Table des matières

Informations générales sur le personnage :

Nom et Prénom: Endrafen Katja
Age: 25 ans
Sexe: Féminin
Race: Humaine
Carrière: Voie de la chasse
Lieu/ville de départ: Au choix du MJ
Fréquence de jeu: Globalement je peux passer tous les jours.
MJ: [MJ] Le Djinn


Nom de la ligne FOR END HAB CHAR INT INI ATT PAR TIR NA PV
Profil de départ (+4 PC initiaux) 8 8 8 8 8 9 9 9 9 1 60/60
Profil actuel 8 8 9 8 8 9 10 10 10 1 60/60
Améliorations restantes à acquérir pour level up (déjà acquis/à acquérir) --1/1--0/11/11/11/1-0/5


XP disponible: 28
PC dépensés: 4




Description physique :

Katja est une femme épanouie par la jeunesse débordante qui l'anime, au teint légèrement pâle qui appartient aux peuplades des montagnes du Bord du Monde. La vie au grand air a délié ses membres et fuselé son corps, tout en l'émaciant au possible. Son assurance s'exprime, vibrante dans la plupart de ses gestes. Elle possède selon certains de ses camarades un charisme un peu sauvage qui lui vient autant de ses manières de garçon manqué que des propos vibrants qu'elle tient quelques fois, avec les mots qui savent toucher le cœur des hommes et la voix musicale de ceux de l'Ostermark. Non sans une certaine immaturité, elle aime jouer des atouts que la nature lui a donnés, parmi lesquels on compte ses traits harmonieux et le saphir limpide de ses yeux. L'ancienne hors-la-loi porte les cheveux courts, à la garçonne, et ses mèches auburn sont d'une indiscipline qui fait grincer des dents dans le monde militaire auquel elle appartient désormais. Une brève formation en Ostland au milieu de vétérans sévères a achevé de l’assouplir face à la rigueur de l’existence, et de lui apprendre le goût aigre de la hiérarchie. Habile de ses mains, il n'est pas rare de la voir souvent jongler avec une pièce ou une lame, dédiant à qui l'observe un sourire fanfaron des plus déplaisants.

Description psychologique :

L’ancienne hors-la-loi de l’Ostermark est généralement décrite comme une personne irrévérencieuse dont on passe les taquineries grâce à leur caractère badin. Au milieu d’une compagnie de soldats, cette attitude pourrait détonner et lui attirer des ennuis ; pourtant, ils sont plusieurs à trouver sa présence rafraîchissante, et ce n’est pas sans affection qu’on lui attribue le terme « d’exaspérante ». Opportuniste, tricheuse à l’outrance, Katja a fait de l’arnaque son mode de vie et n’a jamais compté abandonner ses bonnes habitudes. Plutôt que de mentir, elle se laisse volontairement aller à d’insolubles demi-vérités qui donnent quelques fois le sentiment à son interlocuteur qu’elle se paie sa tête. La reprise de justice dérobe sans vergogne une pièce ou deux lorsqu’elle le peut, et pourtant on ne peut pas lui enlever une indéniable loyauté. Si on lui posait aujourd’hui la question de sa fidélité, la jeune femme répondrait farouchement qu’elle « ne doit rien à ses chefs, mais tout à ses camarades », tant elle tient en haute estime la valeur des risques partagés et de la peur commune. Le dédain qu’elle affiche (dans leur dos) pour ses supérieurs vient avant tout du fait qu’elle voit toute autorité comme responsable de sa condition actuelle d’engagée. La liberté a été élevée au rang de philosophie par Katja, une philosophie qu’elle défend bec et ongles. C’est en certaines occasions où elle s’exprimait avec véhémence que ses pairs ont pu remarquer chez elle une sorte d’amertume qu’on ne lui soupçonnerait pas de prime abord, et qui expliquerait les répliques cyniques dont elle se fend de temps à autres. Malgré cela, son sens pratique et son audace insupportable en font une camarade agréable, sinon utile.

Alignement : Neutre Bon

Historique du personnage :

La vie n’est pas toujours drôle. C’est ce que le Vieux Monde apprend à ses habitants, et seuls les fous viennent contredire cette vérité. Pour ma part, j’ai reçu une autre leçon ; si l’existence n’a rien d’amusant, alors fais tout pour sourire à chaque instant, et lui faire un pied-de-nez. Après tout, ne sommes-nous pas libres des choix que nous faisons ? Je suis née aux abords de la province nord-est de l’Empire qu’est l’Ostermark, de l’union de Mark et Anita Endrafen. Le premier était chasseur, et il arrivait souvent qu’il s’absente de longues périodes pour ramener le gibier qu’il revendait ensuite au marché des hameaux. Ma mère elle était domestique en ville et avait hérité de quelques connaissances d’apothicaire, bien que son savoir n’ai pas pu sauver mon grand-frère mort quelques années après ma naissance et dont je n’ai qu’un très vague souvenir.

La frontière avec le Kislev et les montagnes du Bord du Monde n’est pas un endroit plaisant au premier coup d’œil. Les orques, les gobelins, les pillards et les maraudeurs abondent aux abords de notre région et les cimetières sont nombreux en Ostermark. Il faut souvent prendre les armes et se défendre, dans le froid ou les forêts, bien loin parfois des murs de la ville., et le culte de Morr y tient une place prépondérante. « Ils ne savent pas s’amuser ni rire », voilà ce que disent les autres citoyens de l’Empire à notre sujet. Mais quoi ? Nous sourions, nous fêtons le jour prochain en perçant les tonneaux, en chantant et en battant la mesure ! A quoi bon pleurer les morts, puisque nos larmes les dérangent ? Viens plutôt danser avec nous, car c’est ainsi que nous vivons en Ostermark ! Enfant, je ne pouvais pas tellement aider mes parents dans leur travail et passais mon temps dans les jambes de ma mère, qui s’échinait comme elle le pouvait à remplir ses obligations envers la famille d’aristocrates qu’elle servait : les von Drakopf, installés à Bechafen. J’avais moins de dix ans lorsqu’elle a été surprise à fourrer un gobelet d’argent dans ses poches. Chez nous, la justice n’a rien de tendre et elle n’a pas protesté lorsque son maître lui a fait donner du fouet plutôt que de la présenter devant un tribunal…

J’y ai assisté, et j’en garde un souvenir d’une clarté terrifiante. Hébétée, je tressaillais à chaque fois que la lanière venait frapper son dos, déchirant indifféremment vêtement et chair. Dans ma mémoire, le sang y coule avec une telle abondance…

Je me suis longtemps interrogée sur le sentiment que cet incident a fait naître en moi car petite, je ne comprenais pas encore qu’il s’agissait de haine. De là vient mon dégoût pour les grands de ce monde, qui ont droit de vie et de mort, mais également de douleur, sur nous autres. Défendez votre liberté avec les ongles s’il le faut, car elle bien plus précieuse que tout ce que vous pourriez posséder d'autre. Quelques années plus tard, j’étais assez mature et grande pour me mettre au travail à mon tour, et les Drakopf m’ont prise à leur service. Ma mère me répétait que c’était une bonne chose, que cette fonction était bien payée et présentait peu d’inconvénients, mais je serrais les dents à chaque fois qu’elle le disait, gagnée par le souvenir de son calvaire. Pourtant j’obéissais, silencieuse et zélée. Cet acte criminel qui nous avait valu tant de souffrance s’était-il profondément inscrit en moi ? Je ne saurais le dire, toujours est-il que je me suis surprise très tôt à voler à mon tour de menus objets. Un couvert, un pendule, un bracelet… que je revendais ensuite dans l’un des villages des environs pendant la nuit. Ça a duré trois ans, avant d’être attrapée. La sanction a été la même que pour ma mère.

Oh, vous pouvez bien vous dire tout ce que vous voulez. Que vous allez résister, que tout ça est un mauvais moment à passer, qu’il suffit d’être forte et d’ignorer la douleur. Mais la douleur ne s’ignore pas. Elle se grave en vous, elle prend possession de chacune de vos émotions et la seule pensée qui vous traverse encore l’esprit c’est « quand donc cela va-t-il s’arrêter ? ». Curieusement, le souvenir que j’en garde n’est pas aussi précis et clair que celui que j’ai de ma mère subissant le même traitement. J’ai mis des semaines entières à me remettre, et la honte a été brûlante. A peine guérie, j’ai décidé qu’il était temps pour moi d’aller voir d’autres cieux loin de cette bonne communauté que je détestais, et je suis allée plus vers l’intérieur de la province, allant de hameaux en villages, laissant famille et passé derrière moi. C’est à Nibeldorf que j’ai entendu parler de cet homme, un certain Marius Enderkart, qui aurait bien besoin « de quelques timbrés débrouillards pour une escapade à Mordheim ». J’ignorais tout de cette ville, sinon sa réputation sinistre de purgatoire d’il y avait plusieurs siècles de ça. Ne prêtant foi ni aux racontars ni aux on-dit, je me disais que j’étais justement une timbrée débrouillarde, et que je pouvais tout aussi bien aller tenter ma chance. Ça n’a pas raté. J’ai suffisamment entortillé mon histoire pour qu’il l’avale, surtout lorsque je lui ai annoncé que « sa pierre magique qu’il cherchait à dérober à Mordheim, là, et bien voler des choses, c’était l’une de mes spécialités ». Plus le mensonge est gros et plus il passe bien, semble-t-il, puisque je me suis retrouvée affiliée à une bande de casse-trognes bigarrés en route pour la cité damnée.

Nous l’avons cherchée, cette maudite pierre, dans les ruines de Mordheim. Nous en franchissions les portes coiffées de gargouilles à l’aube, et les repassions au crépuscule pour dormir dans notre camp provisoire, dressé aux abords. Fouillant les débris de demeures distordues, empruntant des rues aux murs chuchotant. Nous nous sommes perdus par un soir sans lune. Les ombres s’allongeaient de plus en plus et nous étions tous nerveux, incapables de retrouver le chemin dans cette cité qui semblait avoir soudainement changé de configuration, du tout au tout. Et il y a eu les cris… les cris de ceux qui étaient happés dans le noir par des choses que je ne saurais décrire et que je refusais de voir. Des choses qui nous haïssaient spontanément et voulaient nous voir souffrir en plus de nous voir mourir. C’est un homme surgi des ténèbres, un parfait inconnu aux longs cheveux de jais et aux traits sudistes qui est venu me sauver. Grave, inébranlable, il s’est avancé vers moi alors que tous étaient morts ou pire, m’annonçant que je n’avais rien à craindre des horreurs de la nuit car elles le redoutaient. Sur le coup, je l’ai pris pour l’un de ces malades qui errent quelques fois encore dans les avenues de Mordheim, mais pas du tout. Ainsi ai-je fait la connaissance de ce dénommé Sven, en quête lui aussi de la pierre maudite qui disait-on pouvait transmuter le plomb en or et tant d’autres miracles. « Cherchons-la ensemble, il y en aura sûrement assez pour toi et moi » me lança-t-il avec bienveillance. Il m’a même offert un talisman, une pistole d’enfer comme nous les appelons dans l’Empire (une pièce de métal ayant appartenu à un esclave du Chaos et protégeant contre son influence, si pas de la méfiance des Répurgateurs). Je lui soupçonnais des arrière-pensées, bien entendu ; mais quel choix avais-je ? Il était hors de question de rester seule, et Sven ne campait pas à l’extérieur de la ville, c’est donc qu’il avait de la ressource. En fait, j’avais bien l’impression diffuse qu’il ne campait pas du tout, tant il était maladroit lorsque je lui signalais éreintée au bout d’une journée entière de recherches qu’il était peut-être temps de se reposer. Il nous a fallu une semaine. Une semaine délirante à endurer les visions enfiévrées et les spectacles hideux de Mordheim, mais nous y sommes arrivés. Ou plutôt, lui y est arrivé… Je me suis réveillée par un matin embrumé et Sven a jailli devant moi. Ses mains étaient brûlées, et des ongles démesurés, pareils à des griffes, leur donnaient des allures de serres. Son visage aussi était incendié, mais reconnaissable malgré ses yeux éclatés. De longues canines dépassaient de ses lèvres, lui donnant un air bestial.

« Elle devait me guérir ! » hurlait-il avec autant de rage que de souffrance. « Elle devait me guérir ! »

Il est mort là à mes pieds, ses larmes devenant vapeur à peine coulaient-elles. Je me suis enfuie, encore, fuyant toute cette folie. Sans savoir grâce à quel dieu, j’ai pu quitter Mordheim entière et plutôt saine d’esprit, serrant dans mes mains la pistole d’enfer qu’il m’avait offerte. J’ai délaissé l’Ostermark, convaincue que seul le malheur m’attendait encore dans cette région, pour aller dans la province voisine d’Ostland, vivotant de menus larcins et finissant même par tomber sur quelques camarades d'infortune, pour lesquels l'idée de propriété était assez vague. Nous avons ainsi détroussé un certain nombre d'imprudents, sans jamais faire de mal à quiconque. J'ai fini par amasser quelques babioles ici ou là… Et puis comme à mon habitude, j’ai fini par me faire prendre la main dans le sac, et il faut croire que le comte manquait cruellement de personnel puisque me fut faite l’offre de commuer ma peine en engagement « volontaire » dans l’armée impériale. Inutile de dire que j’ai sauté sur l’occasion avant qu’un peu de raison ne le pousse à reconsidérer son offre, sans vraiment penser aux conséquences. Ça n’a pas été une sinécure. Il n’y a pas de femmes parmi les soldats et tout garçon manqué que j’étais, ce n’était pas ce qu’on pouvait appeler un critère sérieux de recrutement. En réalité, je dois cette seconde chance au duc Loft… ou plutôt à ses lieutenants. Cette nuit où j’ai été attrapée était l’une des plus noires que pouvait avoir l’automne. Le guet à mes trousses était parvenu à se faire épauler d’une patrouille de soldats, et ils étaient bien une vingtaine à parcourir les rues. Je leur en ai fait voir de belles pendant plusieurs heures, c’est certain, et en y prenant un malin plaisir encore. Il y en a même quelques-uns qui porteront des cicatrices de flèches en souvenir de cet incident, ainsi que le désagréable souvenir du mucus d’araignée, un poison paralysant que j’affectionnais depuis mon départ de Mordheim. Lorsque les brutes ont fini par me mettre la main dessus, ça a été mon tour de déguster, et je dois probablement la vie à cet homme sous les drapeaux qui a arrêté les membres du guet, signalant que « le duc aurait peut-être besoin des services d’un éclaireur, après ce qui est arrivé à Falstaf… ». Ce furent les mots qui arrêtèrent le poing levé en l’air, et j’ai rapidement été traînée devant un autre engagé. Si je me rappelle bien des pincettes que prirent ces rigolos pour minimiser le temps passé à me courir après, il devait avoir du galon, et il n’y avait bien que ma faiblesse nauséeuse de l’instant pour m’empêcher de rétablir la vérité. L’ennui fut qu’ils ne remarquèrent que j’étais une femme seulement au moment où mon visage couvert de sang fut bien éclairé par les torches de l’édifice.

Je suis restée quelques jours dans les oubliettes avant qu’ils ne se décident enfin, m’en tirant aussi vite qu’ils m’y avaient jetée. C’est là que l’offre proprement dite fut faite, par l’un des représentants du fameux duc : ou je me coltinais un procès expéditif au cours duquel on s’arrangerait pour me coller un ou deux crimes non-résolus jusque-là, ou j’avais une subite montée de patriotisme et rentrais dans le rang, au nom de l’empereur et de ses bons sujets. Lorsque j’ai finement fait remarquer que ce serait bien une première dans l’armée, réponse me fut faite que mon rôle serait un tantinet particulier. Lorsqu’on a déjà mis les pieds à Mordheim, je vous prie de croire qu’on peut sentir venir les arnaques, et d’assez loin quelques fois. Ce jour-là, c’était le véritable guet-apens que je flairais, façon contrat avec les forces impies du nord. Mais ils ont réussi à me convaincre… « Katja Endrafen, c’est ça ? » releva le capitaine. « Oui monsieur. » « Ça sera mon capitaine. Je vais aller droit au but, parce que j’ai d’autres chats de gouttière à fouetter. Le duc a besoin de quelqu’un qui n’aie pas peur de fourrer le nez et les mains là où ça ne sent pas très bon, et nous avons cru comprendre que vous étiez coutumière du fait. » « Et il y a besoin de me refiler les couleurs de l’armée pour ça ? » « Oui, c’est même primordial, puisque le secteur où on vous envoie opérer se trouve dans une zone de conflit. Les affrontements y sont encore périodiques mais seuls des soldats sont envoyés là-bas. » « Alors quoi ? Vous allez me changer en homme ? » « Rien de bien sorcier. Vous intégrez la logistique et allez traverser l’Empire jusqu’au sud-est au triple trot, avec un régiment, jusqu’à la ville de Miragliano. La Tilée, ça vous dit quelque chose ? » « J’aime le soleil. » « Ça tombe bien, parce que de là vous prendrez un navire jusqu’en Arabie. »

Ma stupéfaction devait être amusante puisqu’un éclat moqueur apparut dans les yeux du gradé.

« A présent, votre mission. Le duc souhaite que vous vous joigniez aux forces impériales présentes. Que vous le fassiez en douce ou non, prêtez-leur main-forte : la situation sera peut-être assez… éloignée… des coutumes impériales pour qu’une paire d’yeux supplémentaires soit accueillie, même si ce sont ceux d’une femme. »

Je suppose que par éloignée, il entendait désespérée.

« Vous verrez que les troupes sont à la recherche d’un objet que convoite le duc. Dès lors qu’il sera localisé, emparez-vous en ou veillez à ce que les soldats le fassent. Nul ne doit chercher à le mettre de côté, car il doit retourner en Empire au plus vite. Vous savez écrire ? »

Je lui retournais un regard éloquent.

« Je m’en doutais. Si le responsable en place ne met pas autant d’efforts dans cette mission qu’il le faudrait vous dessinerez ce signe et ferez parvenir un messager jusqu’ici. Si ce n’est qu’une question de temps, vous dessinerez celui-là. Retenez-les. » « Oui mon capitaine. » « Une dernière chose : rappelez-vous que les hommes, ou les femmes, se remplacent sur les terrains. Vous êtes apparue comme une monte-en-l’air efficace au moment où on en avait besoin, alors faites votre boulot et tout ira bien. Mais faites un pas de travers, et vous dérapez jusqu’en bas. »

C'est ainsi que je fus intégrée dans l'un des forts de la province, avec d'autres enrôlés sous l’œil expert de vieux loups à la moustache grisonnante. A force de sanctions, j'ai fini par découvrir que mon échine n'était pas si raide que ça, et qu'après tout je pouvais bien courber la tête de temps à autres, tant que je pouvais continuer à maugréer à voix basse.

Une formation sommaire vite expédiée, et puis l'ordre est tombé : il fallait partir, déjà, en manœuvres. J'étais loin de me douter qu'elles m'amèneraient jusqu'en Arabie…




Compétences :

Adresse au tir - niveau 1 : Votre personnage se révèle être particulièrement adroit au tir et gagne un bonus de +1/niveau à tous les tests de tir.

Tir à déclenchement rapide - niveau 1 : Votre personnage est particulièrement vif et adroit avec une arme de tir. Cela lui permet, sur un test réussi d'adresse, de tirer deux projectiles par round au lieu d'un seul (Attention, le niveau de la compétence ne représente pas le nombre de projectiles pouvant être tirés lors du même round ! Leur nombre ne peut être supérieur à 2). Si un personnage utilise cette compétence, chaque tir ce fera avec une pénalité de -1 en HAB pour représenter le fait qu'il raccourcit son temps de visée. (Cette compétence ne peut être pas être utilisée pour les arbalètes ou les armes à poudre, qui nécessitent un temps minimum incompressible pour les recharger)

Jonglerie - niveau 1 : Votre personnage a appris à jongler avec n'importe quel objet, à le faire tenir en équilibre sur sa tête, son nez, etc., Il peut le lancer ou l'attraper avec une très grande précision jusqu'à une distance de 10 mètres et a donc un bonus de +1/niveau lors de la réalisation de test pour ce genre de situation. (Le MJ peut tenir compte de modificateurs en y ajoutant des malus selon les circonstances – pluie, vent ; obscurité, stress, etc.-). Il bénéficie également d'un bonus de +1 en ATT lorsqu'il lance des armes de jet (ce bonus ne pourra pas excéder +1 et ne tient donc pas compte du niveau de la compétence en situation de combat). Cela peut aussi lui permettre de gagner un peu d'argent lorsqu'il exerce son talent en public. Plus pratiquement, il peut ajouter un bonus de +1/niveau lorsqu'il cherche à divertir et retenir l'attention d'une ou un groupe de personnes.

Réflexes éclairs - niveau 1 : Votre personnage a des réflexes exceptionnellement rapides. Il peut ajouter un bonus de +1/niveau à toutes les actions faisant intervenir la caractéristique INI.

Camouflage rural - niveau 1 : Votre personnage peut se dissimuler parfaitement dans un environnement rural, utilisant les arbres, les branches et le feuillage, les rochers, les taillis etc… comme couverture. Il se voit donc créditer d'un bonus de +1/niveau sur son test de camouflage lorsqu'il reste immobile. (Par environnements ruraux, on entend toutes les zones qui ne sont pas essentiellement urbaines : fermes, campagnes, forêts, champs, bords de rivières, parcs, jardins, jungles, marais, etc., Bien sûr, il est nécessaire que votre personnage trouve un endroit ou quelque chose ou se camoufler et le MJ tiendra compte autant de la qualité du RP que de la topographie du terrain et d'autres circonstances qui peuvent influer sur la réussite ou l'échec du camouflage).

Ambidextrie - niveau 1 : Votre personnage peut utiliser ses deux mains avec la même habileté et dextérité et ceci sans subir de malus lors des tests. En ce sens, il ne subira aucun désavantage lorsqu'il, pour une raison ou une autre, combattra ou tentera une opération quelconque avec l'une ou l'autre de ses mains. De plus il a un bonus de +1 en ATT et en PAR s'il utilise une arme dans chacune de ses mains pour combattre (Attention, cela ne signifie pas qu'il puisse attaquer deux fois dans le même round et le bonus apporté par cette compétence ne peut être supérieur à +1 ; en d'autres termes, cette compétence ne peut être amélioré au-delà du niveau 1)




Inventaires et biens du personnage:

Bourse: 1 Couronne d'or 3 pistoles 9 sous


Inventaire
Épée à une main Une épée, faite en un métal bon marché. Très légère, elle permet une bonne prise en main, ainsi qu'une rapidité de frappe convenable. Parfaite pour une personne n'ayant jamais utilisé une épée. 16+1d8 dégâts / 12 parade
Veste de cuir Parfait pour une petite bourse cherchant une protection légère sans toutefois être inutile. Torse, dos et bras / 5
Dagues de jet (4) Très discret, idéal comme arme à porter sur soi pour se sentir en sécurité ou pour des actions plus mystérieuses… 12+1d6 dégâts / Malus de -2 TIR tous les 6 mètres.
Bolas (2) Arme de jet comprenant plusieurs masses sphériques réunies par des liens, destinées à capturer les animaux en entravant leurs pattes. Malus de -2 TIR tous les 8 mètres / Immobilisante
Rondache Une rondache est un bouclier de forme circulaire et généralement de petite taille et légère. Elle est utilisée dans les combats rapprochés. 4+1d6 dégâts / 14 parade / Déstabilisant
Mucus d'araignée Fabriqué de la même façon que le venin de scorpion vert (en utilisant le cadavre d'un petit animal piqué par une araignée venimeuse), le mucus d'araignée est un dangereux poison paralysant qui ne peut être utilisé qu'en application sur la lame d'une arme. Un adversaire blessé par une lame traitée de cette façon doit réussir un test d'END-2 sous peine de perdre 5 points de dégâts non sauvegardables et de se trouver paralysé pour un nombre de rounds égal à 2d20 - son END.
Bave de chien enragé La bave de chien enragé est un virulent poison à action lente, qui rend progressivement sa victime folle avant de la faire périr d'une mort aussi horrible que douloureuse. Appliquée sur la lame d'une arme ou ajoutée à la nourriture et la boisson, la bave de chien enragé est un moyen très cruel de tuer quelqu'un. En outre, on peut être pratiquement sûr que la maladie sera transmise à d'autres personnes, car le malade mord et attaque ses proches. Le sujet doit réussir un jet d'END-2 sous peine d'attraper la rage.
Flasque en cuir Les flasques sont de petits récipients contenant de l'eau, de la bière, de l'huile ou tout autre liquide.
Gibecière Grand sac doté d'une bretelle. Plus petite qu'un sac à dos, elle est aussi moins encombrante.
Pistole d'enfer Ces talismans d'allure inquiétante sont des morceaux de métal martelé arrachés à l'armure d'un mutant, d'un homme-bête, d'un Maraudeur ou d'un Guerrier du Chaos. Elles sont plus répandues depuis la Tempête du Chaos et sont marquées de runes de mort. Les gens prétendent que lorsque vous en portez une, elle permet « d'acheter » les faveurs de Morr pour un court instant. Ces talismans ne sont pas à proprement parler illégaux, mais ceux qui les portent ont une réputation plutôt douteuse, si bien que se faire prendre par un Répurgateur avec une telle babiole n'est pas une bonne idée.
Parfum (essence de cerise) Pour masquer leurs propres odeurs et la saleté environnante, les gens recourent aux parfums et à l'eau de toilette. Les plus simples sont obtenus à partir de pétales de rose et de fleurs sauvages, tandis que les essences les plus coûteuses sont importées du Cathay ou d'Arabie, comme le santal, l'aveline ou le jasmin.
Bougie de cire Les bougies de cire émettent une lueur plus vive et sont parfois parfumées.
Allumettes Il s'agit d'une tige en bois dont une extrémité est traitée chimiquement pour prendre feu quand on la frotte contre une surface rugueuse.
Dés en os pipés Les dés sont le passe-temps traditionnel des soldats et des prolétaires de tout l'Empire. Ces dés à six faces sont sculptés dans des os d'animaux ou dans du bois. Ils sont vendus par paires.


Grimoire


Parcours

Quêtes accomplies

Nom + lien + récompenses obtenues

Classes acquises

Carrière et classe en cours d'apprentissage

Carrière : Voie de la chasse
Classe actuelle : Apprenti

Dévotion religieuse

Dieu Points de dévotions disponibles Points de dévotions dépensés
Morr 15 0
Sigmar 5 0

Autres


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