Table des matières

Informations générales sur le personnage :

Nom et Prénom: Gweria Gwath
Age: 144 ans
Sexe: Féminin
Race: Elfe sylvain
Carrière: Voie du Danseur de Guerre
Lieu/ville de départ: Fyr Darric
Fréquence de jeu: ~2/3 posts par semaine
MJ: [MJ] Neferata


Nom de la ligne FOR END HAB CHAR INT INI ATT PAR TIR NA PV
Profil de départ (+4 PC initiaux) 8 7 11 9 8 10 9 9 10 1 50/50
Profil actuel 8 7 12 9 8 10 10 9 10 1 50/50
Améliorations restantes à acquérir pour level up (déjà acquis/à acquérir) +1INT +1INI +1PAR +5PVs


XP disponible: 15
PC dépensés: 4




Description physique :

Gweria est une belle et athlétique jeune elfe de 144 ans. Elle n’est pas bien grande, elle fait exactement la taille des grandes harpes des Halls Dansants, c'est-à-dire environ 1m58, ce qui n’est pas grand-chose pour une elfe.

Elle est d’une allure gracieuse et fine, si fine, gracieuse et petite qu’on pourrait penser qu’un simple coup de vent la ferait s’envoler ! Quand elle se met en posture de combat, prête à entamer une danse, on a d’ailleurs plus l’impression qu’elle va s’envoler plutôt qu’autre chose. Chaque pas qu’elle effectue semble être son dernier appui au sol avant l’envol, et quand elle saute, on dirait bien qu’elle ne tombera jamais.

De loin, on la croirait superbe et majestueuse comme un coursier d’Isha, tellement son corps est en harmonie avec lui-même et avec la nature qui l’entoure, mais quand on s’approche, son regard perçant et menaçant et surtout sa petite taille cassent cette image et Gweria semble soudainement prête à égorger le premier venu, prête à sauter sur le malandrin qui ose croiser son chemin.

Ayant une peau claire et pale, Gweria s’est fait teindre les cheveux d’un rouge flamboyant comme la forge de Torgovann afin d’ajouter un peu de teinte colorée et de vie dans son allure générale. Afin de renforcer ce côté coloré, et en l’honneur de son premier humanoïde tué, elle se fit tatouer sur l’épaule droite le symbole des ombres, représentant sa capacité à éviter les coups telle une ombre, ainsi qu’une petite tâche en dessous de son œil gauche, signe de son regard perçant.

Si jamais quelqu’un osait retirer le peu de vêtements qui habillent Gweria et en ressortait en vie, il verrait un corps fin et finement musclé. Son ventre est maigre et ses cottes sont légèrement saillantes, bien qu’en partie cachées par ses abdominaux bien formés. Ses rondeurs sont harmonieuses mais de petite taille, et son allure générale est atrocement, affreusement et malheureusement très séduisante et animale.

Ses yeux sont marrons comme l’écorce de Durthu, et les rares fois où ils sont exposés à une lumière vive, on peut voir qu’ils prennent une teinte légèrement dorée, comme les cheveux d’Ariel la radieuse. Elle a un regard perçant, sous-ligné par un tatouage d’un bleu intense comme le ciel sans nuage, et surligné par des sourcils souvent froncés, teintés comme ses cheveux d’un rouge flamboyant et lumineux.

Son nez est légèrement aplati. Enfin quand on parle d’un nez légèrement aplati appartenant à une elfe, on parle bien sûr d’un nez aquilin, mais juste un peu moins aquilin que la moyenne. Son front légèrement proéminent et ses oreilles fines et pointues lui donnent un air assez original, légèrement arrondi, mais très harmonieux. Ses longs cheveux rouges tombent en de multiples tresses dans son dos et sur ses épaules, évitant soigneusement et comme poussés par un vent magique, son tatouage de l’épaule.

Au niveau de sa tenue vestimentaire, elle est très simple et plutôt couverte, pour une danseuse de guerre. En effet, en plus de ses sous-vêtements en peau, qui sont en général l’apanage des danseuses de guerre, Gweria porte un bustier ajusté en cuir qui lui tient chaud au cœur de l’hiver, et qui met en avant ses belles petites formes. On peut d’ailleurs remarquer qu’un guerrier expérimenté et un peu avide des belles formes féminines serait tenté de lui dégrafer son corset d’un coup d’épée bien placé, mais pour cela il faudrait qu’il garde une concentration suffisante et un mental d’enfer afin de parvenir à tenter un coup aussi osé, surtout face à une des plus ferventes admiratrices de Loec.

Description psychologique :

Gweria est parfaitement en accord avec les danseurs de guerre dans sa façon générale de penser. Jouer avec les ombres et les lumières, jouer avec les mots et les tournures de phrases, jouer avec les pensées et les non-dits, et enfin jouer avec la vie et la mort des autres, tous ça lui est parfaitement naturel, normal, dans l’ordre naturel des choses. Sa dévotion à Loec et à son clan n’a aucune limite, et elle préférera mourir plutôt qu’abandonner un membre de son clan ou de nuire à l’image de Loec, le seul Dieu méritant son attention.

S’il y a bien quelque chose de très énigmatique et paradoxal, c’est que Gweria est solitaire, elle adore se balader seule dans la forêt, chantant, dansant, rêvant de découper les intrus. Elle cherche d’ailleurs à passer le plus de temps possible seule, découvrant toujours un peu plus les sentiers cachés de Fyr Darric, mais également d’Athel Loren. Tout ceci alors qu’elle voue un culte sans nom à Loec et à ses augures, dépositaire d’un amour éternel à chaque membre de son clan.

Gweria adore se battre. Ce qui lui plait, ce n’est pas de tuer, ni même de se montrer supérieure, car elle est persuadée de surpasser déjà nombre de ses pairs, mais bien de s’entraîner, se prouvant à elle-même que chaque geste qu’elle effectue doit être amélioré afin de tendre vers la perfection.

D’ailleurs Gweria n’a pas de buts. Elle ne désire que s’améliorer, et détruire les intrus qui entrent dans sa chère forêt. En dehors du combat et du mouvement, elle s’essaie à la ruse, tentant de défaire un adversaire avec les mots plus qu’avec ses lames. Elle a bien des difficultés à y parvenir, mais sa fougue lui permet de s’améliorer à une vitesse hallucinante. En général, Gweria n’est pas peureuse, sauf si elle se sent emprisonnée, car seulement à ce moment elle sera réellement impuissante. Elle ne craint pas la mort, ni celle de ses confrères car ainsi va la vie. Tuer est un acte qui la rend indifférente, tandis que parler et combattre et danser la font presque fantasmer.

En plus de tout cela, Gweria est curieuse. Tellement curieuse qu’elle cherche à entendre toute les histoires connues des elfes, histoires contées par les danseurs des ombres notamment. Elle cherche même à entendre toutes les versions différentes afin d’en obtenir une qui lui parait un peu plus réelle, moins abstraite, à chaque fois que son esprit lui montre en image ce qui s’est passé. Bien que curieuse, solitaire, et danseuse de guerre, Gweria n’hésite pas à partager. Délestée du besoin matériel (hormis de ce dont elle a besoin, c'est-à-dire ses lames), elle partage les informations qu’elle sait quand un elfe est assez courageux pour lui demander des précisions sur une histoire.

Au final, Gweria n’est rien de plus qu’une danseuse de guerre, dévote de Loec. Prête à tout, peur de presque rien, curieuse et amatrice du combat, elle sait s’amuser quand l’envie s’en fait sentir, et sait également se taire quand il le faut.

Alignement : Loyal neutre

Historique du personnage :

Naissance : Gweria est née il y a de cela 144 ans près des Halls des Festins de la Danse Guerrière, en Athel Loren. Ses parents, tous deux membres de la garde éternelle auprès de Dame Heggria, avaient passés leurs vies ensemble. Depuis leur enfance, et pendant leur formation, ils se sont rapprochés, jusqu’à intégrer la garde éternelle, les défenseurs hivernaux de la forêt, les gardiens printaniers des seigneurs de la forêt. Une saison, alors que le retour d’Orion fut plus sauvage que d’habitude, ils prirent part à la chasse sauvage, massacrants des hommes-bêtes qui s’établissaient en petites hardes dans la forêt. Ils combattirent jusque dans les montagnes au Nord-Est, là où Orion rencontra des peaux-vertes, et prirent part à leur destruction. Alors que l’automne arrivait et que la chasse sauvage s’essoufflait, ils suivirent leur peuple qui retournait en Athel Loren, mais ils s’arrêtèrent aux Halls de Tal Driacha. Cette région d’Athel Loren est somptueuse pendant l’automne, qui dure presque toute l’année d’ailleurs, mais elle rend également très mélancolique, et ici, les Asrai respectent plus les morts que nulle part. Ainsi les parents de Gweria pleurèrent leurs semblables perdus, et l’âge faisant, finir par coucher ensemble. Ils restèrent donc ainsi, ensemble pour toujours, même dans leur service de la garde éternelle.

Quelques mois plus tard, une grande horde d’hommes-bêtes avaient été aperçus dans la région d’Anmyr, la terre dévastée. Dame Heggria envoya une partie de sa garde éternelle au combat afin de détruire ses engeances du chaos. Le père de Gweria eu alors le sentiment que sa femme ne reviendrai jamais de ce combat. Ils s’arrêtèrent donc près des Halls des Festins de la Danse Guerrière, et là, sa femme mit à bas Gweria, une toute petite elfe. Ils rejoignirent ensuite le reste de l’armée d’Athel Loren et détruisirent une partie des hommes bêtes. Seulement Orion et sa chasse sauvage étaient sortis d’Athel Loren, et les elfes, bien qu’aidés par les dryades et les lémures, étaient peu nombreux. Ils finirent encerclés par les derniers survivants des hommes-bêtes et ainsi moururent les parents de Gweria, se défendant l’un l’autre, et tuant un maximum de gors pour sauver leur forêt. Les dryades détruisirent les derniers survivants, mais au final, tous les gardes éternels envoyés par Dame Heggria finirent éventrés, piétinés ou brisés par les hommes-bêtes.

Enfance : Gweria fut donc élevée par le clan des danseurs de guerre, en ne sachant rien de son passé, ni de celui de ses parents. Elle fut donc très tôt habituée à la façon surprenante de vivre des servants de Loec. Ils passaient leurs journées à danser, chanter, rire et se battre. A moins que ce ne soit l’inverse, car chaque danse semblait être une chorégraphie mortelle, et chaque combat semblait être une danse virevoltante et majestueuse.

A l’âge de 12 ans (le chiffre 12 est réellement sacré pour les elfes), on commença à lui fournir les vêtements des danseurs de guerre, pour qu’elle puisse s’habiller comme eux.

A l’âge de 50 ans, alors qu’elle entrait dans l’adolescence, Herion, un danseur de guerre vieux comme le monde, la prit à part et l’éloigna de la clairière où virevoltaient elfes et flammes. Ils entrèrent dans la forêt, et il lui banda les yeux. Il la porta sans rien dire, et Gweria, surprise mais confiante, ne dit rien et se laissa faire. Il finit par la déposer sur un rocher, et il lui murmura à l’oreille : « Ecoute petite Gweria, tu dois faire ton choix. Tu ne viens pas du peuple des danseurs de guerre, cela tu le sais. Sache que tes parents sont des gardes de Dame Heggria, et qu’ils se battirent non loin. A partir de maintenant, c’est toi qui décide : soit tu garde ce bandeau et tu cherche des informations sur cette bataille, tu devras ensuite nous rejoindre aux Halls des Festins de la Danse Guerrière et nous raconter l’histoire de ce qu’il s’est passé, soit tu retire ce bandeau et tu t’en vas, dans la direction de ton choix. Sache que ce jour est spécial, et que Loec t’observe, enfant de la forêt. Maintenant, fais ton choix … »

La fin de sa phrase finit dans un murmure, et soudain, il n’était plus là. Gweria pouvait l’entendre respirer, elle entendait les battements de son cœur tout proche et chaud, et soudain, ce fut le silence complet. Du moins, pour un moment. Peu de temps après, les bruits mystérieux et inquiétants de la forêt se firent entendre. Mais Gweria n’y prêta pas la moindre importance. Elle n’avait pas peur. Certes ses yeux étaient bandés, mais elle avait ses oreilles, ses mains, et surtout elle était libre de ses mouvements. Et également libre de réfléchir. Les paroles d’Herion résonnaient dans sa tête. Elle ne sut combien de temps elle resta là, à méditer sur ces paroles, car son choix se fit immédiatement. Elle descendit de son rocher, et tenta de se localiser avec précision. Un point de repère, il lui fallait un point de repère. Elle avança à tâtons jusqu’à trouver un arbre. Elle s’y agrippa de toutes ses forces et commença à se concentrer sur son ouïe. Elle pouvait y arriver !

Gweria écoutait, elle entendait les branches bouger, les animaux se déplacer, les cris lointains des bêtes sauvages. Elle entendait même le bourdonnement d’un farfadet, non loin. Alors qu’elle se concentrait de plus en plus sur ce qui l’entourait, elle sentit quelque chose avec ses mains. L’arbre ! L’arbre avait été lacéré ! Une profonde entaille qui ne s’était pas refermée. La bataille avait donc du se passer ici. Elle se mit à quatre pattes, et sentit une branche d’une forme bizarre … une dryade ! Une dryade avait été ici démembrée, et il ne restait que la tête, pourrissant dans le sol feuillu. Suivant son instinct, elle s’avança dans une direction plutôt aléatoire. Et elle sentit une corne ! Tâtant avec précaution cette chose infecte, elle se rendit compte qu’il devait s’agir d’un crâne d’homme-bête. Lors des récits des danseurs de guerre, on lui avait conté que plusieurs conflits avec les hommes bêtes avaient éclaté, et elle s’était plutôt bien imaginé l’allure menaçante de ces créatures démoniaques. Continuant son chemin en zigzaguant au gré de ses découvertes (d’autres dryades et d’autres hommes-bêtes étaient donc morts ici), elle finit par mettre la main sur quelque chose de froid … Froid et tranchant ! Il s’agissait d’une lame. Suivant la courbure de la lame, elle arriva sur un manche en bois. Une lance ! Herion avait parlé de la garde éternelle ! Elle trouva alors plusieurs dizaines de cadavres, formant un cercle. La garde éternelle avait combattu ici, et avait été battue… Il n’y avait eu sûrement aucun survivant dans cette bataille sanglante. Elle réalisa soudain que ses parents s’étaient battus ici, et avaient dû mourir au milieu de ce champ de bataille, puis elle se leva et tenta de retrouver son chemin. Peu lui importait qui était mort ici, tant que les hommes-bêtes avaient été détruits !

Elle passa le reste de la journée à retrouver son chemin, s’aidant des arbres et cherchant les rires. Elle arriva enfin dans la clairière, retira son bandeau, et se joignit à l’assemblée. En général, les danseurs de guerre, quand ils ne s’entraînent pas, forment de petits groupes d’une quinzaine de personnes autour d’un feu de joie et à tour de rôle, chacun effectue des pirouettes et conte une histoire. Tous ceux habitant dans cette région peuvent assister à ces célébrations de l’histoire, mais seuls les danseurs de guerre peuvent y participer.

Quand Gweria eu rejoint l’assemblée, un danseur de guerre finissait juste de conter une histoire, parlant d’un temps très ancien et de l’époque où les elfes n’étaient pas encore en Athel Loren. Lorsque celui-ci eu finit, Gweria se leva, et s’avança près du feu de camp, attendant une réaction. Herion se trouvait parmi eux, et il lui intima de s’exécuter. Gweria voulu commencer à parler, mais les mots ne venaient pas. Elle regarda les flammes danser et virevolter, et quelques minutes plus tard, elle commença à les imiter. Elle virevolta, changeant brusquement de rythme à chaque brise du vent, et les mots sortirent de sa bouche. Tout d’abord parole, ils devinrent chant, et alors Gweria exulta. Elle contait une histoire, son histoire, et elle dansait, et chantait, et riait en même temps ! Seuls les danseurs de guerre la comprennent, et eux seuls savent comment il faut pour vivre en harmonie avec la nature, ils savent comment vivre heureux. Quand son ballet fut fini, Gweria retourna s’assoir et Herion lui lança un hochement de tête approbateur.

C’est ainsi que Gweria rejoint officiellement et définitivement les danseurs de guerre. Elle commença alors son apprentissage, majoritairement auprès de Herion qui lui apprit les bases des différentes danses des Ombres de Loec. Elle continua à vivre simplement sa vie, tout en dansant et en contant d’autres histoires . Son apprentissage ne comprenait pas le maniement des armes, car les danseurs de guerre sont des danseurs, et non des guerriers. Il leur suffit juste de s’armer, d’avoir un ennemi devant eux, et de se mettre à danser. Leur instinct et les recommandations de Loec font le reste. Elle continua sa formation jusqu’à son passage à l’âge adulte, aux environs de 100 ans. Herion continuait à lui apprendre à se mouvoir, et à mouvoir son langage.

Croissance : Depuis que Gweria est adulte, elle alla plusieurs fois sur des champs de bataille, non pas pour se battre, mais pour observer, et ensuite conter les batailles. Gweria venait d’atteindre l’âge de 144 ans (12 fois 12, un âge encore plus sacré !)lorsqu’on lui offrit une petite bourse à mettre sur sa ceinture avec un flacon de Feyeyès , pour l’aider dans les moments difficiles. Au cours de l’été, un jour, Herion vint à elle : « Demain est le Festival de l’Equinoxe, tu sais ce que ça veut dire. Cela veut dire que demain, les prisonniers de l’année passée vont être mis au défi. » dit-il avec un air moqueur. « Il se trouve que parmi les prisonniers, il y a un paysan en quête d’aventure, ou en pèlerinage, je ne sais trop, qui a réussi par chance à survivre aux dryades. Demain, tu l’affronteras, et tu le tueras. »

Le lendemain eu effectivement lieu le Festival de l’Equinoxe. Et Gweria affronta le paysan. S’était la première fois qu’elle portait une arme dans ses mains, mais l’acier était léger, et l’arme équilibrée. Elle tenta d’adopter une posture défensive, afin d’observer son adversaire. Ce paysan portait quand à lui une épée longue, moins maniable, mais ses gros bras endurcis par le labeur la maniaient sans difficulté. Lui aussi attendait. Gweria tenta alors de porter un coup. Elle fut rapide, très rapide même, mais le paysan l’avait vue venir et para le coup. Il contre-attaqua. Sans précision mais avec puissance et force. Elle tenta de parer le premier coup, mais son épée lui échappa sous le choc. Se reprenant, elle esquiva ensuite les coups du paysan sans grande difficulté. Elle ne comprenait pas pourquoi elle ne pouvait se défaire de ce paysan.

Elle observa autour d’elle, et elle aperçut Herion. Ce qu’elle lut dans son regard suffit à lui faire comprendre. Ce moment n’était pas différent d’un autre. Elle devait juste danser, et raconter son histoire. Elle entra donc en une sorte de transe, où chacun de ses mouvements racontaient son combat contre le paysan. Elle lui infligea une coupure à la jambe, sans qu’il ne puisse voir le coup venir. Elle continua sa danse tourbillonnante, maitrisant avec perfection chacun de ses mouvements, et elle abreuva de coups le paysan. Le pauvre bougre ne pouvait rien faire, il n’était qu’un paysan avec de gros bras après tout.

Quand Gweria eu finit son histoire, elle trouva le paysan à terre et mort. La dernière coupure avait été plus profonde que les 47 autres, et elle lui avait tranché la carotide. Elle essuya donc son épée sur la tunique du paysan, voulu la déposer sur le râtelier d’armes qui lui avait été présenté, mais on lui intima de garder l’épée. Herion lui fit signe de le suivre. Il l’emmena dans le grand Hall de la clairière, où elle fut amenée à Lorior Sirtorel, qui lui demanda de lui conter son combat. Gweria dansa une nouvelle fois, sans son épée bien sûr, mais elle rajouta sa voix à l’ensemble, afin de parachever l’histoire commencée dans l’arène. Une fois qu’elle eu finit, il l’emmena alors dans une pièce où il lui tatoua l’épaule droite et la zone sous l’œil droit. Il lui raconta que chaque tatouages avaient un sens connu de son créateur seul, qu’ils faisaient partie de leur porteur, bien que ceux-ci ne puissent en savoir le sens.




Compétences :

ACROBATIE DE COMBAT (A) : Votre personnage, à contrario de la compétence «acrobatie», a appris à maitriser ses acrobaties dans des situations de combat. Il peut, pour éviter des attaques, ajouter un bonus de +1 quand il tente une « esquive ».

ACUITE AUDITIVE (B) : Votre personnage a développé une ouïe bien au-dessus de la normale. Il peut ajouter un bonus de +1 à tous ses test d'écoute

BARATIN (B) : Votre personnage est doué pour baratiner des individus parlant la même langue que lui. Cette compétence est utilisable dans la plupart des situations, lorsque, il veut gagner du temps ou décontenancer quelqu'un. Votre personnage invente alors un discours extravagant qui a pour effet d'ébahir et plonger l'auditeur dans la confusion, à le subjuguer. Il ajoute un bonus de +1 à ses tests chaque fois où il se retrouve dans ce genre de situation (Le MJ peut tenir compte de bonus ou malus selon la qualité du RP, la crédulité de l'auditoire etc.)

ESQUIVE (A) : Votre personnage, particulièrement vif et agile, est spécialement entraîné à éviter les coups en combat au corps à corps. Pour faire une esquive, vous devez spécifier, avant la résolution du round, que votre personnage va tenter une esquive. Référez-vous aux règles d’esquive pour connaitre les effets de cette compétence (voir Wiki règles, section Règles concernant le combat au corps à corps).

DANSE DE LA LUNE CHANGEANTE (E) : [Danse de Morrslieb] Votre personnage, en tant que danseur de guerre elfe, maîtrise cette technique consistant à effectuer des figures aériennes d'esquive. Il peut ajouter un bonus de +1 en HAB cumulable avec ceux apportés par la compétence «esquive».

DANSE DES OMBRES DE LOEC (E) : Votre personnage, en tant que danseur de guerre elfe maitrise les quatre styles de danse de combat de Loec. En combat, au début de chaque round, il peut choisir de danser une des danses suivantes qui lui offre un bonus temporaire pour ce round uniquement : Danse Hypnotique : Le danseur de guerre obtient un bonus de +1 pour ses tentatives de coups précis. Serpent fantôme : Le danseur de guerre obtient un bonus de +1 en esquive. Tempête de Lames : Le danseur de guerre obtient un bonus de +1 en ATT. Tourbillon de Mort : Les attaques du danseur de guerre infligent +1D6 points de dégâts.

VISION NOCTURNE (E) : Votre personnage est doué de cette faculté de voir dans l'obscurité. Cependant cette obscurité ne devra pas être totale, comme celle des profondeurs de la terre ou les des souterrains d'un château etc. (Il doit au moins exister une source de luminosité : Astres lunaires, bougie etc., Votre personnage n'est pas capable de voir dans une obscurité totale.)

PISTAGE (A) : Votre personnage a cette faculté de pouvoir suivre les traces laissées par des animaux ou des voyageurs. Il ajoute un bonus de +1 lors des tests visant à déterminer s'il arrive à suivre une trace (selon les circonstances et la précaution de ceux qui sont suivis, le MJ peut décider de modifier le test par des modificateurs). Toujours sur un test réussi, d'après des traces de pas, les cendres d'un feu et d'autres indices, il peut arriver à estimer le nombre, la race la distance entre lui et ses proies (en temps et en distance).




Inventaires et biens du personnage:

Bourse: 7 Couronnes d'or


Inventaire
Epée à une main 16+1d8 dégâts Parade 12
Aspect du Serpent +1 aux tests d'esquive rend le port d'armure impossible
Bottes ajustées
Ceinturon de Cuir
Corset de Cuir ajusté
Feyeyès
Petite Sacoche de Cuir
Pépite d'or (5) Valeur de 3 co 7 pa 5 s (les 5)
Biscuit Warfo Objet event saisonnier Un biscuit au sucre de canne de Lustrie posé sur une tranche de massepain Bretonnien. Que demander de plus ? Ce biscuit est le mal à l’état brut tant il est bon ! Rend 1+1d3PV par utilisation.
Biscuit Warfo Objet event saisonnier Un biscuit au sucre de canne de Lustrie posé sur une tranche de massepain Bretonnien. Que demander de plus ? Ce biscuit est le mal à l’état brut tant il est bon ! Rend 1+1d3PV par utilisation.
Biscuit Warfo Objet event saisonnier Un biscuit au sucre de canne de Lustrie posé sur une tranche de massepain Bretonnien. Que demander de plus ? Ce biscuit est le mal à l’état brut tant il est bon ! Rend 1+1d3PV par utilisation.
Gâteau anniversaire Warfo Objet event Un énorme gâteau garnis avec ce que le personnage préfère en termes de nourriture. Un énorme “W” en glaçage brun recouvre le tout. Octroie +1 dans une caractéristique au choix pendant 1d2 heures.


Grimoire


Parcours

Quêtes accomplies

Nom + lien + récompenses obtenues

Classes acquises

Carrière et classe en cours d'apprentissage

Carrière : Voie du Danseur de Guerre
Classe actuelle : Servant de Loec

Dévotion religieuse

Dieu Points de dévotions disponibles Points de dévotions dépensés
Loec 20 0

Autres


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