Table des matières

Informations générales sur le personnage :

Nom et Prénom: Rosewen Irène
Age: 22 ans
Sexe: Féminin
Race: Humaine
Carrière: Voie de la courtisane
Lieu/ville de départ: Ville de Nuln, dans l'Empire
Fréquence de jeu: Variable
MJ: [MJ] Vivenef


Nom de la ligne FOR END HAB CHAR INT INI ATT PAR TIR NA PV
Profil de départ (+4 PC initiaux) 8 9 9 10 8 8 8 8 8 1 60/60
Profil actuel 9 10 11 13 11 8 8 8 8 1 65/65
Améliorations restantes à acquérir pour level up (déjà acquis/à acquérir) / / 1/2 2/2 2/2 0/3 - - 0/1 - 0/5


XP disponible / XP totale: 0/351
PC dépensés: 13




Description physique :

Je crois pouvoir dire, sans prétention aucune, que j’ai toujours été plutôt jolie. Il faut dire, qu’ayant grandi dans une maison de plaisirs, tous les soins nécessaires à l’embellissement de mon visage et mon corps m’étaient accessibles, et je dois probablement tirer de là cette habitude que j’ai de toujours prendre soin de moi, ainsi qu’un certain goût du luxe. Que cela soit en me prélassant dans de longs bains chauds parfumés aux huiles, en soignant ma vêture, ma coiffure, j’aime à avoir toujours bonne apparence. Je porte donc très souvent des robes de bonne facture, des bijoux et autres accessoires qui rehaussent ma féminité.

Mon teint a toujours été assez clair ; le soleil ne m’a jamais fait don de cette chair hâlée que peuvent avoir certaines femmes. Les traits de mon visage sont fins, et, s’il y a bien une chose que j’apprécie chez moi, ce sont mes grands yeux bleus. « L’on dirait que tu portes du cristal dans ton regard, ma fille ! » me disaient souvent les autres filles de l’établissement. Encadrés par de longs cils souvent maquillés, ils font régulièrement leur petit effet lorsqu’il s’agit de séduction. Un nez droit, des lèvres rosées, et un petit menton terminent mon le portrait de mon visage.

J’ai toujours porté mes cheveux longs ; ils m’arrivent juste un peu en-dessous de la poitrine. Légèrement ondulés, volumineux, leur couleur oscille entre le roux sombre et le cuivré, laissant parfois quelques reflets rouges à la lueur d’une bougie ou d’une lanterne. J’y porte une grande attention, car ils sont pour moi l’un des éléments les plus importants chez une femme. Quant à ma silhouette, l’on pourrait lui donner la forme d’un sablier aux courbes affirmées – un peu trop, à mon simple avis. Une taille bien marquée et soulignée à la fois par les formes de ma poitrine en haut que celles de mes hanches en bas, la faisant paraître plus fine qu’elle ne l’est réellement. Plutôt grande pour une femme – approchant le mètre soixante-dix –, j’aime à porter de longues robes fines qui le dénotent. Pour terminer après tous ces détails banals en eux-mêmes – après tout, n’importe quelle femme a des yeux, des hanches et des seins –, je porte un tatouage à mon bras droit, remontant presque sur l’épaule. Mélange de courbes noires évoquant une mer agitée, il fait le tour de mon membre, à l’image d’un bracelet. Il m’a été fait par l’une de mes collègues prostituées.

Description psychologique :

Une main de fer dans un gant de velours. S’il y a bien une expression qui pourrait aisément me qualifier, je pense que cela serait celle-ci. Je suis douce, souriante, posée, calme. Qualités ou défauts, je ne saurais dire, mais les gens qui me connaissent peu sont parfois surpris, sous ces dehors avenants, d’ensuite se confronter à ma franchise et mon ouverture d’esprit désarmantes. Franchise qui, sans que je sois forcément sèche, déplait à beaucoup, et l’on me qualifie souvent de femme prétentieuse. Peut-être le suis-je un peu. Il faut dire que j’accorde une importance toute particulière au respect, et n’aime pas vraiment que l’on en manque autour de moi. Ainsi je n’hésite pas à dire ce que je pense, il est probable que je ne m’efface pas systématiquement, quitte à m’attirer certains problèmes.

Dans ma vie professionnelle, j’effectue les tâches que l’on m’accorde avec sérieux et minutie. Je suis ferme, mais diplomate. Je tiens beaucoup à l’image que je peux donner, et aime à me teinter d’une certaine noblesse, même si je n’ai bien évidemment aucune goutte de sang-bleu dans les veines.

Réaliste, indépendante, j’ai appris depuis longtemps à me faire confiance, autant dans mes capacités intellectuelles… que physiques. Joueuse, audacieuse, j’aime séduire et n’hésite pas à arpenter les tavernes et autres endroits tapageurs lors de mon temps libre pour faire des rencontres. Peut-être mes lointaines habitudes de l’enfance, quand j’étais encore à arpenter les rues en quête de nourriture, sont encore présentes ; mais j’aime à me promener le soir, profitant de l’ambiance des rues. Cela me permet de m’échapper un peu de la vie de tous les jours, car j’ai un certain besoin d’évasion.

Je peux être égoïste, et patiente, pour atteindre les objectifs que je me fixe. J’ai toujours eu une certaine ambition ; rester courtisane toute ma vie n’a par exemple jamais été mon but… Et pour cela, j’ai un talent tout particulier pour écouter aux portes. Observatrice, mes clients m’en disent parfois beaucoup plus que ce qu’ils laissent paraître. Et, un jour, je suppute que certaines informations pourraient me permettre de devenir un peu plus qu’une simple prostituée.

Alignement : Neutre

Historique du personnage :

Mon histoire ? Elle est somme toute plutôt banale, et plutôt inintéressante. D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours été une enfant des rues de la ville de Nuln, le quartier Neuestadt en particulier. Je n’ai aucun souvenir de mes parents. Ai-je été abandonnée ; sont-ils morts, me laissant orpheline ? Je ne l’ai jamais su, et ne le saurai probablement jamais. La seule chose qui aurait pu me rattacher à un semblant de famille est un collier que j’ai toujours possédé, sans savoir d’où il me vient. Petite, j’aimais me dire qu’il me venait de mes parents, qui finiraient un jour par me retrouver grâce à lui. Mais personne ne m’a jamais reconnue, ni moi, ni ce bijou. Il est d’ailleurs plus probable qu’il n’ait jamais rien signifié, et que je l’aie simplement trouvé un jour au détour d’une ruelle sans m’en rappeler. J’ai de toute manière cessé depuis bien longtemps à m’intéresser à ce genre de considérations.

Sans famille, je faisais donc partie de ces gamins vagabonds qui furetaient çà et là dans les rues mal famées, en quête de nourriture ou d’argent. Tantôt jouant l’enfant désespérée, attendrissant les passants pour qu’ils m’accordent quelques pièces ; tantôt les volant sans scrupules, ma vie était chaque jour un combat pour la survie. Bien des fois dû-je me coucher le ventre vide à même les pavés crasseux, mais n’ayant jamais connu autre chose, je ne crois pas m’en être souvent plainte. A qui aurais-je pu faire entendre mes états d’âme de toute manière ? Je n’ai pas beaucoup plus de souvenirs de cette période, si ce n’est que je m’associais souvent avec d’autres enfants dans le même cas que moi, et que nous nous organisions pour pouvoir récupérer ce qu’il nous fallait pour vivre. Les enfants sont cependant cruels entre eux, et dans une situation comme celle qui était la nôtre, les querelles, ainsi que les luttes, étaient courantes. C’est après m’être battue une énième fois pour récupérer un pain que j’avais réussi à voler, que ma vie allait prendre un tout autre tournant.

J’avais terminé assez mal en point cette fois-ci ; plusieurs bleus au visage, des cheveux arrachés, et possiblement une lèvre fendue… Je ne saurais dire. En tout cas, un état qui aura probablement joué un rôle dans ce qu’allait devenir ma vie après cette nuit-là. Irritée et fatiguée, sans le butin qui aurait dû me servir de repas, j’avais terriblement faim. Il faisait nuit noire et je déambulais dans les ruelles au hasard, espérant vainement trouver quelque chose. Au gré de mes pérégrinations, je finis par arriver non loin d’un établissement bruyant, qui m’attira aussitôt. Me faufilant alors dans ce que je pensais être une taverne – mais qui en réalité était un bordel –, je me fis discrète pour chercher de quoi manger. Ne sachant plus comment, j’avais réussi à atteindre ce qui semblait être le local des lieux, avec des sacs pleins de vivres. Ce fut une des rares fois où je mangeai aussi bien à cette période de ma vie. Le sac que j’avais déchiré sans remords fut rapidement vidé, et, repue, je finis par m’endormir au milieu des boîtes, trop épuisée pour avoir la foi de repartir.

L’on me trouva au matin, et ma présence fit émois. Je me souviens avoir tenté de m’échapper avant que l’on me punisse pour m’être servie sans demander, mais les femmes qui me trouvèrent furent étonnamment très gentilles. On me proposa des vêtements propres et du pain, ainsi qu’un bain. Je restai quelques jours ainsi à profiter, presque ébahie, de toutes ces attentions. Bien que très jeune à l’époque, je compris rapidement que ma présence dans l’établissement posait problème. Beaucoup de femmes m’avaient prise en pitié et souhaitaient ardemment que je reste pour qu’elles puissent s’occuper de moi. Mais la patronne ne l’entendait pas de cette oreille. Après plusieurs jours de négociations, les filles obtinrent gain de cause, sous condition que je me rende utile et ne sois pas une bouche à nourrir pour rien.

Dès lors, je m’occupais du ménage et de la cuisine. Quel âge avais-je à cette époque ? Environ sept ans je présume. Raison pour laquelle les filles des lieux me tenaient totalement écartée de leurs activités, et que je ne comprenais pas vraiment ce qu’il s’y passait, si ce n’est que c’était « des choses d’adulte ». Cela ne m’importait guère à cette époque, parce que pour la première fois de ma vie, j’avais un toit, un lit chaud et trois repas par jour. Parfois un peu plus, même, tellement l’on déplorait à quel point j’étais maigre.

Je fus donc éduquée par des prostituées. Je n’eus jamais à me plaindre de mauvais traitements. Au contraire, étant une des rares enfants de l’établissement, l’on me chouchoutait parfois trop. Même la gérante finit par m’apprécier au fil du temps, elle qui avait été si réticente à ne pas me remettre à la rue. Les filles étaient des anges, et, même si la majorité d’entre elles n’avaient choisi cette activité que par nécessité, aucune n’était amère.

Au fur et à mesure des années, je passais plus de temps avec les filles, les voyais se préparer pour leurs nuits, les aidais même à se coiffer et s’habiller, avant que l’on me ramène dans ma chambre, qui avait été choisie pour être celle la plus éloignée des festivités. Mais leur volonté de me cantonner loin de leur besogne ne marcha pas bien longtemps. A dix ans déjà, je déambulais dans les couloirs en jolie robe que je m’amusais à leur piquer. Je me souviens que l’on avait ri de mon initiative, décrétant que je devrais revenir lorsque j’aurai les atouts pour la remplir, et cela m’avait plutôt vexée. Je m’énervais aussi beaucoup lorsque l’on me ramenait dans ma chambre. Elles étaient pour moi le symbole de la féminité et je prenais beaucoup plaisir à les imiter.

Alors, un soir, je finis par désobéir. Je me souviens n’avoir pas râlé cette fois-ci, lorsque l’on me reconduisit à ma chambre. Et, plusieurs heures plus tard, alors que l’établissement se remplissait de bruits peu orthodoxes, je me débrouillai pour en sortir. Et je continuai ainsi régulièrement ; observant les hommes – ou les femmes – qui rentraient depuis une fenêtre de l’étage, jetant un regard dans le salon d’accueil à travers l’encadrement d’une porte… Je commençais mon adolescence et alors que les formes de mon corps faisaient leur apparition, mon intérêt pour la chair devenait plus accru.

Sans surprise, passée ma période de voyeurisme nocturne, je devins prostituée à mon tour, sans même avoir atteint l’âge de raison. Aujourd’hui, je pense pouvoir affirmer que la gérante m’avait toujours vue comme un futur potentiel gagne-pain, mais jamais l’on ne m’a imposé quoi que ce soit. Cette activité ne fut guère attrayante les premiers temps ; beaucoup moins que ce que j’en avais escompté. Peu étaient les hommes qui parvenaient à me satisfaire.

Les filles changèrent, également. Les femmes qui m’avaient accueillie petite, se faisaient vieillissantes. Si certaines d’entre elles exerçaient encore et faisaient partie de celles avec qui je m’entendais très bien, dans une sorte de relation maternelle, cela n’était pas toujours le cas avec les nouvelles catins recrutées. Nos âges étaient similaires, et une certaine rivalité inévitable intervenait parfois. L’on me jalousait ; car j’avais grandi ici et certaines considéraient que l’on m’accordait trop de privilèges. Et dans un établissement où c’était celle qui attirait le plus de clients qui gagnait mieux son gagne-pain, il y avait quelques fois quelques accrochages, bien que je n’aie jamais été l’instigatrice de telles tensions.

Plus le temps passait, et plus ma vie dans cette maison close me lassait. Je voulais faire autre chose de ma vie ; et mon ambition devenait grandissante chaque jour. Je ferais tout, ou presque, pour me sortir de cette situation, et devenir une femme plus respectable. L’avenir me dirait si j’aurais l’occasion de m’en sortir.




Compétences :

Séduction : Votre personnage dégage une combinaison de charme naturel et d'attrait physique. Il peut ainsi ajouter un bonus de +1 pour tous les tests mettant en jeu des personnes du sexe opposé (voire du même sexe).

Baratin : Votre personnage est doué pour baratiner des individus parlant la même langue que lui. Cette compétence est utilisable dans la plupart des situations, lorsque, il veut gagner du temps ou décontenancer quelqu'un. Votre personnage invente alors un discours extravagant qui a pour effet d'ébahir et plonger l'auditeur dans la confusion, à le subjuguer. Il ajoute un bonus de +1 à ses tests chaque fois où il se retrouve dans ce genre de situation (Le MJ peut tenir compte de bonus ou malus selon la qualité du RP, la crédulité de l'auditoire etc.)

Bas fond : Votre personnage, à force d'évoluer dans des quartiers mal famés, en connait ses règles et ses codes. Il sait aussi où s’adresser pour obtenir des produits illicites, où trouver qui, etc., dans les quartiers pauvres de n'importe quelle ville. Il bénéficie d'un bonus de +1 lors des tests régissant ce genre d'action dans ce genre d'endroit.

Sens du détail : Votre personnage a un sens aiguisé du détail. Il ajoute un bonus de +1 sur ses test de recherche afin de trouver quelque chose de dissimulé : un interrupteur caché, un passage secret, un ouvrage particulier dans une bibliothèque, etc.

Déplacement silencieux : Votre personnage, ajoute un bonus de +1 lorsqu'il cherche à se déplacer et réaliser des actions silencieusement. Cette compétence peut faire l’objet d’une ou plusieurs spécialisations parmi les suivantes : rural (c'est-à-dire dans la campagne), urbain, forestier (y compris la jungle), désertique (chauds et froids), souterrain, montagnard.

Volonté de fer : Votre personnage a une force morale bien au-dessus de la normale. Cette compétence lui permet d'augmenter sa résistance aux effets psychologiques (peur, terreur, etc.). Dans l'une de ces situations, il a un bonus de +1 sur ses tests de volonté.

Fuite : Votre personnage est un coureur agile et rapide. Il obtient un bonus de +1 sur ses tests lorsqu'il cherche à fuir une menace.

Crochetage : Votre personnage a une force morale bien au-dessus de la normale. Cette compétence lui permet d'augmenter sa résistance aux effets psychologiques (peur, terreur, etc.). Dans l'une de ces situations, il a un bonus de +1 sur ses tests de volonté.




Inventaires et biens du personnage:

Bourse: 30 Couronnes d'or et 2 Pistoles et 5 sous


Inventaire
Petite dague 12+1d6 dégâts
Epingle à cheveux 8+1d6 dégâts
Maquillage
Miroir
Parfum
Collier
Savon
Coffret en métal
Cadenas


Grimoire


Parcours

Quêtes accomplies

Nom + lien + récompenses obtenues

Dans l'ombre des puissants ; 276 xp

Classes acquises

Carrière et classe en cours d'apprentissage

Carrière : Voie de la courtisane
Classe actuelle : Prostituée (rang II)

A noter que cette voie n'est pas autre que celle du journaliste, carrière qui correspondrait au mieux au personnage d'Irène. Rien n'a été modifié, si ce ne sont les noms des rangs de la voie du journaliste.

Dévotion religieuse

Dieu Points de dévotions disponibles Points de dévotions dépensés

Autres


QR Code
QR Code wiki:fiche_irene_rosewen (generated for current page)