Table des matières

Informations générales sur le personnage :

Nom et Prénom: Nelrick Chumba
Age: 34 ans
Sexe: Masculin
Race: Chaotique
Carrière: Noble (Voie de la Cour)
Lieu/ville de départ: Duché de Moussillon
Fréquence de jeu: Trois ou quatre fois par semaine
MJ: [MJ] Le Grand Duc


Nom de la ligne FOR END HAB CHAR INT INI ATT PAR TIR NA PV
Profil de départ (+4 PC initiaux) 8 10 8 7 8 8 8 8 11 1 60/60
Profil actuel 8 10 8 8 9 8 8 8 11 1 60/60
Améliorations restantes à acquérir pour level up (déjà acquis/à acquérir) 0/00/00/11/11/10/00/10/10/00/00/5


XP disponible: 0
XP dépensée: 50




Description physique :

La beauté est une chose relative, elle dépend majoritairement de celui ou celle qui la regarde et, souvent, de la façon dont elle est – ou n’est pas – mise en valeur. C’est une donnée volatile dont l’essence est recherchée par tous les artistes, que ce soit sous une forme graphique, musicale, ou écrite. La laideur, elle, au contraire, est bien plus définie. En général, quand une personne est laide, tout le monde s’y accorde sans qu’il y ait besoin d’un grand débat ou même d’une longue hésitation. Chumba, bien qu’il ne l’admette pas, fait invariablement partie de ces personnes que toutes les autres regardent avec dégout… quand elles acceptent même de les regarder.

La première chose que vous remarquerez sans doute chez Neldrick c’est sa taille… ou du moins, le peu qu’il y a. Culminant entre quatre et cinq pieds (environ 1m40) il est dépassé d’une paire de tête par une bonne partie des autres mâles humains. Ridicule ? Attendez de voir la suite ! En plus de sa taille pour le moins risible, Chumba est bien loin d’avoir de belles proportions, rendant la vision du personnage des plus amusantes. Une tête bien trop grande, pendue sur un coup trop fin à la glotte proéminente, surmonte une paire d’épaules menues. Au bout de ces dernières de courts bras noueux supportent de larges mains, qui auraient été – pour sa taille – de véritables battoirs si ce n’est que ses longs doigts arachnéens semblent plus boudinés par une graisse molle que par une force hors du commun. Cette couche disgracieuse cerne d’ailleurs le tronc boudiné de l’homme. Malheureusement pour lui, ces bourrelets rondouillards ne lui offrent même pas les rondeurs du gros, le cantonnant à un « gras » répugnant, presque collant, déformant ses lignes sous des rebonds incongrus de sa peau luisante de crasse et de sueur. Ses jambes, à l’image de ses bras, ne sont que deux cordes, nouées aux genoux, pour attacher ses larges pieds à ses hanches.

Il aurait pu lui suffire de cela pour être la risée de ses connaissances, mais dame nature est généreuse et ce n’était pas là le dernier de ses présents. Parlons de son visage, ce masque répugnant posé sur sa tête trop large par on ne sait quelle déité de la laideur. Osseux, doté de pommettes massives qui déforment sa face, il en aurait l’air squelettique si ce n’était le gras perdu dans ses joues tombantes. Ces dernières se couvrent d’une barbe éparse, amas puant de poils gras et clairsemés qui tentent – vainement - de couvrir la ligne disgracieuse de sa mâchoire et son menton, si fuyant qu’il en est presque inexistant. Surplombant celui-ci, une paire de lèvres molles ouvrent sur sa bouche ; un puits sans fond, dont émane une haleine putride. Ce souffle fétide glissant entre ses dents écartées, jaunies, pour la plupart gâtées par un abus de nourriture et une absence absolue d’hygiène, quand elles ne sont pas tout bonnement manquantes, certaines de celles-ci remplacées par des prothèses dorées à la forme approximative. Au-dessus, son nez se dessine comme du bout du crayon tremblant d’un vieil aveugle atteint de démence. Forme large et écrasée d’os et de cartilage d’où dégouline, sur sa moustache, des lignes de mucus collant, qu’il essuie quand l’envie lui en prend du revers de sa manche. Perdu entre ce nez massif et la protubérance de ses épaisses arcades sourcilières, sont enfoncés deux petit yeux porcins, d’un marron qui n’est pas sans rappeler les excréments de votre compagnon à poils. Globuleux, paré dans des cernes de gras veineux, le regard de Chumba est souvent vague, ne brillant ni par son attention ni pas son intelligence. Le tout est surmonté d’une paire de sourcils touffus semblable deux chenilles brunes qui s’agitent au-dessus de ce regard vide. Ce facies peu ragoutant est encadré par le rideau sombre d’une chevelure grasse. Ces mèches brunâtres tombent de chaque côté de son visage au teinte jaunis, ciré et huileux, la largeur de son front à demi dissimulée sous une frange mal coupée. Un véritable plaisir pour les yeux – si vous avez un besoin pressant de vider vos entrailles par la voix orale.

Description psychologique :

Neldrick possède, pour compenser son physique, une âme brillante de bonté et d’intelligence. Du moins, c’est ce que ses parents ont prétendu tout le temps. Mais bon, tous ceux qui sont entrés en contact avec l’hideux personnage savent à quoi s’en tenir…

Notre nabot « préféré » est d’un naturel hautain et egocentrique comme seul sais l’être un noble bretonniens : pour lui, ne pas avoir le sang bleu rabaisse bien en dessous de l’animal moyen. Cette découpe sans appel de la société s’est toutefois teintée de nuances lorsque d’autre maitre que les lois chevaleresques ont envahis son esprit. Lentement mais surement, il s’est mis à craindre le pouvoir plus que la naissance. Il y a donc « deux » Neldrick : Le premier est un courtisan mielleux, doucereux au point d’en être écœurant dont chaque parole sonne comme la pire des flatteries et qui se prétend tout ce qu’il n’est pas : poète, guerrier et grand séducteur. Le pire étant sans doute qu’il y croit. Le second on ne le rencontre que face à ceux qu’il sait ou pense moins puissant que lui. Dans ce cas c’est une petite teigne abjecte, méprisante et moqueuse. Chaque phrase est une pique ; s’il prend même la peine de vous adresser la parole ! Il limite en général ce genre d’échange au minimum, en privé. Car, en publique, il se fait passer, à grand peine, pour un bon samaritain – suivant les enseignements de sa divinité favorite – il rassure les malades et les vieillissant et se prétendant presque ami du petit peuple.

La réalité de sa pensée se traduit plus par cette seconde « image » qu’il donne de lui. Car sous les mots doux qu’il délivre de sa bouche puante pour lécher les bottes des puissants et des riches, ses pensées sont en général plus acides que la bile. Neldrick est un égocentrique de première, persuadé de sa propre beauté, de son intelligence et de son charme, il vit dans une désillusion permanente – personne ne sais s’il est en réalité doté d’assez de cerveau pour se rendre compte de tout cela et qu’il joue ce personnage pour qu’on le sous-estime… mais cela semble peu probable. Il est profondément joyeux, après tout, n’est-il pas le meilleur ? La seule chose qui puisse gâcher cette autosatisfaction infondée ? La jalousie !

Sans être un éternel insatisfait, Chumba fait partie de ces personnes qui ne supportent pas de voir d’autres dotés de ce qu’ils n’ont pas – heureusement pour lui, persuadé de sa beauté il ne prend pas cela en compte… imaginez sinon ! – et il fera tout, ou presque, pour résoudre cette « injustice » soit en s’appropriant le fruit de ses désirs, de préférence au détriment de l’autre, soit en supprimant l’autre en question ! Il apprécie ainsi de se noyer dans des quantités de nourriture – de qualité discutable car il n’a aucun gout – et dans un luxe tapageur presque ridicule, voulant afficher a tous ce que lui a et que les autres n’ont pas.

Etrangement, le point le plus « bon » de sa personnalité, se retrouve avec ses chiens. Ce sont ces animaux qui le rendent humains. Avec eux c’est un véritable papa gâteaux, il les nourrit lui-même, les caresses et fait en sorte qu’ils aient toujours accès a la meilleur viande et un panier confortable… parfois même, il dort avec eux. De plus, il les entraine souvent pour le combat – l’affrontement contre ses fidèles serviteurs étant d’ailleurs devenue un châtiment commun sur ses terres. Il aime voir les autres souffrir, dans son petit esprit tordu et sombre, cela provoque des étincelles d’un plaisir pervers et le fumet victorieux de la supériorité.

Bien sûr, on ne peut parler de ce qu’il se passe dans la tête de Neldrick sans parler de sa soumission au chaos. Notre noble n’est pas encore un cultiste jusqu’au bout des ongles, mais cela fait presque vingt ans qu’il fréquente les serviteurs du Père des maladies et sa crainte première s’est transformée, au fil du temps, par une foi devenue fanatique. Le nabot puant est d’ailleurs des plus pressés de rependre les dons de son nouveau maitre sur toute la Bretonnie… pour commencer.

Alignement : Loyal Mauvais

Historique du personnage :

La plupart des naissances sont des moments de joie – même si souvent teintés de souffrance – car elles annoncent une nouvelle vie. Ceci est d’autant plus vrai chez la noblesse, une autre bouche à nourrir ne présentant pas pour elle le même danger que pour la plèbe. Mais, cette fois-ci, c’était l’inquiétude qui régnait dans les yeux de la sage-femme alors qu’elle sortait le petit être encore sanglant du corps de sa mère. Pourtant, la génitrice se portait on ne peut mieux et survivrait a cette couche mais, dans ce lieu si particulier, les naissances étaient risquées et beaucoup préparaient une lame ou un baquet d’eau, histoire de finir rapidement la vie d’un enfant déformé. C’était ainsi sur les terres du Duché de Moussillon. Un Duché Maudit.

Nelrick était le troisième fils d’un petit noble de campagne, Lord Chumba. Il grandit cependant avec un seul frère, le premier emporté - très jeune - par un mal qu’aucun rebouteux n’avait su soigner. Il fut formé, dès sa naissance, pour seconder son ainé, héritier du petit manoir de la famille et de la gérance des taudis alentours - qui se targuait d’être un village. On pourrait croire que l’atmosphère putride et délétère aurait fait de l’enfance de ce petit garçon un calvaire mais, au contraire, elle fut très heureuse. Tout laid qu’il soit, le nabot était – relativement – aimé et son grand frère était son compagnon de jeux de tous les instants. Malgré une légère jalousie face au jeune héritier, plus grand, plus beau et bien plus intelligent, ce dernier restait de son sang et malgré une légère rivalité, les sourires persistaient sur leurs lèvres.

Les années s’écoulèrent, douces et sirupeuses, distillant dans l’âme de Neldrick une fierté grandissante, nourrie par les enseignements bretonniens sur la supériorité de la noblesse et le respect – teinté de dégout – que lui montraient les paysans. Durant sa jeunesse, lui et son frère se passionnèrent pour la chasse – chacun pour ses propres raisons – Ils partaient souvent ensemble, le cadet à l’arbalète et l’ainé à la lance, chassant le sanglier, le cerf entre autres choses, cela créa entre eux une complicité profonde… mais, pour notre hideux « héros » cela provoqua surtout son amour de la race canine. Ses chers chiens de chasse devinrent, peu à peu, une de ses passions grandissantes : il les nourrissait lui-même, les élevait, leur apprenant même à combattre. Pourquoi un tel attachement pour ces baveux compagnons ? Eh bien, parce qu’ils faisaient partie de ces rares êtres dont l’amour était sans concessions, sans jugement et sans cette étincelle de pitié dégoutée qui brillait même dans les prunelles fraternelles.

Mais, alors qu’il approchait de sa quinzième année, la vie de Neldrick pris un tournant… tragique. C’était aux heures les plus sombres de la nuit. Soudain, les cris emplirent les ténèbres, hurlements de rage, de douleur et d’agonie. Le castel était attaqué. Aux portes de la petite forteresse délabrée se dressait la masse grouillante d’une harde d’hommes bêtes et de mutants, ces derniers étant, pour la plupart, des villageois qui assumaient enfin leur véritable nature. Brandissant le feu et l’acier cette force sans pitié avait massacré les autres paysans et des flammes embrasaient le village. Sur les remparts, la garde tentait, désemparée, de contenir sous une pluie de flèches constante, l’approche des chaotiques… mais rien n’y faisait. Car du pied des murailles, leurs ennemis ne se privaient pas de faire de même et flèches, lances, traits et armes de jets abattaient, un à un, ceux qui osaient tenir les créneaux.

La famille réveillée se mit rapidement en arme. Lord Chumba, le père enfila sa massive armure de chevalier, sa femme en tant qu’écuyer de fortune, tandis que ses fils se glissaient, en vitesse dans le cuir et la maille. Mais ils n’eurent le temps de mettre en place un quelconque plan de bataille : A peine avaient-ils débarqué dans la cour intérieure que la porte s’arracha de ses gonds, frappée une fois de trop par les coups d’un massif bélier. Hommes bêtes et autres créatures déformées entrèrent tel un raz de marée de violence et de mort. Pendant ce temps un autre flot coulait, emplissant les chausses de Neldrick d’une urine brulante. Tremblant de tout son être, il leva son arbalète. C’est à ce moment-là que son père fut traversé par la pointe distordue d’une lame chaotique, de part en part. Face à lui, la carrure massive d’un chevalier, son armure verdâtre suppurante, comme infectée de mille maux. Une odeur de putréfaction avait empli les lieux et le jeune homme vit les vers dévorer le visage de son père avant même qu’il n’atteigne le sol, mort sur le coup. Son frère, tout de courage et de colère brulante, chargea le monstre, alors même que l’arme du cadet tombait sur la terre battue avec un bruit met, le peu de bravoure qu’il ait jamais eu l’ayant quitté. D’un revers de son arme, le champion du chaos sectionna l’ainé en deux moitiés agitées de soubresauts.

Le temps sembla s’arrêter. Autour d’eux la masse destructrice pillait, brulait, tuait. Sur le corps tremblant de terreur brut de celui qui n’était, finalement, qu’un petit garçon, se dressa l’ombre du mal. De ses yeux injectés de sang cette dernière l’observa, un sourire découvrant ses dents moisie entre lesquelles coulait un pus épais. Sa voix résonna, comme venue de l’esprit même de Chumba, une phrase que ce dernier n’oubliera jamais.

« Alors, petit être… qu’es-tu près à offrir pour garder cette vie ? »

Il lui offrit tout. Sa loyauté, son obéissance… et même cette vie qu’on avait épargnée. Au début, il ne faisait cela que par peur, mais, peu à peu, sa lâcheté naturelle et son manque d’intelligence l’on rendu de plus en plus malléable aux enseignements chaotiques. Lentement il se soumit à Nurgle ; Son esprit se para de dévotion, puis, lentement, de fanatisme. Les années passèrent encore, les fidèles de la pestilence aidèrent à reconstruire le château et à tous on fit croire que la famille Chumba avait tenu contre la Chaos et que Neldrick, seul survivant, héritier légitime de ces terres, les reconstruisait lentement. On lui enseigna les dons du grand père et les milles façon de les apporter aux autres, le nabot devint de plus en plus dangereux et son ego suivit.

Ce mensonge couvrit le jeune homme de gloire alors que, les années passant, il s’enfonçait de plus en plus dans les voix chaotiques. Bien loin d’avoir reçu l’entrainement guerrier de son frère, le cadet devenu héritier n’avait rien d’un chevalier : il avait plutôt le profil d’un courtisan, les arts guerriers ne convenant pas beaucoup à son physique… particulier. Malgré tout, il apprit lentement à gérer son châtelet, aidé par les serviteurs des puissances de la ruine, devenant un avant-poste de ces dernières au cœur de la Bretonnie.




Compétences :

Alphabétisation : Votre personnage est capable de lire et d'écrire les langages utilisant l'alphabet du vieux monde (Bretonnien, Tiléen, Estalien, etc.,) si bien entendu il comprend ce langage (pour cela, il devra posséder la compétence «langue étrangère» pour ce langage. A l'inverse, s'il ne possède que la compétence «langue étrangère» il le comprendra, le parlera mais ne sera ni capable de le lire ni de l'écrire). Dans le RP, pour des raisons purement pratiques on considère que l'occidental est le langage partagé par toutes les races, mais dans certaines situations, le MJ pourra tenir compte de ces différences de langage.

Corruption : Votre personnage connait une palette d'arguments très convaincants et adaptés lorsqu'il tente de soudoyer, acheter, corrompre une personne. Dans ces cas-là, il peut ajouter un bonus de +1 à ses tests de corruption. (Selon l'éthique et la probité de la «cible», le MJ se réserve le droit d'appliquer des modificateurs au test.)

Confection de Maladie : Votre personnage, en tant qu'initié ou sorciers de Nurgle ou skaven du clan Pestilens, est capable de fabriquer un grand nombre de maladies, à partir de petits animaux, de plantes etc., et d'un peu de magie. Pour les skavens, la malepierre fait partie intégrante des processus de création et de production de ces épidémies, tandis que les adeptes de Nurgle utilisent les voies plus subtiles de la magie et des sacrifices. Votre personnage peut aussi fabriquer des encens maléfiques qui corrompent les endroits où ils sont brûlés, ou plus directement, qui tuent les vivants qui respirent ces vapeurs. Les vecteurs des épidémies sont souvent les petits rats qui écument les villes, contaminant le petit monde du dessous, puis au travers de morsures bénignes ou de petites griffures, répandent la maladie aux populations de la surface. (Le temps, les effets nécessaires, les conditions pour la réalisation de cette compétence ainsi que les maladies et les effets que votre personnage se propose de produire sont laissés au libre jugement du MJ) (Voir les règles de la magie)

Dressage (canin) : Votre personnage peut entraîner des animaux à faire certains travaux ou des tours précis. Cette compétence est générale et s'applique à tous types d'animaux domestiques (chats, chiens, chevaux etc.). Dresser un animal demande du temps et pour accéder à chaque étape du dressage, à chaque fois, un test de dressage devra être réussi. En cas échec à ce test, il ne pourra pas le réitérer avant 1D3 semaines. Voici quelques exemples de ce que peut obtenir le dresseur et le temps nécessaire pour y parvenir : - Obéir à un simple mot en la présence de votre personnage : 1 semaine - Compter, tenir en équilibre sur une balle, faire un enchaînement de tours : 3 semaines - Aller chercher un objet ou exécuter un ordre en dehors de la présence de votre personnage : 10 semaines - Entraîner un cheval, un faucon, un chien, etc., à combattre : 12 semaines (Un cheval de guerre pourra être habitué à rester calme au milieu d'un vacarme. Un faucon répondra aux ordres “attaques” et “reviens” ou reviendra au leurre. La loyauté d'un animal ne peut pas toujours être transférée à un nouveau maître. Le MJ devra déterminer si c'est le cas.)

Adresse au tir (arbalète) : Votre personnage se révèle être particulièrement adroit au tir avec un type d'arme précis (à déterminer à l'acquisition de la compétence) et gagne un bonus de +1 à tous les tests de tir avec des armes de ce type. (Exemples de types d'armes de tir : arcs, arbalètes, etc…)

Doctrine du culte (Nurgle) :Votre personnage, en tant qu'initié, prêtre ou cultiste, connait les croyances de base, les détails des cérémonies religieuses, les costumes appropriés, les jours saints, les comportements honorables et interdits, les symboles de son culte/religion, les cérémonies. Il sait également expliquer la signification des jours saints célébrés par le culte/religion, décrire les dispositions traditionnelles de lieux saints de son culte/religion, être capable d'apprendre ces détails aux pratiquants et demandeurs intéressés, etc…)




Inventaires et biens du personnage:

Bourse: 21 Écus d'or, 4 Tournois d'argent


Inventaire
Arbalète - Faite d'if et d'acier. 34+1d8 dégâts Perforante
Épée courte - Une longue dague en fer. 12+1d6 dégâts Rapide
Masque de croûtes desséchées - Constitué de vieilles croûtes nauséabondes, collées ensembles à l'aide d'un mélange de glaires et de morves. 2 pts de protection, -1 Char (sauf Nurgleux)
Haubert - Usé par le temps plus que par les batailles. 11 pts de protection -2 HAB, ATT et PAR
Briquet à Silex - “Il marche une fois sur deux.”
Gourde de vinasse - “Plutôt du bon vinaigre, oui !”
Bijoux de mauvaise facture - Griffés et patinés par le temps.
Pierre à aiguiser - Polie par l'usage, elle est de la taille d'une pomme. +1d2 pts de dégâts lorsque utilisée avant un combat
Tonneau de Bugman XXX frelatée - Pourrissant depuis des décennies dans la réserve du castel, ce tonneau dégage une odeur pestilentielle. Effets inconnus



Parcours

Quêtes accomplies

-

Classes acquises

-

Carrière et classe en cours d'apprentissage

Carrière : Noble (Voie de la Cour)
Classe actuelle : Noble

Dévotion religieuse

Dieu Points de dévotions disponibles Points de dévotions dépensés
Nurgle 20 0

Autres

Il pue, il est laid, il est stupide, arrogant et on ne l'aime pas pour tout cela… quelle surprise non ?


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