L'échiquier des Dieux

[[MJ] Malal]

Middenheim

Middenland: région de Middenheim

On nous a indiqué des échauffourées du coté de Rosche (voir carte). Tu devras t'y rendre afin de tirer cette histoire au clair. Les paysans se révoltent car, selon leurs dire, une sorcière à enlever leurs enfants. Il est clair qu'il se passe des choses étranges dans cette bourgade mon garçon, aussi soit vigilant et puisse les Dieux t'accompagner dans ta quête.

Voilà les mots qui furent ceux de ton supérieur: William Alsbourg. Un prêtre de la mouvance des Puritains, plus calme et tempérés que certain, il privilégie la réflexion à l'action pure. Certains diront qu'il s'est ramolli avec l'âge et que ses longues heures d'études dans les bibliothèques lui ont ramollis les muscles et l'ont émasculé. Il soutient les valeurs traditionnelles de l’Empire de Sigmar, telles qu’elles sont transmises aux masses par le Saint Ordre de la Torche, il a la conviction que le seul moyen de combattre les horreurs du Chaos est de ne pas dévier de la voie de la vertu en évitant le piège du radicalisme.

Johaan von Allen est sont plus fervent détracteur, leurs joutes verbales font l'objet de moult conversations au sein de l'académie et d'aucun prétendent que ce dernier n'attends qu'une occasion pour prendre la relève. Son enseignement de l’Eglise de Sigmar n'est pas composé d’amour et de pardon. Il souhaite purger le monde de tous les pêchés par le fer et le feu et ne s'en cache pas. Toujours à la recherche de nouveaux compagnons, se fut tout naturellement qu'il te contacta juste avant ton départ.

Il est clair que le village est souillé par une quelconque malédiction. il n'y a pas de fumée sans feu et tu le sais. Laisser une telle menace si près de Middenheim est inacceptable. Il te faudra prendre la bonne décision le moment venu. Voici une amulette de Sigmar, puisse-t-elle te guider dans tes choix difficiles. Mais n'oublies pas... le Chaos s'insinue partout où il passe... Il ne se montrera pas toujours au grand jour... Il faut parfois amputer une jambe pour sauver un homme...


Voilà maintenant deux jours que tu es parti de la cité, à l'arrière d'une charrette de marchand. Les grincements incessants du bois dans chaque ornière commencent à te taper sur les nerfs et ce n'est pas le silence pesant du conducteur qui améliore la situation. Tu ressasses les paroles deux hommes, sachant qu'un jour où l'autre tu devrais prendre position comme tout à chacun à l'académie.

[Chris]

Les grincements et les cliquetis incessants de la charrette sûrement dû à une charnière mal entretenu était pour moi l'écho désagréable d'un métronome me rappelant sans cesse la dure réalité de ces derniers jours. J'étais parti, je ne reviendrais peut-être pas et l'incapacité déconcertante du conducteur à communiquer n'améliorait en aucun cas mon confort physique et mentale. Il n'y avait que moi et mes idées...

Johaan von Allen n'avait pas tord, parfois il est nécessaire de faire preuve d'une brutalité "juste" afin de combattre le Chaos, un Peaux-verte parlement rarement. Christopher avait un sourire amusé à l'idée de tomber sur un Peaux-verte, il rêvait d'en passer au fils de son épée depuis des années, depuis la perte de ces parents à vrai dire. Mais au plus profond de moi même je savait, et cela depuis la rencontre de Karl l'un de mes mentors, que la violence n'était rien sans la connaissance. Le plus important était de savoir que Johaan ne cherchait que des pions pour servir sa propre ambition.

Plus les heures passaient plus les paroles de mes deux aînés germaient dans le terreau fertile de mon esprit étriqué, un jour de devrait faire un choix. Plus ma réflexion avançait moins les augures me paraissaient bon, et sans que je ne puisse m'en rendre compte la nuit était tombé saurait-elle me porter conseil ? j'en doute mais j'avais la certitude qu'elle serait courte. Le conducteur semblait vouloir camper au pied d'une ancienne battisse de pierre en ruine, sans m'adresser une parole il commença à dresser ce qui semblait être un camp de fortune.
"Est-ce moi on ce vieux conducteur peine à ce servir de sa jambe gauche?" Christopher s'interrogeait mais cela n'avait pas d'importance, le camp n'était qu'un foyer à peine capable de nous réchauffer et deux toiles vieilles et poisseuses.

"aussi douillet qu'à la maison" murmura Christopher dans un rictus, avant de ce laisser choir sur la toile qui n'était pas si inconfortable. Dans un dernier éclair de lucidité avant de sombrer dans un sommeil réparateur, Christopher eu l'angoisse d'être l'objet d'une rapine durant la nuit. Après tout nous n'étions pas loin de la route et notre feu indiquait notre position à deux lieux à la ronde, son épée le long de la jambe caché dans les plis de son manteau, il s'endormit.

Je peine à voir la carte, et je n'y ai pas trouve la ville Rosche :/

[[MJ] Malal]

Le conducteur s'était arrêtait entre Fintel et Isenbuttel surement plus par avarice que par raison. Tout le monde dans la région sait qu'il ne fait pas bon s'endormir au bord de la Drakwald. Nombreuses sont les histoires relatant des enlèvements, des meurtres ou d'étranges lueurs qui apparaissent, en procession, à la nuit tombée accompagnée de paroles gutturales et incompréhensibles. D'ailleurs pourquoi cette bâtisse était-elle en ruines aux abords d'une route si fréquentée, n'était-ce pas là la marque d'un funeste passé?

Seul un fou risquerait de s'endormir sans protection aux abords de cette forêt maléfique.

Jet de rencontre secret

La nuit fut teintée de bruits dans les fourres, rien de bien inquiétant lorsque l'on sait qu'on est en sécurité accompagné d'une armée, mais lorsque l'on était seul aux abords de ces bois les moindres petits claquement de branches pouvaient vous faire sursauter. Le marchand, lui, dormait à poings fermés à croire qu'il savait que tu veillerait sur le camp tout le nuit.

Le petit déjeuner fut frugal, un morceau de pain commençant à durcir accompagné de fromage et de viande séchée de qualité médiocre et d'une rasade de bière tiède pour faire passer le tout.

L'heure du départ arriva et bientôt le sinistre cliquetis de la carriole se remit en branle. Vous arrivèrent à Isenbuttel peu avant midi, le village était en émoi et presque désert. Les quelques personnes qui restaient là commençaient à préparer leurs affaires pour quitter la région.


On n'peut pas rester là, moi j'vous l'dit, y sont maudis et par les Dieux nous z'aut' aussis si on rest' ici!

Y'a rien a craindre c'est qu'des affaires d'bonn' femmes! y'a pas plus d'monstres des bois que d'balloch' dans tes chausses!

A oui et comment t'explique la p'tit Miranda et son frèr' alors? Des contes d'bonnes femmes?

S'sont perdus dans l'coin y vont les r'trouver dans un coin d'ici peu tu verras

Ca ou alors il a raison... Moi j'dis y faut partir avant qu'ce soit nous !

Non loin des premières maisons, sur ce qui semblait être une place publique, au pieds d'un chêne plus que centenaire, un groupe d’hommes et de femmes parlaient ou plutôt hurlaient. A la vue de ta tenue et des symboles (Sigmar et Morr) qui ornent celle-ci, tous se taisent et se mettent en cercle, attendant de toi, certainement, que tu prennes la parole.

[Chris]

Une froide et longue nuit suivit d'un repas des moins consistant aurait fait plongé bon nombre de voyageur dans l'acrimonie la plus total, mais Christopher restait silencieusement penché vers son bol réfléchissant à comment il allait opérer. Il ce disait que dans un premier temps il ne cacherait pas ses insignes dans les villages alentours, cela permettrait de répandre la nouvelle de l'arriver d'un membre l'académie et ainsi tranquilliser la population du moins il l'espérait. Mais au niveau de Rosche il lui serait nécessaire de rester discret, afin de faciliter mon investigation. Alors qu'ils ce remirent en route les cliquetis reprirent dès à présent Christopher était âcre.

L'Astre et la faim tiraillait Christopher sous les coups de nombreux assauts, Isenbuttel était enfin en vue mais malheureusement une vive effervescence parcourait déjà le village quasiment déserté. Au pied d'un Pillier du Ciel, un petit groupe c'était rassemblait, ils braillaient tous très fort et dans les vents de parole qui ce déchainaient Christopher ne pus qu'identifier un frêle petit bonhomme tressaillant et vociférant des mots en zozotant "Y sont maudis ! "

Machinalement intrigué par ces paroles, Christopher fit quelques pas en avant et sans s'en rendre compte un cercle d'interlocuteurs c'était formé, tous silencieux et attentif. Après un léger silence, en s'adressant à l'auditoire
" Pourquoi tant de Hâte ? N'avez vous pas reçu l'ordre de notre seigneur de rester ici ? "
Christopher commence à marcher calmement en rond pour pouvoir observer tout son auditoire, espérant trouver les éléments les plus apeurés de l'assemblée à rassurer.

Demande d'un test d'observation, avec empathie pour voir les éléments les plus apeurés (si c'est autorisé bien entendu)

Bien que impassible la situation actuel m'avait conforté dans la nécessité de rester discret, bien qu'une action frontale puisse rallier un grand nombre de personnes à ma cause elle reste n'est en moins risqué. Bien plus important, je ne connais rien de cette endroit je dois donc me montrer méfiant.

Si possible aussi, je souhaite utiliser "sixième sens" au cas où.

[[MJ] Malal]

Rester ici? Z'en avez d'bonn' vous ! Y va pas falloir deux lunes avant qu'ce soit not' tour d'êtr' bouffer moi j'vous l'dis !

Tous acquiesçaient, la peur et la colère étaient palpables.

On peut entendre non loin une foule parler et marcher. Ils arrivent bientôt sur la place. A leur tête un forgeron à première vue. Celui-ci est rondouillard et arbore son tablier de cuir et son marteau à la ceinture. C'est bientôt une petite vingtaine d'hommes "en arme", enfin, armés de fourches, de faux ou de hache de bûcherons, qui se pressent sur la place.

Il suffirait d'une étincelle pour que tout ce bourbier s'enflamme et que les villageois deviennent ingérables.

Z'êtes venus pour nous aider?

[Chris]

La situation s'envenimait déjà au niveau de la place quand une groupe de citoyens armés débarqua, Un vieille homme trapus s'avança l'air confiant, c'était un forgeron et ses compagnons d'infortunes n'étaient que des paysans à peine armé de fourches, de gourdins. En somme il n'avait aucune chance, et ça Christopher le savait mais cela l'importait-il ? Après tout que ces fous ce jettent têtes baissées pour affronter un danger qu'ils ne connaissent pas pourrait donner un précieux avantage à Christopher, et il le savait l'initiative sera à la fois nécessaire et certainement décisive dans l'affrontement qui l'attendait.

Néanmoins il restait un problème à régler, la population désertait et si ce groupe " d'aventuriers " venait à périr la panique gagnerait une bien plus grande zone et cela il ne pouvait le laisser faire lui qui avait été envoyer pour régler la situation. Christopher avait fait son choix, si il ne parvenait pas à gagner la confiance de ces gens et à les raisonner leur mort servirait son dessin et il n'hésiterait pas à les envoyer à une mort certaine. "Ceux qui le suivront, vivront..."

" Z'êtes venu pour nous aider ? " Demanda le vieil homme

Je suis ici sur ordre formel de William Alsbourg prêtre Puritains et représentant du Saint Ordre de la Torche, pour enquêter sur les évènements troublants sévissant dans les alentours de Rosche. Moi, Christopher Sigean Chasseur de monstre de ma fonction fait halte dans votre bourgade afin de recueillir des informations au sujet de mon affaire, et comme je peux le constater un retour au calme s'impose.

Christopher monte au niveau du chêne afin d'être surélevé par rapport à la foule.

Vous êtes pour certain effrayé pour d'autres en colère, et je comprends cela. Mais et croyez en mon expérience à ce sujet, votre groupe armé d'hommes non formés et sous équipé n'est voués qu'au suicide. Vous ne savez pas ce que vous allez affronté et vous ne savez pas comment vous en défaire, lorsque vous ferez face au Mal quel qu'il soit vous n'aurez que le temps de voir votre mort mourir

Christopher fixe du regard le forgeron en disant cela, puis il enlève son gilet de cuir bouilli pour exhiber sa cicatrice sur l'épaule gauche

Voyez, j'ai subit cela en faisant face à un ennemi qui je ne sous estimait pas et pourtant j'ai été blessé. Qu'adviendra-t-il de vos petits corps lorsque ceux-ci céderont sous le poids de notre ennemi ? Vous espérez faire parti de ceux qui survivront ? Vous mourrez.

Christopher avait conscience d'utiliser des mots forts et démoralisant, mais si il devait y avoir des hommes de ce village lors de son affrontement il voulait que ce soit tous de fort et valeureux personnages.

Je ne dis pas que vous êtes voués à mourir, que nul ne pourra lutter contre cette chose mais courir à un suicide certain contre un ennemi inconnu et une erreur d'enfant.
Forgeron! Vous battez le faire comme personne ici, et vous êtes le seul a pouvoir fournir les armes nécessaire à protéger ce village !
Villageois, si vous ne protéger pas vos foyers qui le fera ?! Que des tours de garde soient instauré dès ce soir et que nul ne soit dehors sans autorisation.
Nous trouverons le mal qui sévit, d'ici là personne n'est autorisé à dévié de la droiture et par Sigmar nous laisseront aucun mal emplir ces terres !
Christopher faisant volontairement tinter ses insignes de Sigmar et de Mórr à la vue de tous, espérant que son discours trouvé écho dans ses paroles. Il N'attendait plus qu'une réponse et le seconde devenait de plus en plus longue...

J'imagine que cela va demander soit un test de CHA soit un test de INT mais dans tout les cas j'espère pouvoir utiliser ma compétence Empathie pour trouver les mots juste

[[MJ] Malal]

test CHAR
1d20+0
7+0 = 7
réussite légère

Battre le fer? J'peux pas à moi tout seul armer la ville! Et qui va payer pour le métal? Vous croyez que je peux me permettre de financer une guerre à moi tout seul? Je peux vous façonner 5 têtes de lances par jour si il le faut, mais il faudra les payer... et d'avance je vous prie.. Je peux, à la limite, forger et tremper une épée par jour mais va coûter beaucoup plus cher...

Une petite partie de la foule se disperse en voyant les pourparlers. Un petit groupe d'hommes, six pour être précis, le visage dur, attends les instructions.

On sait pas s'battr'... Comment qu'on va fair' pour s'défendr'?

Z'allez nous apprendre?

Y parlent de monstr'..... Y a l'pèr Gloriot qui dit que quelqu'un aurait vu un homme à tête de loup... D'autres y parlent d'sorcières qui dévor'"raient les enfants...

Kek' qu'vous voulez qu'on fasse d'dvant des sorcière nous z'otes?

Il y avait là:

Tom, le bûcheron, armé d'une hache, les mains aussi rappeuses que le tronc d'un arbre avec son bonnet en cuir rouge

Albert, le fourrageur, avec sa faucille, grand et sec comme une trique

"La boule", un fermier du coin qui, selon les dire, n'aurait pas besoin d'un boeuf pour tirer sa charrue

Frantz et son fils Frantz, eux aussi fermiers, armés d'une fourche tous deux

Ralph, le forgeron, son marteau et son tablier en cuir.

ralph: Je pourrai forger quelques têtes de flèches avec des morceaux de métal... Cela ne coûte pas très cher... Mais il faut que Tom fabrique les arcs... Sauf si vous en avez déjà... Tom: J'ai du vieux bois sec, je pourrai tailler deux ou trois arcs en deux jours... Pas les plus puissants, ni les plus solides mais suffisant pour une ou deux batailles... Mais à part moi... Il ni a que le vieux Bouc' qui sait tirer à l'arc. Albert: L'vieux Bouc est pas bien causant. C't'un chasseur... l'meilleur du village et même des environs. i la bien vieilli mais, l'est toujours adroit l'vieux bougre... l'poblème c'est qui veut plus avoir à faire à nous... Sauf pour échanger l'fruit d'sa chasse avec nos légumes...

Il fallait former ces gens, les entraîner pour qu'ils survivent le plus longtemps possible dans leur folle attaque contre on ne sait trop quoi. Tu ne pouvais rester ici que deux ou trois jours. il te fallait faire des choix.

_ les laisser à leur triste sort
_ les emmener avec toi sans formation comme "force de frappe" et risquer leur mort prématurement.
_ les former avec leurs "armes" pour leur donner une chance
_ fabriquer des lances ou des épées en donnant tout ce que tu as comme or ou en donnant une lettre de gage (que tu peux écrire) mais qui t'engage. Pour en faire de vrais guerriers (qui ne savent pas se servir parfaitement des armes)
_ fabriquer des flèches et des arcs, recruter un second archer mais ne pas entraîner tes "hommes"

[Chris]

Six compagnons d'infortune ne tournèrent pas les talons après mon discours volontairement assassin, il y avait un homme trapu dont la force physique ne faisant aucun doute surnommé " la boule ", un bûcheron et un fourrageur se tenaient à ma droite l'un prénommé Tom, l'autre Albert. Tout deux étaient usés par le temps et le labeur, mais ils semblaient déterminés. Un peu plus vers le centre de ceux petit groupe se tenaient deux hommes, un plus jeune qui semblait plein de fougue et un autre très posé qui regardait le jeune avec une inquiétude tintée de fierté. Ils se nommaient Frantz père et fils quand au dernier c'était l'investigateur de cette compagnie d'infortune. Le vieux forgeron était ratatiné sur son propre dos, mais semblait encore bien brave pour son âge. Après plusieurs secondes à regarder sous toutes les coutures les différents protagonistes présents, Christopher dans un long râle ce mit à parler de manière succincte, le ton dur
" Pendant une journée je vous préparerais et si vous survivez à ce que je vous prépare alors peut-être que je vous laisserais m'accompagner. D'ici là aucun d'entre vous ne dévira de la voie que je lui aurais tracé."

Vous les Frantz, je ne doute pas de votre habilité, mais il va de soi qu'une lance serait plus adéquation avec mes plans, à défaut d'avoir mieux vous vous en contenterez. Vous, on vous surnomme "La boule " mais j'aimerais connaître votre véritable nom, vous aurez besoin d'une arme aussi, une masse idéalement, car je crains que vous soyez le seul à pouvoir vous en servir avec aisance. Ralph pourriez-vous nous préparer cela ? Je payerai et si vous en avez le temps n'hésitez pas à renforcer celle-ci avec des excroissances métalliques. Tom si vous maîtrisez l'arc taillé en un pour vous, inutile de perdre du temps à former les autres. Il serait aussi adéquat que vous cédiez votre hache à Albert, le bougre ne tiendra pas avec une simple faucille. Vous avez jusqu'à demain matin à l'aube pour vous décider...

La nuit fut courte et guère productive heureusement Frantz avait bien voulu me laisser dormir dans sa grange... Peu avant l'aube je me rendis au pied du vieil Arbre en attendant la venu de tous ce qui ne tardèrent pas, ils semblaient tous avoir eu une petite nuit malgré cela ils bombaient le torse. Ralph manquait à l'appel et je me demandais s'il travaillait sur ma commande ou s'il avait simplement décidé de se retirer. Après de brèves salutations, nous nous rendîmes dans un champ avoisinant pour commencer...

Il devait être dix heures et j'avais depuis bien longtemps quitté mon Manteau ainsi que mon gilet avait d'être le plus à l'aise possible j'enchaînais les passe avec chacun de mes compagnons sans prendre de pause, malgré la fatigue j'espérais que de mes efforts il retire de quoi survivre... un peu plus longtemps.

Un test pour savoir qui fait quoi ?