Re: On ne fait pas d'omelettes sans casser d'oeufs...
Posté : 22 juil. 2010, 09:19
Aussitôt que Vladimir eut passé la porte, il se sentit happé vers une petite ruelle adjacente ; il eut beau se débattre son agresseur était fort et il le repoussa sans peine. Il était tout de noir vêtu, et un capuchon cachait son visage. Anxieux, Vladimir essaya d'attraper son épée, en vain ; sa main fut prestement arrêtée par son agresseur.
Une autre silhouette arriva en courant, et dégaina son arme à une vitesse extrêmement rapide, et bondit sur les deux hommes. Sa lame prit la direction du cou de Vladimir, et celui-ci redoutait une deuxième mort immédiate... Mais, au dernier instant, la lame dévia pour entrer dans le mur, et la deuxième main du nouvel arrivé passa à proximité de la gorge de son assaillant, qui tomba au sol, égorgé...
Tout s'était passé si vite que Vladimir était un peu confus ; qui étaient ces deux hommes? Pourquoi avaient-ils essayé de le tuer et comment se faisaient-ils qu'ils étaient aussi puissants? Et... où était passée la future vampire, qui semblait avoir disparu dès qu'il était sortit?
La deuxième silhouette, qui semblait lui avoir sauvé la mise, ôta son capuchon révélant qu'il était... Ludwig!
« Désolé petit, c'est le seul moyen que j'ai trouvé pour faire en sorte que tu ne t'attire pas davantage d'ennui. Ta vampiresse - que tu devras sans doute accepter comme ta femme - est en sécurité. Je l'ai prise de tes bras sans que tu t'en rendes compte dans la maison, et elle y est toujours. Le seul problème c'est que tu es un descendant des Von Carsteins. Le rejeton qui contrôle la ville a sentit ce qu'il se passait, et vu que tu as vampirisé un mortel sans autorisation du comte, tu es actuellement hors-la-loi. C'est pour ça que nous quittons la ville immédiatement. Viens. »
Ludwig lui tourna le dos, entra dans la maison et ressortit avec la jeune femme sur les bras. Vladimir reprit son cheval, qui attendait sur le coté de la corde, et qui était étonnamment sain et sauf, et monta dessus. Ludwig partit quelques secondes, et revint lui aussi avec sa monture.
Ils passèrent de maintes ruelles sombres, passant à coté de mendiants, lépreux et coupes-jarrets jusqu'à ce qu'ils arrivent devant la porte Est de la ville, sans se faire suivre.
Leur petit arrêt à Stirfahre était terminé, il fallait reprendre leur voyage vers le coeur de la Sylvanie...
Une autre silhouette arriva en courant, et dégaina son arme à une vitesse extrêmement rapide, et bondit sur les deux hommes. Sa lame prit la direction du cou de Vladimir, et celui-ci redoutait une deuxième mort immédiate... Mais, au dernier instant, la lame dévia pour entrer dans le mur, et la deuxième main du nouvel arrivé passa à proximité de la gorge de son assaillant, qui tomba au sol, égorgé...
Tout s'était passé si vite que Vladimir était un peu confus ; qui étaient ces deux hommes? Pourquoi avaient-ils essayé de le tuer et comment se faisaient-ils qu'ils étaient aussi puissants? Et... où était passée la future vampire, qui semblait avoir disparu dès qu'il était sortit?
La deuxième silhouette, qui semblait lui avoir sauvé la mise, ôta son capuchon révélant qu'il était... Ludwig!
« Désolé petit, c'est le seul moyen que j'ai trouvé pour faire en sorte que tu ne t'attire pas davantage d'ennui. Ta vampiresse - que tu devras sans doute accepter comme ta femme - est en sécurité. Je l'ai prise de tes bras sans que tu t'en rendes compte dans la maison, et elle y est toujours. Le seul problème c'est que tu es un descendant des Von Carsteins. Le rejeton qui contrôle la ville a sentit ce qu'il se passait, et vu que tu as vampirisé un mortel sans autorisation du comte, tu es actuellement hors-la-loi. C'est pour ça que nous quittons la ville immédiatement. Viens. »
Ludwig lui tourna le dos, entra dans la maison et ressortit avec la jeune femme sur les bras. Vladimir reprit son cheval, qui attendait sur le coté de la corde, et qui était étonnamment sain et sauf, et monta dessus. Ludwig partit quelques secondes, et revint lui aussi avec sa monture.
Ils passèrent de maintes ruelles sombres, passant à coté de mendiants, lépreux et coupes-jarrets jusqu'à ce qu'ils arrivent devant la porte Est de la ville, sans se faire suivre.
Leur petit arrêt à Stirfahre était terminé, il fallait reprendre leur voyage vers le coeur de la Sylvanie...