pour veiller sur sa monture, le chevalier, drapé de tout son équipement, s'approcha des docks et commença alors à inspecter les lieux du regard, avant de tiquer en voyant une sorte de petite embarcation situé sur le dock, avec pas moins de deux personnes attendant dans leur coin.
S'approchant, prudemment mais également d'un pas sûr et le regard haut, le chevalier errant vînt à la rencontre du gaillard situé devant la sorte de chaloupe et attira son attention en levant sa main, se plaçant à quatre pieds du personnage, qui portait un visage qui lui semblait étonnement blasé. Pas de doutes, c'était sûrement son contact, ce fameux "Surcouf" :
- Bien le bonjour ! Ne seriez vous pas le fameux..."Surcouf" qui doive escorter du beau monde sur votre navire, par hasard ?
Son accent bretonnien, tout en parlant l'occidental, s'était légèrement amélioré, mais il y avait encore du boulot pour sûr.
Martin de Mavignon, Chevalier Errant Bretonnien
Profil: For 11 | End 11 | Hab 9* | Cha 9 | Int 8 | Ini 10 | Att 11* | Par 10* | Tir 8 | NA 1 | PV 70/70
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*Malus par le port d'armure
https://media.giphy.com/media/SWjCswum5dc0E/giphy.gif
"Pour la Dame, CHARGEEEEEEEZ !!"
Profil: For 11 | End 11 | Hab 9* | Cha 9 | Int 8 | Ini 10 | Att 11* | Par 10* | Tir 8 | NA 1 | PV 70/70
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*Malus par le port d'armure
https://media.giphy.com/media/SWjCswum5dc0E/giphy.gif
"Pour la Dame, CHARGEEEEEEEZ !!"
- Wilhelm EbenHart
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Re: [RP groupé] La première pierre...
C’est avec des cernes assez marqués et les épaules basses que Wilhelm mis enfin les pieds sur le quai principal de Marienburg. Le bac qui l’avait transporté d’Altdorf jusqu’à la ville portuaire n’avait fait que quelques escales et bien que le voyage se soit « bien » passé, il n’avait pas été de tout repos. Les grands voyages ne l’enthousiasmaient plus, après les récents événements. Ils avaient à présent tous des airs de calme avant la tempête.
Tout comme ses passages au collège d’améthyste d’ailleurs… a peine était-il revenu de sa mission précédente qu’on l’avait renvoyé sur une nouvelle piste. Était-ce coutumier d’envoyer ainsi les apprentis en mission ou était-il une figure d’exception ? Quoi qu’il en soit il avait eu sur le bac le temps qu’il n’avait pas eu au collège d’améthyste pour faire un peu de rétrospection. Retrouver le Tsigane qui avait formé Van Leuffen n’avait pas été une mince affaire… Et encore une fois la quête d’information sur le nécromancien avait amené le jeune homme sur des chemins de plus en plus sombres. Mais là où les frontières entre les vents de Shyish et Dahr pouvaient devenir flou pour un esprit faible ou corrompu, jamais elles n’avaient étés aussi claires pour Wilhelm qu’après sa dernière mission. Sa détermination et sa volonté de servir le collège n’avaient jamais étés aussi grandes. Ses nouvelles compétences, acquises sous la tutelle de son mentor Andreas Grimmelsnausen, risquaient d’être mises à rude épreuve. Mais ce n’était pas le moment de décevoir son maitre. Pas quand les possibilités de devenir compagnon sorcier étaient aussi près de lui.
L’apprenti sorcier arpenta donc le port de la cité a la recherche du « rouge gorge », le navire sensé lui permettre, a lui et aux mercenaires dont on lui avait parlé, d’attendre le fjord où ils devraient commencer leurs recherches. Inconsciemment la main de Wilhelm se posa sur son sac, où reposait la carte dont ils auraient besoins pour atteindre leur destination. Mieux valait ne pas la perdre… Il avait encore une fois troqué sa tunique d’initié pour ses maintenant traditionnels habits de voyages : un manteau mi long en toile noire par-dessus une tunique sombre et un foulard brun. Le seul élément pouvant l’identifier comme un apprenti magister était son bâton d’ébène… mais nombreux étant les voyageurs qui utilisaient un bâton de marche non ?
Alors qu’il déambulait à travers les bornes d’amarrage, les étals de marchands et les bateaux de pêches ses yeux accrochèrent enfin une inscription prometteuse. C’était donc ça le « Rouge-gorge ». Le navire était on ne peut plus banal mais semblait en état de prendre la mer… et trois personnes étaient déjà rassemblés devant l’embarcation. Deux mercenaires et un marin, semblait-il. Plus de doute, c’était le bon endroit. Le jeune homme prit une grande inspiration et s’avança. Il avait beau devenir à chaque jour un peu plus habile à manipuler les vents de Shyish, il n’avait jamais été un meneur d’homme et assumer cette position lui demandait toujours beaucoup d’efforts, bien qu’il commençait à être habitué et a plutôt bien se débrouiller. Il ne restait plus qu’à espérer qu’il y parviendrait sans trop de difficulté. Il marcha d’un pas ferme jusqu’à ce que tous les hommes présents soient en mesure de le voir.
"Bonjour à vous messieurs. Mon nom est Wilhelm Ebenhart…" Il regarda tour à tour les gens présents de ses yeux presque noirs. "On m’avait informé que vous seriez quatre… quelqu’un sait où notre dernier larron se trouve ? "
Ses yeux montèrent vers le ciel. Le jour était déjà bien avancé et avec l’hiver à leur porte il fallait profiter de toute la clarté dont ils pouvaient bénéficier. Il se tourna vers le seul homme ayant à peu près l’air d’un marin.
"J’en déduis que vous êtes le capitaine ? Nous nous dirigeons vers le nord, en remontant la rivière Buuren. Plus vite nous seront prêt à partir et mieux ce sera. Vous avez chargé à bord tout ce qu’il fallait ou faut-il aller chercher des provisions ?"
Le ton était ferme mais courtois. Son regard avait beau trahir la fatigue du voyage il était alerte et déterminé.
Tout comme ses passages au collège d’améthyste d’ailleurs… a peine était-il revenu de sa mission précédente qu’on l’avait renvoyé sur une nouvelle piste. Était-ce coutumier d’envoyer ainsi les apprentis en mission ou était-il une figure d’exception ? Quoi qu’il en soit il avait eu sur le bac le temps qu’il n’avait pas eu au collège d’améthyste pour faire un peu de rétrospection. Retrouver le Tsigane qui avait formé Van Leuffen n’avait pas été une mince affaire… Et encore une fois la quête d’information sur le nécromancien avait amené le jeune homme sur des chemins de plus en plus sombres. Mais là où les frontières entre les vents de Shyish et Dahr pouvaient devenir flou pour un esprit faible ou corrompu, jamais elles n’avaient étés aussi claires pour Wilhelm qu’après sa dernière mission. Sa détermination et sa volonté de servir le collège n’avaient jamais étés aussi grandes. Ses nouvelles compétences, acquises sous la tutelle de son mentor Andreas Grimmelsnausen, risquaient d’être mises à rude épreuve. Mais ce n’était pas le moment de décevoir son maitre. Pas quand les possibilités de devenir compagnon sorcier étaient aussi près de lui.
L’apprenti sorcier arpenta donc le port de la cité a la recherche du « rouge gorge », le navire sensé lui permettre, a lui et aux mercenaires dont on lui avait parlé, d’attendre le fjord où ils devraient commencer leurs recherches. Inconsciemment la main de Wilhelm se posa sur son sac, où reposait la carte dont ils auraient besoins pour atteindre leur destination. Mieux valait ne pas la perdre… Il avait encore une fois troqué sa tunique d’initié pour ses maintenant traditionnels habits de voyages : un manteau mi long en toile noire par-dessus une tunique sombre et un foulard brun. Le seul élément pouvant l’identifier comme un apprenti magister était son bâton d’ébène… mais nombreux étant les voyageurs qui utilisaient un bâton de marche non ?
Alors qu’il déambulait à travers les bornes d’amarrage, les étals de marchands et les bateaux de pêches ses yeux accrochèrent enfin une inscription prometteuse. C’était donc ça le « Rouge-gorge ». Le navire était on ne peut plus banal mais semblait en état de prendre la mer… et trois personnes étaient déjà rassemblés devant l’embarcation. Deux mercenaires et un marin, semblait-il. Plus de doute, c’était le bon endroit. Le jeune homme prit une grande inspiration et s’avança. Il avait beau devenir à chaque jour un peu plus habile à manipuler les vents de Shyish, il n’avait jamais été un meneur d’homme et assumer cette position lui demandait toujours beaucoup d’efforts, bien qu’il commençait à être habitué et a plutôt bien se débrouiller. Il ne restait plus qu’à espérer qu’il y parviendrait sans trop de difficulté. Il marcha d’un pas ferme jusqu’à ce que tous les hommes présents soient en mesure de le voir.
"Bonjour à vous messieurs. Mon nom est Wilhelm Ebenhart…" Il regarda tour à tour les gens présents de ses yeux presque noirs. "On m’avait informé que vous seriez quatre… quelqu’un sait où notre dernier larron se trouve ? "
Ses yeux montèrent vers le ciel. Le jour était déjà bien avancé et avec l’hiver à leur porte il fallait profiter de toute la clarté dont ils pouvaient bénéficier. Il se tourna vers le seul homme ayant à peu près l’air d’un marin.
"J’en déduis que vous êtes le capitaine ? Nous nous dirigeons vers le nord, en remontant la rivière Buuren. Plus vite nous seront prêt à partir et mieux ce sera. Vous avez chargé à bord tout ce qu’il fallait ou faut-il aller chercher des provisions ?"
Le ton était ferme mais courtois. Son regard avait beau trahir la fatigue du voyage il était alerte et déterminé.
Wilhelm Hebenhart, Voie de L'étude de la Magie
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- Dan Surcouf
- Warfo Award 2022 de l'Incitation au voyage
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Re: [RP groupé] La première pierre...
Un type assez grand, en tenue de chevalier, accompagné d'un type plus petit et assez bizarre, approcha du rouge gorge, avant de se mettre à causer en impérial avec un accent bretonien bien dégueulasse. Surcouf ne comprit pas un mot de ce que le chevalier lui demanda, mais au moins réussit-il à comprendre qu'il était originaire de sa Bretonnie natale. Il cligna donc des yeux une fois, deux fois, avant de répondre en bretonnien.
-Euh... Pouvez la refaire en bretonnien?
Puis, un autre type, qui semblait sérieusement manquer de sommeil... ou de vin... ou des deux, approcha, avant de commencer lui aussi à causer la langue de l'Empire.
-Euh... bretonnien?
Ben ça allait être commode ce boulot... note pour lui même, apprendre à causer comme eux, sinon ça allait vite devenir le bordel.
-Euh... Pouvez la refaire en bretonnien?
Puis, un autre type, qui semblait sérieusement manquer de sommeil... ou de vin... ou des deux, approcha, avant de commencer lui aussi à causer la langue de l'Empire.
-Euh... bretonnien?
Ben ça allait être commode ce boulot... note pour lui même, apprendre à causer comme eux, sinon ça allait vite devenir le bordel.
Dan Surcouf, Contrebandier
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- Steffon Rückensborg
- PJ
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Re: [RP groupé] La première pierre...
Ainsi donc, Ebenhart était enfin arrivé, presque en même temps que ce chevalier bretonnien, un grand gaillard en armure qui sera certainement très utile au combat. Le marin non loin de lui, qui le regardait d'un œil mauvais depuis son arriver au port, ( il faut dire que l'allure de Steffon n'avait rien de rassurant) semblait quand à lui être le navigateur qui mènerait le groupe à bon port. Ebenhart parla aux hommes présents sur les lieux et indiqua leurs destinations, le Nord. La première chose qui traversa l'esprit du répurgateur fût la question suivante: Qu'est ce que cet homme allait chercher dans une région aussi malfamée ? Question bien vite dissipé dans son esprit car après tout, sa mission était de protéger un homme et il n'échouait pas ses missions. Puis Ebenhart fit remarqué qu'il manquait quelqu'un. Steffon redressa donc son chapeau à l'aide de son pouce et demanda :
-Nous ne sommes pas encore au complet ?
En effet, l'heure du rendez-vous était dépassé et les retards non prévu le laissant bien souvent perplexe, il se mit à observé les alentours en feignants d'écouter les conversations de ses futurs équipiers.
-Nous ne sommes pas encore au complet ?
En effet, l'heure du rendez-vous était dépassé et les retards non prévu le laissant bien souvent perplexe, il se mit à observé les alentours en feignants d'écouter les conversations de ses futurs équipiers.
Steffon Rückensborg, Voie du répurgateur
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- Martin de Mavignon
- Warfo Award 2018 du Maudit de Ranald
- Messages : 138
Re: [RP groupé] La première pierre...
Voyant que le marin ne semblait pas comprendre le reikspel, tiens un étranger donc, le chevalier se prépara à tenter de trouver une solution lorsque une autre personne débarqua et se présenta comme étant le fameux Wilhem Ebenhart, l'homme qu'ils devaient tous s'occuper de veiller à ce qu'il arrive à bon port ! Que pouvait-il bien avoir de si important pour que tant de remue-ménage soit fait pour lui ? Peut-être avait-il une quête particulière qui l'attendais, comme lui où son camarade Catuvolcos ? Dans tout les cas, le chevalier errant avait accepté la quête et était donc prêt à la remplir !
Intervint alors à nouveau l'homme de mer qui, ô surprise, se révéla être un bon bretonnien comme Martin ! Et bien ! Enfin entendre du bon bretonnien fît sourire notre bon chevalier qui était enfin heureux d'entendre un autre ressortissant au sein de l'Empire. Il se demandait comment il pouvait avoir fini ici tout de même, si loin des côtes bretonniennes...mais cela était sans doutes une question pour un autre temps ! Quoi qu'il en soit, cela rassurait la Dame sur le fait qu'il était sur la bonne route concernant la quête qu'elle prédestinait au chevalier errant !
Intervint alors un autre gaillard qui était rester silencieux jusque là, et demanda ou était la quatrième personne qu'ils attendaient. Décidant de procéder par ordre pour éviter tout grabuge et confusion, le chevalier errant se tourna d'abord vers les deux impériaux, leur parlant en reikspel avec son fort accent bretonnien inimitable :
- Ahhh, bien le bonjour mes amis ! Je suis Martin de Mavignon, chevalier de la lignée Mavignon, en errance pour devenir digne d'obtenir des terres, enchanté ! Mister Ebenhart, je serais de votre garde le temps que vous accomplissiez votre quête comme convenu ! Mon camarade non-présent, Catuvolcos, vous fait savoir qu'il nous attends plus en amont des côtes ! Nous le prendrons en chemin avant de réellement partir vers le large ! J'espère que cela vous convient ! Maintenant je m'en vais prévenir l'homme de mer, qui ne parle malheureusement pas votre langue, mais n'ayez guère d'inquiétude, je m'occupe de la traduction !
Puis il se tourna vers l'homme de mer, et lui parla alors en bretonnien de manière amicale :
- Ah qu'il est bon d'entendre enfin une douce voix familière ! Heureux de voir que vous êtes du même bord que moi, homme de la côte ! Je suis le chevalier errant Martin, de la lignée des Mavignon, enchanté de vous rencontrer ! Je présume que vous êtes celui qui nous transportera pour la durée de la mission ? Ne vous faites guère de soucis, je veillerais à faire la traduction entre vous et ces bons hommes, dont celui que nous devons escorter ! Je tiens à préciser que mon camarade est resté plus en amont de la ville et vous fait savoir qu'il nous attends sur la côte, en tout début de chemin, avant que nous partions pour le large ! Cela vous convient-il, homme de la côte Surcouf ?
Intervint alors à nouveau l'homme de mer qui, ô surprise, se révéla être un bon bretonnien comme Martin ! Et bien ! Enfin entendre du bon bretonnien fît sourire notre bon chevalier qui était enfin heureux d'entendre un autre ressortissant au sein de l'Empire. Il se demandait comment il pouvait avoir fini ici tout de même, si loin des côtes bretonniennes...mais cela était sans doutes une question pour un autre temps ! Quoi qu'il en soit, cela rassurait la Dame sur le fait qu'il était sur la bonne route concernant la quête qu'elle prédestinait au chevalier errant !
Intervint alors un autre gaillard qui était rester silencieux jusque là, et demanda ou était la quatrième personne qu'ils attendaient. Décidant de procéder par ordre pour éviter tout grabuge et confusion, le chevalier errant se tourna d'abord vers les deux impériaux, leur parlant en reikspel avec son fort accent bretonnien inimitable :
- Ahhh, bien le bonjour mes amis ! Je suis Martin de Mavignon, chevalier de la lignée Mavignon, en errance pour devenir digne d'obtenir des terres, enchanté ! Mister Ebenhart, je serais de votre garde le temps que vous accomplissiez votre quête comme convenu ! Mon camarade non-présent, Catuvolcos, vous fait savoir qu'il nous attends plus en amont des côtes ! Nous le prendrons en chemin avant de réellement partir vers le large ! J'espère que cela vous convient ! Maintenant je m'en vais prévenir l'homme de mer, qui ne parle malheureusement pas votre langue, mais n'ayez guère d'inquiétude, je m'occupe de la traduction !
Puis il se tourna vers l'homme de mer, et lui parla alors en bretonnien de manière amicale :
- Ah qu'il est bon d'entendre enfin une douce voix familière ! Heureux de voir que vous êtes du même bord que moi, homme de la côte ! Je suis le chevalier errant Martin, de la lignée des Mavignon, enchanté de vous rencontrer ! Je présume que vous êtes celui qui nous transportera pour la durée de la mission ? Ne vous faites guère de soucis, je veillerais à faire la traduction entre vous et ces bons hommes, dont celui que nous devons escorter ! Je tiens à préciser que mon camarade est resté plus en amont de la ville et vous fait savoir qu'il nous attends sur la côte, en tout début de chemin, avant que nous partions pour le large ! Cela vous convient-il, homme de la côte Surcouf ?
Martin de Mavignon, Chevalier Errant Bretonnien
Profil: For 11 | End 11 | Hab 9* | Cha 9 | Int 8 | Ini 10 | Att 11* | Par 10* | Tir 8 | NA 1 | PV 70/70
Lien Fiche personnage: http://warforum-jdr.com/wiki-v2/doku.ph ... e_mavignon
*Malus par le port d'armure
https://media.giphy.com/media/SWjCswum5dc0E/giphy.gif
"Pour la Dame, CHARGEEEEEEEZ !!"
Profil: For 11 | End 11 | Hab 9* | Cha 9 | Int 8 | Ini 10 | Att 11* | Par 10* | Tir 8 | NA 1 | PV 70/70
Lien Fiche personnage: http://warforum-jdr.com/wiki-v2/doku.ph ... e_mavignon
*Malus par le port d'armure
https://media.giphy.com/media/SWjCswum5dc0E/giphy.gif
"Pour la Dame, CHARGEEEEEEEZ !!"