Table des matières

Informations générales sur le personnage :

Nom et Prénom: Maicyr Dokæris
Age: 78 ans
Sexe: Féminin
Race: Elfe noire
Carrière: Voie du noble cavalier
Lieu/ville de départ: Moussillon
Fréquence de jeu: Régulière
MJ: [MJ] Le Grand Duc


Nom de la ligne FOR END HAB CHAR INT INI ATT PAR TIR NA PV
Profil de départ (+4 PC initiaux) 8 8 8 10 8 9 8 8 12 1 50/50
Profil actuel 8 8 8 10 8 9 8 8 12 1 50/50
Améliorations restantes à acquérir pour level up (déjà acquis/à acquérir) 0/1-0/1--0/10/1---0/5


XP disponible: 0




Description physique :

Maicyr porte en elle la joliesse ineffable de ceux de sa race. Elle a la chair argentée ainsi que les étoiles qu'apprécie tant le peuple des elfes et sa sveltesse est pétrie d'une jeunesse qu'elle clame éternelle. Bien inspirées et bien habiles étaient les mains qui l'ont façonnée en lui donnant le corps menu des princesses Druchii et la vivacité d'une brise nordique, ses muscles discrets jouant sous la peau au moindre de ses mouvements. Ses lèvres pleines remuent sur de mystérieuses paroles muettes tandis qu'elle danse dans le manoir griffu de sa famille, sa silhouette élancée pétrie d'une grâce et d'une légèreté séculaires. Lorsqu'elle lève son œil unique vers vous, c'est pour vous dévisager de sa pupilles glacée plus pure que le plus chaste des saphirs détenus dans les lointaines entrailles du monde… Des torrents de désirs contradictoires s'amassent derrière le reflet mercuriel de son regard, aussi farouche qu'un fleuve dévalant la montagne !

La jeune noble a le pas souple des cavaliers émérites qui aiment se donner en spectacle, rajustant sa crinière nuitée d'un geste provocant de sa main aux doigts longs et fins. Le port impérial, ses pommettes hautes et saillantes côtoient un nez délicat un rien mutin ; quant à ses oreilles, elle les dégage invariablement de toute mèche rebelle. Il manque un peu de chair à l'une d'elle, vestiges d'une morsure un peu féroce au cours de quelque ébat houleux durant la Nuit des Supplices…

Description psychologique :

Maicyr est une âme tourmentée comme il est impossible de l'appréhender totalement pour les humains. Elle est pétrie d'intentions démesurées à l'endroit de sa propre grandeur, incapable de poser une limite à son ambition et à sa soif de pouvoir. Elle était autrefois une elfe résolument tournée vers sa personne et le regard qu'elle posait sur les autres races du monde était certes dédaigneux et moqueur, mais dépourvu de colère : ce n'est plus le cas aujourd'hui. S'il est une chose qui supplante sa vanité c'est bien la haine grondante au fond de son esprit, le besoin irrépressible de vengeance qui l'anime et la pousse vers les rivages innocents de l'Empire. Rusée et cruelle au-delà du concevable, Maicyr tire une joie impie des souffrances qu'elle est capable d'infliger.

L'enfant des Dokæris est traversée de désirs si farouches que fugaces qui la rendent aussi difficile à côtoyer qu'une tempête en pleine mer : néanmoins, qui sait naviguer sur la houle de ses passions découvrira avec elle une existence débridée, libérée de toute limite ou hésitation. Il n'est rien qui puisse lui inspirer davantage de peur que de fureur, rien non plus qu'elle puisse pardonner ou seulement oublier. Tout ce que vit l'elfe noire se grave en elle et est payé d'une façon ou d'une autre, tôt ou tard, à ce point qu'on l'a parfois surnommée Rougemémoire en la cité de Ghrond (d'où elle est originaire).

Maicyr fut qualifiée de bien des façons en sa cité : son audace a le tranchant acéré d'une lame saisie de folie tandis que son orgueil est aussi doux qu'une lampée de poison dans un verre de vin sombre. La jeune noble est pareille à une panthère portant des gants de velours : soyeuse et subtile au toucher, mais capable de vous sauter à la gorge pour y mordre avec une férocité aveugle. La civilité raffinée et atroce dont elle peut faire preuve n'a d'égale que la brutalité contenue dans son cœur… et celui-ci est bien vaste…

Alignement : Mauvais

Historique du personnage :

« Vous l'avez tuée. Son nom était Ithilëa Vashranis, retenez-le… Elle était la seule once de douceur de mon monde, comme la lueur d'un feu aimant dans l'immensité froide de la mer. Et vous… vous l'avez tuée. Bientôt vous vous souviendrez pourquoi vous craigniez tant les ténèbres ! Pourquoi vos ancêtres sacrifiaient même leurs enfants à vos dieux ! Car je noierai mon chagrin dans le flot de vos larmes… »

Nous sommes venues au monde la même année, vous savez ? C'était une… une belle année. La Nuit des Supplices avait été particulièrement effroyable, mais je ne craignais presque rien. J'appartiens à la famille Dokæris qui est influente en la cité de Ghrond, la Tour du Nord. Elle fut bâtie selon la volonté de la Mère des Sorcières, et c'est à sa domination seule qu'elle est soumise ! Partout en Naggaroth règne notre Roi, mais c'est la parole de Morathi qui dicte la loi de Ghrond. Davantage un bastion d'observation qu'une véritable cité, d'ailleurs. L'agitation démoniaque y est plus prégnante qu'ailleurs, de par la proximité avec les pôles mais également du fait que nous autres, Druchiis du Nord, nous livrons ici à des agapes quelque peu plus… raffinées… que dans le reste de la Terre du Froid. Il faut bien s'amuser, non ?

« C'était elle qui me rendait le sourire lorsque la vie était par trop douloureuse. Elle tirait du beau de la laideur, me montrait ce qu'il était possible de voir dans ces choses sur lesquelles mon regard ne s'arrêtait même pas. Ithilëa… elle voyait de si jolies arabesques dans d'infimes traînées de sang. C'était mon aimée au-delà du raisonnable et au-delà de ce que vous pourriez comprendre. Ma passion d'elle avait des échos vibrants de folie, d'un désir ardent et d'une passion pleine de fureur. Et vous… vous me l'avez prise. Vous me l'avez prise ! »

J'avais sept aînées lorsque que ma mère m'a bercée dans ses bras pour la toute première fois. Seulement des sœurs : les mâles ne sont pas légions à Ghrond, la ville des Sorcières. Simple citoyen ou patricien, Morathi peut vous faire mettre à mort au gré de son humeur et cela est particulièrement vrai pour les hommes. Peut-être est-ce pour cela que je me suis rapidement faite à l'idée que l'on pouvait désirer une femme. Ithilëa…

« J'ai déjà entendu des esclaves torturés murmurer le nom de leur amour dans un dernier soupir et parfois même avec le sourire. Un jour, tracassée par cette manie, j'ai interrogé une partie de notre cheptel à ce sujet. Plusieurs m'ont répondu que malgré leur destinée entre nos mains, ils étaient heureux que cette personne qu'ils aimaient et qui comptait plus qu'eux-mêmes à leurs yeux n'ait pas subi le même sort. Que lorsque votre moitié disparaissait, vous mourriez vous-même un peu. Maintenant qu'Ithilëa n'est plus là, je n'ai pas… je n'ai pas envie de me donner la mort. Plutôt de la dispenser, avec une générosité aveugle et une cruauté sans limite. Vous paierez, oh oui… vous paierez… »

Ithilëa était l'enfant d'une maison vassale de la nôtre depuis notre exil d'Ulthuan et la tradition voulait que les fils et les filles de la lignée Vashranis soient les écuyers de ceux et celles de la lignée Dokæris. Chacun de ces couples séculaires évolua à sa manière au fil des générations, bien entendu : certains fonctionnèrent très bien tandis que d'autres virèrent au meurtre, mais l'usage perdura. Nous étions deux petites filles très ressemblantes, l'une aussi curieuse, irrévérencieuse et facétieuse que l'autre. Il n'était pas rare que nous soyons punies pendant les mêmes périodes, cloîtrées dans nos demeures griffues sous le ciel noir à nous morfondre et à s'inquiéter que l'autre ne nous voie pas, sans savoir qu'elle était exactement dans la même situation : et nous en riions à l'heure des retrouvailles.

« Ils me l'ont prise pour me donner en échange le goût des cauchemars, de la solitude amère et de la douleur du deuil. Je me vengerai. Je me vengerai ! Je façonnerai de mes mains la plus intime de leurs terreurs et je la leur ferai avaler de force. Je ferai coudre le linceul des mères avec la peau du visage de leurs filles, je ferai noyer les garçons des mains enchaînées de leur père. Ils me l'ont prise… »

Nous avons tout appris ensemble dans un premier temps. Les codes de la cour et la répartition des pouvoirs, le jeu de la séduction et de la moquerie, les moments où il fallait défier et ceux où il fallait se soumettre. La vie de nous autres Druchiis est une course sur le fil du rasoir demandant un savant équilibre, où le moindre faux pas peut vous mener à une mort atroce. Cela vous fait vous sentir… vivant ! Et puis les choses ont lentement changé. Ithilëa a commencé à recevoir une formation de soldat : selon les vœux qui nous unissaient elle allait devenir mon écuyer et cela débutait par la discipline et la maîtrise des armes. Mon enseignement à moi était davantage d'ordre politique et théologique. On m'a appris à honorer nos dieux, à utiliser la croyance, la peur et l'exaltation afin de mettre le monde à mes pieds. Nous nous voyions moins le jour ; mais d'autant plus la nuit, où nous nous retrouvions sur les toits acérés de la grande bâtisse des Dokæris afin de contempler les lumières de la cité, écouter les cris des esclaves et deviner notre avenir glorieux dans les étoiles.

« Je ne les ai jamais… détestés. J'avais pour eux du mépris et de l'amusement, du dédain… mais pas de colère. Aujourd'hui je découvre la saveur enivrante de la haine. Oh oui, je les hais… tous, tous autant qu'ils sont… Et je vais m'ingénier à faire de leur existence un enfer, une succession de tragédies. J'ai une longue vie pour cela… »

C'est Ithilëa qui la première m'a suggéré le meurtre de mes sœurs. Elles n'étaient jamais que sept, après tout, or ce nombre peut rapidement être réduit à zéro. Les liens du sang ont néanmoins leur importance dans notre société et même, sont à peu près le seul gage de loyauté que l'on est en droit d'attendre de la part d'un autre individu. J'ai longtemps réfléchi à cette idée, la gardant enfermée dans un recoin sombre de mon cœur afin de l'y laisser germer ou pourrir. Elle a grandi. S'est même épanouie, à la manière d'une belle et vigoureuse fleur noire avide de soleil. La première mort passa réellement pour un accident : la seconde éveilla tous les soupçons, et à la troisième… A la troisième, notre famille éclata. Les sourires aux repas cachaient nombre de poignards et je ne compte plus les esclaves qui ont fini leur existence en convulsant après avoir été forcés de goûter notre vin.

« Son nom était sur mes lèvres, ses traits dans mes rêves. Lorsque je contemplais le monde, je devinais invariablement son ombre à la lisière de mon champ de vision. L'existence sans elle à mes côtés ressemble à une mer déchaînée à laquelle on aurait ôté la lune : plus de raison, plus de logique, plus de mouvement. Il me faut un élan autre que celui de la passion qu'Ithilëa m'inspirait… Je crois en avoir trouvé un. Ma douleur me l'a apporté sur un plateau d'argent… »

Cela a pris longtemps, vous savez. Des décennies d'intrigues, de complots, de tentatives d'assassinats et d'échappées dans la nuit. Nos parents observaient le jeu auquel je me livrais avec mes aînées d'un œil intransigeant, ne s'en mêlant jamais sinon pour nous rappeler les limites que nous franchissions parfois. Ne pas impliquer de familles plus influentes que la nôtre, ne pas prendre le risque d'embarrasser le blason des Dokæris… Mais j'y suis parvenue. A force d'efforts, de ruse et par un savant mélange de violence et d'adresse, je suis devenue l'unique héritière de mes seigneurs et géniteurs. Ils ont alors rompu leur rempart, cette distance qu'ils instauraient avec moi depuis le début de ce conflit intrafamilial : ils ont reconnu que j'étais celle qui leur succéderait et, du fait de ma toute nouvelle unicité, ont tout entrepris pour me protéger des autres maisons. A partir de cet instant et plus que jamais, Ithilëa n'a plus quitté mon côté…

« Je me rappelle de ses caresses sur mon visage, de sa voix dans les ténèbres qui m'aidait à m'endormir sereine. Lorsqu'il m'arrivait de me réveiller en sursaut, la main crispée sur mes draps et le cœur battant des réminiscences de ma lutte avec mes sœurs, c'était pour trouver sa silhouette se découpant à la faveur de la lune et veillant sur moi. Je parvenais alors à retourner à mon repos, l'esprit plein de songes peuplés de sombres splendeurs… »

Nous avons tout vécu ensemble. Nous sommes montés à bord des navires corsaires employés par mon père afin de ravager les côtes impériales, cela pour m'apprendre qui ils étaient et comment négocier avec eux. Nous avons voyagé jusqu'à Naggarond et la cour du Roi, de manière à découvrir par moi-même ce qu'elle était réellement et à expérimenter ses périls pernicieux ainsi que ses indicibles frissons. Nous nous sommes entretenues avec certains agents du temple de Khaine et du couvent des Sorcières… ainsi avais-je pu saisir qui étaient ces fanatiques, le danger qu'ils représentaient mais également quelles opportunités ils étaient capables de m'offrir dans l'ascension vers le pouvoir. Oui, j'ai bien appris… et aujourd'hui tout cela va me servir…

« C'était un raid au nom de notre famille, une expédition montée par les Vashranis menée contre une grande cité de l'Empire afin de rapporter à mes parents une belle cargaison d'esclaves et d'or. Elle m'en avait parlé et j'ai décidé de l'accompagner bien que cela ne soit guère approprié – ceci au nom de notre complicité. Nous avons vogué avec insouciance à travers la mer démontée jusqu'à atteindre les rivages frustes de la nation des hommes. »

Mais ils nous attendaient. Nains crasseux et humains puants. Tonnerre de canons et de fusils, flamboiement du feu sur la surface miroitante de l'eau… Un éclat d'acier a emporté mon œil. Un grondement terrible aux relents de poudre a fait voler en éclats le pont où se tenait Ithilëa. J'ai vu son corps être projeté avec la grâce aérienne que je lui connais, sa longue chevelure si soyeuse volant tout autour de son visage. Au moment où elle a basculé vers les profondeurs, j'ai cru voir comme une expression de… de paix… sur ses traits. Et puis la mer a refermé ses bras jaloux sur elle… J'ai sonné le retour, l'abandon de l'expédition.

« Je vais revenir, oh oui. Je reviendrai sur les terres de l'Empire non plus pour voler ses richesses mais saigner son peuple… J'y ferai germer la plus grande des douleurs, jardinière habile et visionnaire. Je bâtirai des allées de crucifiés autour d'un tapis de chair frémissante ! Je graverai chacune des runes du prénom de mon aimée sur le front des enfants de Sigmar et écrirai une ode à sa mémoire ! Ils récolteront… ce qu'ils ont semé… »




Compétences :

Acuité visuelle (B) (raciale) : Votre personnage est doué d'une vision exceptionnelle. Il peut ajouter un bonus de +1 pour voir des choses à une distance largement supérieure à la normale ou, au contraire, des choses infiniment petites (Selon le libre jugement du MJ). Cela n'affecte pas la compétence «vision nocturne» (S'il ne possède pas cette dernière, il ne pourra pas profiter de son acuité visuelle dans l'obscurité, par contre, cela modifiera ce qu'il est possible de voir avec une source de lumière, etc.)

Vision nocturne (E) (raciale) : Votre personnage est doué de cette faculté de voir dans l'obscurité. Cependant cette obscurité ne devra pas être totale, comme celle des profondeurs de la terre ou les des souterrains d'un château etc. (Il doit au moins exister une source de luminosité : Astres lunaires, bougie etc., Votre personnage n'est pas capable de voir dans une obscurité totale.)

Monte (A) : Votre personnage a appris à monter un animal. Il maitrise les techniques de déplacement et de monte, et n'a pas à craindre de chute lors d'un monté normal. Dans le cas d'une poursuite périlleuse ou d'un combat monté etc., il peut garder le contrôle de son équilibre et de sa monture sous un test de monte réussi (Des modificateurs peuvent être appliqués selon les circonstances). Cette Compétence s'applique principalement aux chevaux et autres équidés mais peut également être appliquée à d'autres animaux susceptibles d'être montées : loups, rhinox, etc.,

Acrobatie équestre (A) : Votre personnage est capable d'effectuer toutes sortes d'acrobaties à cheval comme tenir en équilibre, bondir sur son dos, etc., En pratique, lorsqu'il monte à cheval il peut ajouter un bonus de +1 sur les tests visant à déterminer s'il parvient à garder son équilibre lorsque sa monture s'emballe. En outre, comme pour la compétence «tir en mouvement» il ne subit aucun malus lorsqu'il utilise une arme de tir et de jet sur un cheval en déplacement.

Autorité (B) : Votre personnage, en tant que homme d'arme, ajoute un bonus de +1 lorsque, confronté à des militaires, il essaye de faire prévaloir son autorité, ses ordres etc.…

Alphabétisation (E) : Votre personnage est capable de lire et d'écrire les langages utilisant l'alphabet du vieux monde (Bretonnien, Tiléen, Estalien, etc.,) si bien entendu il comprend ce langage (pour cela, il devra posséder la compétence «langue étrangère» pour ce langage. A l'inverse, s'il ne possède que la compétence «langue étrangère» il le comprendra, le parlera mais ne sera ni capable de le lire ni de l'écrire). Dans le RP, pour des raisons purement pratiques on considère que l'occidental est le langage partagé par toutes les races, mais dans certaines situations, le MJ pourra tenir compte de ces différences de langage.

Tir à déclenchement rapide (B) : Votre personnage est particulièrement vif et adroit avec une arme de tir. Cela lui permet, sur un test réussi d'adresse, de tirer deux projectiles par round au lieu d'un seul (Attention, le niveau de la compétence ne représente pas le nombre de projectiles pouvant être tirés lors du même round ! Leur nombre ne peut être supérieur à 2). Si un personnage utilise cette compétence, chaque tir ce fera avec une pénalité de -1 en HAB pour représenter le fait qu'il raccourcit son temps de visée. (Cette compétence ne peut être pas être utilisée pour les arbalètes ou les armes à poudre, qui nécessitent un temps minimum incompressible pour les recharger.)




Inventaires et biens du personnage:

Bourse: 10 Couronnes d'or


Inventaire
Lance Druchii - Une pointe aux lames épaisses montée sur une hampe sombre. 18+1d8 dégâts 14 parade
Arc elfique - Une arme magnifique aux courbures gravées. 30+1d8 dégâts, Précise Malus de -2 Tir tous les 36 mètres.
Bouclier noir - Un long bouclier sombre portant la rune des Dokaeris. 8+1d6 dégâts, Déstabilisant 16 parade
Kheitan léger - Une armure en lamelles de cuir sombre superposées. 9 points de protection, torse, bras et tête -1 HAB, Att et Par
Peigne en os - Un magnifique objet gravé de fines inscriptions et d'illustrations raffinées.
Torque - En onyx, aux arêtes tranchantes, incrusté d'opales noires.
Longue-vue ornée - Cet instrument permet à l'utilisateur de grossir visuellement les objets et les sites jusqu'à 5 fois.
Carte froissée - Cartographie précisément les rivages et les villes côtières de Bretonnie et de l'Empire.
Coursier elfe noir - Khaladhelthrailir, un pur-sang racé.





Parcours

Quêtes accomplies

-

Classes acquises

-

Carrière et classe en cours d'apprentissage

Carrière : Voie du noble cavalier
Classe actuelle : Noble

Dévotion religieuse

Dieu Points de dévotions disponibles Points de dévotions dépensés
Khaine 10 0

Autres


QR Code
QR Code wiki:fiche_maicyr_dokaeris (generated for current page)