Table des matières

Informations générales sur le personnage :

Nom et Prénom: Yrellion
Age: 85 ans
Sexe: Masculin
Race: Haut Elfe
Carrière: Voie de la Garde Maritime
Lieu/ville de départ: Lothern
Fréquence de jeu: 2-3 pots/semaine
MJ: [MJ] Le Gob'


Nom de la ligne FOR END HAB CHAR INT INI ATT PAR TIR NA PV
Profil de départ (+4 PC initiaux) 9 8 9 9 8 9 10 9 9 1 55/55
Profil actuel 9 8 9 9 8 9 10 9 9 1 55/55
Améliorations restantes à acquérir pour level up (déjà acquis/à acquérir) 0/1 0/0 0/1 0/0 0/0 0/1 0/1 0/0 0/1 0/0 0/5


XP disponible: 64
PC dépensés: 4




Description physique :

Yrellion est fin, grand, élancé pourrait-on dire, mais de façon générale, la corpulence n’est pas une marque de différence chez la race elfique. Blond, le visage émincé, les joues creuses, les yeux marrons constamment rétractés à chaque fois qu’il réfléchit, les sourcils tiraient vers le haut, Yrellion ne montre pas vraiment de sympathie sous ce portrait froid, et âpre. Sa bouche fine, et délicate semble avoir été peinte à l’aide d’un pinceau très fin, et elle ne dégage pas beaucoup d’émotions à l’inverse d’autres elfes ; son nez suit parfaitement les lignes de son visage. Ses oreilles, enfin, sont petites, et cachées essentiellement sous ses cheveux blonds, rabattus largement à son côté gauche du fait d’une raie à droite. Toutefois, un petit détail corporel : Yrellion possède trois marques sur son flanc, de couleur pourpre, signe d’une vilaine blessure de jadis, cicatrisée, et auquel Yrellion a pris l’habitude de masquer, s’enveloppant le bas du ventre d’un linge blanc.

Ce détail nous amène à sa garde robe. Yrellion n’aime que deux couleurs, les plus classiques, les plus simples chez les Asur : le bleu et le blanc. Mais Yrellion n’est pas issue d’une famille noble, et ne possède pas grand-chose… pour un Elfe soyons d’accord. Principalement, il porte des tuniques de diverses tailles, souvent bordées d’une couleur sombre, auquel un pourpoint est rajouté. Parfois, un doublet est préféré. Par mauvais temps, une pèlerine noire aux bordures dorées lui sert de protège-pluie. Le bas de son corps est revêtu d’un pantalon, tout ce qu’il y a de plus banal, avec des arabesques bleues ça et là. Enfin, de longues bottes de cuir noir achèvent l’habillage du personnage.

N’étant guère friand de joaillerie, Yrellion ne porte qu’une simple amulette de bronze, à la forme d’une pyramide embrasée, symbole d’Asuryan le Créateur, et auquel le jeune elfe est attaché.

Enfin, à la mort de son père, il prit librement possession de son plastron léger, ainsi que de son épée au pommeau de bronze, et à sa longue lame étincelante.

Description psychologique :

Il est vrai que le visage de cet Elfe reflète une certaine dureté, mais je pense que s’il fallait le décrire convenablement, je dirai d’abord qu’il est solitaire. En fait, il n’est pas d’un naturel altruiste, ni ouvert. Froid, il n’est pas du genre à passer des soirées au théâtre comme peuvent le faire la plupart des autres Elfes, que ce soit pour une comédie ou une dramaturgie. En revanche, il est friand de musique, classique particulièrement, et il peut passer des heures à en écouter. On pourrait dire d’ailleurs qu’il a des goûts de noble à ce propos, comme pour beaucoup d’autre. Il y a très certainement un malaise en lui de ne pas faire partie de l’élite d’Ulthuan, mais curieusement cette tristesse s’est transformée en un rejet de cette classe sociale, qui, fortunée et amatrice d’intrigues, ne participe plus vraiment à la grandeur des Asur… les temps d’Aenarion sont bien loin.

Pourtant, il a toujours envié de posséder, un jour, des terres, un domaine, commander, influencer le Roi Phénix dans les décisions à prendre, mais il se rend bien compte que ceci demeurera toujours un rêve. N’étant pas d’un naturel sociable, il ne possède pas beaucoup d’amis, et ne cherche pas à être populaire. Mais derrière ce tableau, Yrellion n’est pas un égoïste, et encore moins égocentrique. Je dirai qu’il sait se faire discret, et les dernières années en lui ont vu naître une certaine ambition, et un goût de l’aventure. C’est tout naturellement qu’il a décidé de se tourner vers le métier des armes, car depuis un certain temps maintenant, Yrellion s’ennuie profondément. Il a beaucoup réfléchis vers quel corps d’armée se tourner, et de plus en plus, il est convaincu que la Garde Maritime lui conviendrait. Pourquoi ? Parce qu’au fond Yrellion ne sait pas grand-chose des manœuvres maritimes, des combats sur mer, et qu’après tout, à bien y réfléchir, la marine est peut être la dernière force qu’Ulthuan soit capable de rassembler en grand nombre. A terme, le poste d’amiral pourrait nourrir suffisamment l’ambition d’Yrellion, et permettrait de satisfaire son vieux désir de commander.

Par ailleurs, il aime beaucoup la lecture, mais cela ne fait pas avancer grand-chose… qu’est-ce qu’il y aurait à avancer d’ailleurs ? Ah oui, la Grandeur d’Ulthuan bien entendu.

Alignement : Loyal neutre

Historique du personnage :

Né il y a 85 ans dans le Royaume d’Eataine, dans un petit village au sud de la forteresse du Guet Eternel, Yrellion a vu le jour dans une famille modeste de la société elfique. Roturier, son père a servi très tôt dans l’armée en tant que lancier, puis sentinelle, les champions de régiment. Il se trouva sur tous les continents où la présence elfique était établie, fut parfois amener dans des escarmouches ou missions secrètes. Mais, un peu à l’image de son fils à présent, le père ne tissa jamais de lien avec la hiérarchie, trop distant, et finit par mourir dans une expédition dans les Terres du Sud ; son corps et ses armes rapatriés chez lui. Sa mère, musicienne, parvient tout juste à éduquer convenablement son fils. Issue d’une famille d’artiste, elle avait en effet un don pour la plupart des instruments, mais la mort de son époux, fit naître en elle une profonde déprime, et l’inspiration de nouveaux morceaux se raréfia. Il devenait de plus en plus difficile de subvenir à leur besoin, et Yrellion dut arrêter ses études.

Pourtant, le jeune elfe savait parfaitement amuser sa mère, qui comptait plus que tout. Expressif, hyper actif, drôle, le jeune elfe ne semblait pas du tout correspondre à ce qu’il devint par la suite. Qu’est-ce qui a bien pu se passer ?

Un évènement tragique, bien sûr, le frappa à l’aube de ses 85 ans. Il était proche avec un de ses amis, Cirion, qu’il connaissait depuis sa naissance, car tout deux étaient nés le même jour, dans le même village, presqu’à la même heure. Il y avait aussi, tout un groupe d’amis, comme si la jeunesse de ce village s’était rassemblée, et constituée une sorte de pseudo-conseil de la jeunesse où on aimait jouer aux grandes personnes, prendre des décisions, etc. On se réunissait souvent à l’extérieur du village, pour plus de tranquillité. Mis à part ces jeux, Yrellion, aimait aussi se promener, et se rendre à la grande forteresse d’albâtre du Guet Eternel, magnifique à toutes les saisons. Qu’il vente, qu’il pleut, qu’il neige, il y avait toujours un prétexte pour sortir. Un jour, des soldats descendirent dans le village pour afficher une annonce avec une récompense. Apparemment, le fils du gouverneur de la forteresse avait disparu, et restait introuvable. Il avait assisté à une soirée spéciale, très arrosée, auquel certains amis d’Yrellion avaient pris part également, mais dont lui s’était désisté au dernier moment. Fortune à lui, car cette soirée n’était autre qu’un prélude à une succession de festivités extrêmement dérangeantes, et dépravées, auquel Yrellion ne participa jamais. L’organisation était très obscure, et le lieu changeait constamment. Parfois, on n’en revenait même plus. C’était semble-t-il ce qui était arrivé au jeune fils du gouverneur, disparu.

Petit à petit, une bonne partie du pseudo-conseil ne se présentait plus aux réunions, au grand désespoir d’Yrellion, qui pressentait, sans y assister, un grand mal dans ces soirées qui avaient eu lieu récemment. Quant à Cirion, il devenait de plus en plus absent, et lorsqu’il retrouvait son ami, des colères éclataient sur le moindre sujet. Yrellion fut choqué de la dérive comportementale que prenait son ami, tout semblait basculer sans raison. Le plus dur était la haine qu’il développait face à ce monde, face au Roi Phénix, face à ses amis. La tranquillité d’Ulthuan était une injure pour Cirion, qui se mettait de plus en plus à détester son propre peuple.

« Comment, nous les Asur, pouvons-nous nous targuer d’être encore les sauveurs de ce monde, alors que les dieux eux-mêmes nous ont abandonnés, et que nous ne sommes même plus capables d’aligner un seul régiment ? Comment avons-nous pu laisser ces barbares de Sylvains voler nos terres et trahir la confiance du Roi Phénix ? Comment pouvons-nous faire confiance aux Humains qui sont inaptes à se défendre ? Regarde nos cousins du nord, EUX, savent se défendre ». Ces mots, Cirion, et bientôt tout le groupe d’amis, ne cessaient de les répéter, et crier à tout-va l’incapacité de notre peuple à se redresser. Un à un, chacun tomber sous le verbe de Cirion, et rejoignait sa cause. Bientôt, les amis d’hier deviendraient les ennemis d’aujourd’hui. Mais il y a un jour qui restera gravé à jamais dans la mémoire d’Yrellion, la veille du solstice d’été. Les « amis » s’étaient réunis un après-midi pour discuter de « choses graves », c’étaient les mots de Cirion lui-même, et le jeune elfe se souvint qu’une femme, aux cheveux de jais, avait pris place dans la petite assemblée, inconnue des réunions précédentes. Lorsque la pseudo-séance commença, cette femme, repoussante pour une Elfe, déclama avec une verve inconnue jusque-là pour Yrellion, des palabres sur les divinités, le Roi Phénix, sa cour, ses sujets, en quelque sortes, Ulthuan toute entière. Droit, les mains sur les genoux, la bouche entrouverte, Yrellion résistait à la tentation de la croire, mais le plus dur fût ce qu’il suivit : la grande dame se rapprocha du petit autel dressé, sous un grand chêne, sur lequel une statuette d’Asuryan en pierre creuse reposait. D’un geste, elle la saisit, la montra aux autres et dit : « Si les dieux se soucient de vous, s’ils existent, s’ils vous aiment, qu’ils apparaissent ! Ne serait-ce que pour se narguer de leur supériorité, face à vous tous ! ». Et, comme rien ne se produisait, elle la prit, et fracassa la tête sur l’autel, encore, et encore, jusqu’à ce qu’il n’y ait que les pieds de la statuette dans ses mains. Yrellion fut horrifié, mais le plus déroutant, c’est que tout le monde approuvait, et que les dieux laissaient faire. Pourquoi donc ? Avait-elle raison ? Pourquoi il n’y a que les dieux noirs qui récompensent ? A partir de là, tout ne fut que ténèbres, questionnements, remises en question, et surtout rancœurs envers Cirion qui s’était laissé berner par une vulgaire Druchii. Ses anciens amis étaient devenus des disciples de la cause noire. Mais paradoxalement, Cirion l’avait prévenu plusieurs fois, de ne plus assister à ses réunions s’il montrait un quelconque désaccord. Réunion… Pouvait-il encore s’agir de réunion où autrefois la parole était libre, et le débat ouvert ? Non. Yrellion l’assimilait maintenant aux grands prêches, dignes des livres religieux des Humains. Avec beaucoup de sang-froid, Yrellion réfléchissait sur comment agir, tout en observant la folie de ses anciens compagnons. Le cercle était brisé, et Yrellion semblait avoir tout perdu. Ils attendaient le « bon moment » pour agir de leur côté. Yrellion en conclut que ce moment arriverait lors d’une future invasion druchii. Ce mot, d’ailleurs… Si noir… Voilà ce qu’ils étaient devenus : des Druchii. Aussi, il avait pris la décision de ne pas prévenir sa mère, au risque d’une dépression qui la tuerait. Mauvais calcul.

Finalement, Yrellion se sentit investi d’une mission, et prit rapidement l’initiative. Derechef, il alla prévenir le commandant de la garnison des folies commises par ses anciens amis, qui n’en faisait plus partis… Sauf peut-être Cirion. C’est comme si des sentiments étaient nés, au moment même où tout basculer, c’était extrêmement frustrant, au point que l’Elfe ne parvenait plus à fermer l’œil. Yrellion les dénonça un par un, et ils furent tous sévèrement condamnés, mais le noyau du groupe, c'est-à-dire Cirion et la vilaine femme, restaient introuvables. Le pire pour le jeune elfe restait à venir : un soir, Yrellion découvrit sa mère morte, totalement massacrée. On lui avait tendu une embuscade. Retenu par deux elfes de main, il ne pouvait rien faire, et la femme aux cheveux noirs s’approcha de lui, prête à lui faire subir mille tourments, un sourire aux lèvres. D’un cimeterre, elle fendit trois marques dans le flanc de l’Elfe qui hurla. Mais Cirion survint, et hurlant de colère, frappa les deux Elfes, et libéra Yrellion. Une querelle intervint entre la femme et lui, mais sans hésiter, Yrellion prit le premier objet sous la main, une amulette représentant une pyramide enflammée, et l’enfonça dans la gorge de la Druchii où le sang gicla. Là, Cirion prit Yrellion par les épaules et le plaqua aux murs d’une violence inouïe, mais qui s’estompa rapidement. Ils se regardèrent longtemps, mais aucun mot ne vint, juste du dégoût, et un amour refoulé. Puis Cirion le relâcha, et s’enfuit à jamais. Par la suite, l’Elfe garda toujours l’amulette autour de son cou, et loua pour toujours Asuryan d’avoir disposé cet objet au bon moment, juste à sa portée pour frapper l’infâme.

Dans les jours qui suivirent, Yrellion décida qu’il était temps de participer à la sauvegarde d’Ulthuan, et se rendit rapidement à Lothern. Mais où aller ? Dans quel corps ? Une décision difficile, même en y réfléchissant, l’on recrutait partout ! Mais alors qu’un majestueux navire, chargé de cargaisons diverses, et transportant des soldats de la Garde Maritime, faisaient son entrée dans le port, l’envie de servir la marine conquit le désir d’Yrellion de servir sa patrie. L’intégrer, c’était voyager partout au service du Roi Phénix et d’Ulthuan, c’était partir explorer des régions méconnues, ouvrir des routes commerciales, aider des alliés en difficulté, chasser des Druchii… Bref, tout ce qui rattachait Ulthuan au monde passait par la marine. Et puis, surtout, c’était une occasion pour le jeune elfe de quitter cette terre qui l’avait bien trop longtemps couvée. L’ambition d’Yrellion se plaisait à imaginer diriger depuis un navire.

Quitter Ulthuan, une terre ensanglantée par le sang de ses proches, pour une mer bien plus écarlate encore ? Oui, c’était son choix. Le choix d’un Elfe cherchant à purger son passé. Et ce n’est pas sans une profonde joie, qu’à l’annonce de sa prise de poste pour être « engagé marinier », Yrellion répondit d’un ton sec, et sévère : « Il était temps ».




Compétences :

ACUITE AUDITIVE (B) : : Votre personnage a développé une ouïe bien au-dessus de la normale. Il peut ajouter un bonus de +1 à tous ses test d'écoute.

ACUITE VISUELLE (B) : : Votre personnage est doué d'une vision exceptionnelle. Il peut ajouter un bonus de +1 pour voir des choses à une distance largement supérieure à la normale ou, au contraire, des choses infiniment petites (Selon le libre jugement du MJ). Cela n'affecte pas la compétence «vision nocturne» (S'il ne possède pas cette dernière, il ne pourra pas profiter de son acuité visuelle dans l'obscurité, par contre, cela modifiera ce qu'il est possible de voir avec une source de lumière, etc.)

ALPHABETISATION (E): : Votre personnage est capable de lire et d'écrire les langages utilisant l'alphabet du vieux monde (Bretonnien, Tiléen, Estalien, etc.,) si bien entendu il comprend ce langage (pour cela, il devra posséder la compétence «langue étrangère» pour ce langage. A l'inverse, s'il ne possède que la compétence «langue étrangère» il le comprendra, le parlera mais ne sera ni capable de le lire ni de l'écrire). Dans le RP, pour des raisons purement pratiques on considère que l'occidental est le langage partagé par toutes les races, mais dans certaines situations, le MJ pourra tenir compte de ces différences de langage.

AMBIDEXTRIE (A): : Votre personnage peut utiliser ses deux mains avec la même habileté et dextérité et ceci sans subir de malus lors des tests. En ce sens, il ne subira aucun désavantage lorsqu'il, pour une raison ou une autre, combattra ou tentera une opération quelconque avec l'une ou l'autre de ses mains. De plus il ne subit pas le malus prévu pour la relance d'attaque ratée lors d'un combat avec deux armes.

ANTICIPATION (B): : Votre personnage, lorsqu'il est en situation de combat, arrive à prévoir les réactions d'un ennemi (Autant ses attaques que ses parades). Pour analyser le style de combat de son adversaire direct, il lui faudra 2 rounds entiers. A partir du 3ème round, cette compétence lui permet d'avoir un bonus de +1 en ATT et en PAR contre ce seul adversaire. (Pour bénéficier de ce bonus contre un autre adversaire, il lui faudra l'avoir combattu pendant au moins 2 rounds)

ESQUIVE (A): : Votre personnage, particulièrement vif et agile, est spécialement entraîné à éviter les coups en combat au corps à corps. Pour faire une esquive, vous devez spécifier, avant la résolution du round, que votre personnage va tenter une esquive. Référez-vous aux règles d’esquive pour connaitre les effets de cette compétence (voir Wiki règles, section Règles concernant le combat au corps à corps).

NATATION (B): : Votre personnage sait nager et bénéficie d'un bonus de +1 lors de toute action en milieu aquatique. (Le MJ peut tenir compte de certaines conditions et appliquer des modificateurs aux tests)




Inventaires et biens du personnage:

Bourse: 7 Couronnes d'or


Inventaire
Épée longue elfique 16+1d8 dégâts/13 parade 1 main
Plastron en plaques légère 10 protection/-2 HAB, -1 ATT et PAR Torse et dos
Pèlerine
Bottes, cuissardes
Médaillon d'Asuryan
Potion de soins
Barre de chocolat de Nowel Objet event saisonnier Octroie +1 INT pendant 1d2 heures (peut rendre malade (indigestion etc) via 1d3,sur un 1)
Biscuit Warfo Objet event saisonnier Un biscuit au sucre de canne de Lustrie posé sur une tranche de massepain Bretonnien. Que demander de plus ? Ce biscuit est le mal à l’état brut tant il est bon ! Rend 1+1d3PV par utilisation.
Biscuit Warfo Objet event saisonnier Un biscuit au sucre de canne de Lustrie posé sur une tranche de massepain Bretonnien. Que demander de plus ? Ce biscuit est le mal à l’état brut tant il est bon ! Rend 1+1d3PV par utilisation.
Biscuit Warfo Objet event saisonnier Un biscuit au sucre de canne de Lustrie posé sur une tranche de massepain Bretonnien. Que demander de plus ? Ce biscuit est le mal à l’état brut tant il est bon ! Rend 1+1d3PV par utilisation.
Gâteau anniversaire Warfo Objet event Un énorme gâteau garnis avec ce que le personnage préfère en termes de nourriture. Un énorme “W” en glaçage brun recouvre le tout. Octroie +1 dans une caractéristique au choix pendant 1d2 heures.


Grimoire


Parcours

Quêtes accomplies

Nom + lien + récompenses obtenues

Classes acquises

Carrière et classe en cours d'apprentissage

Carrière : Voie de la Garde Maritime
Classe actuelle : Engagé marinier

Dévotion religieuse

Dieu Points de dévotions disponibles Points de dévotions dépensés
Asuryan 20 0

Autres


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