Informations générales sur le personnage :

Nom et Prénom:	Calandir Aether
Age:	73 ans
Sexe:	Masculin
Race:	Haut Elfe
Carrière:	Voie des Gardes Phénix
Lieu/ville de départ:	Lothern
Fréquence de jeu:	1 post/semaine (mais variable)
MJ:	[MJ] Finubar le Voyageur

Nom de la ligne	FOR	END	HAB	CHAR	INT	INI	ATT	PAR	TIR	NA	PV
Profil de départ (+4 PC initiaux)	9	8	10	9	8	9	9	10	9	1	50/50
Profil actuel	9	8	10	9	8	9	9	10	9	1	50/50
Améliorations restantes à acquérir pour level up (déjà acquis/à acquérir)	0/1	0/0	0/0	0/0	0/0	0/1	0/1	0/1	0/0	0/0	0/5

XP disponible:	90
PC dépensés:	5

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Description physique :

Le soleil se couche sur la cité de Lothern et malgré ce début d'obscurité, un reflet reste encore facilement visible aux abords du calme lagon qui entoure la porte de saphir. Les couleurs de l'aurore donnent une vision encore plus éclatante d'une chevelure d'un rouge vif. Cette chevelure est celle de Calandir, assis sur un rocher à contempler la lumière qui décline alors que la lune commence sa lente course millénaire. Dans ces eaux limpides, on distingue son visage d'acier, des traits fins, mais bien définis déformés par les quelques ondées du lagon. C'est avec le vent que l'on peut observer les quelques perles accrochées à ses cheveux afin de tenir des mèches qui redescendent jusqu’à son dos.

Il se lève et se retourne, on peut maintenant voir sa petite stature et ses bras, taillés par les entrainements subis. Il a la peau mate et arbore un collier ; une sorte de pendentif qui se balance au bout d'une chaine en argent. On distingue enfin clairement son visage, ses traits forts montre une certaine souffrance et son visage neutre, presque figé, pourrait donner crainte à un lion. Ses yeux noisette finissent d'intimider ceux qui le regardent et sa bouche fine reste fermée assez souvent. Les rares mots qui sortent de sa bouche sont assez graves, rauques et on ressent une pointe d'agacement pour chaque son, signe de son mécontentement de vouloir adresser la parole. Il a une démarche assurée et arbore une tunique blanche coupée sur les flancs pour faciliter ses mouvements avec un pantalon large bleu azur et des bottines en cuir simple. On reconnait là une tenue militaire, celle fournie au commencement de l'enrôlement et qui suit un haut elfe jusqu’à la fin de son engagement.

Description psychologique :

Calandir n'est pas de nature très sociable. Il a grandi dans l’indifférence de tous et continu de vivre dans un mutisme très caractéristique. Son enfance n'a été faite que d'ordre et d'entrainement, il a toujours vécu une vie de solitaire jusqu’à l'arrivé de son ami Tylliam. Et sa mort à profondément engrené Calandir dans cette optique de froideur et d’indifférence tout en augmentant sa propension à vouloir protéger les autres (de loin). Cette distance vis-à-vis des autres ne le rend que plus craintif et peu de gens peuvent se dire ses amis. Malgré tout, ces années de servitude on fait de lui un être déterminé et loyal. Mais son plus grand défaut et aussi sa plus grande force, son caractère asocial le prévôt dans toute situation de stress, il sait garder son calme et son sang froid. Et cette force intérieur forgée par des années de répression est aussi visible de l'extérieur par sa robustesse et sa force : c'est après tout le fils d'un lion Blanc de Chrace.

Alignement : neutre/bon

Historique du personnage :

Un long couloir, rempli d'immenses armoiries d'une famille noble de Lothern. Et Calandir, avance d'un pas déterminé, son visage parfois éclairé par les quelques torches parsemées dans ce long chemin de pierre et de marbre. Puis enfin, une porte est découverte, Calandir la franchit. Il entre dans une très grande pièce magnifiquement décorée et très lumineuse, un fort contraste avec le couloir exigu d'où il vient. Un long tapis de soie rouge s'allonge jusqu'à la fin de cette pièce. Au bout, un elfe est assis sur un massif trône fait de bois et marbre. Tandis qu'il continue d'avancer sans ne dire mot, les flashs de son enfance reprennent vie dans sa mémoire.

Les souvenirs de sa petite enfance débutent lors de ses 5 ans. Il est envoyé dans la demeure d'un noble de la cité, le seigneur Aelas de la famille Thynarien, l'a fait mander. Arrivé dans cette même salle qui lui parait immense, un grand elfe s'approche de lui, il est habillé de soie et orné des écussons qu'il a pu observé dans le couloir. C'est le seigneur Aelas, qui lui apprend la raison de sa venue. Sa mère, morte en couche, était la servante de sa femme et elle a insisté pour que Calandir devienne le servant de son fils né quelques semaines plus tard que lui. Il devra l'accompagner, le protéger et suivre le moindre de ses ordres. En contrepartie, il vivra dans la demeure et suivra un entrainement martial, afin d'assurer la protection du prince. Le tout jeune elfe posa quelques questions sur sa mère qu'il n'avait pas connue, mais le seigneur l'ignora et l'envoya auprès de son intendant afin de commencer sa nouvelle assignation. Ce haut seigneur était dur et Calandir, encore enfant, ne prit pas conscience du r^pole qu'il aurait à tenir. L'intendant se nommait Gwalan, c'était un elfe assez frêle, mais d'apparence assez bienveillante. Il lui montra ses quartiers (une simple chambre pas plus grande que la chambre ou la femme du seigneur rangeait ses robes) accolés à ceux du prince puis entra dans la chambre de celui-ci. Un enfant était assis là jouant avec un petit cheval en bois et un petit chevalier. Il était l'incarnation de l'innocence et son sourire rassura quelque peu le tout jeune servant. Comme promis, le seigneur l'assignat à son maître d'armes peu de temps après pour commencer son entrainement.

Quelques années passèrent ainsi, la vie de Calandir se résumant à suivre le jeune prince Mitirian et les durs entrainements avec le maitre d'armes. Mais vers l'âge de 40 ans, le seigneur fut envoyé en Chrace pour endiguer une menace elfe noire. Aelas l'appela pour lui rappeler sa mission de protection du prince et dans un accès de colère, dû à son affectation, il insulta la barbarie de ses peuples nordiques et lui apprit que son père était l'un d'eux et que c'était la seule raison pour laquelle il avait accepté que Calandir devienne le laquais de son fils, la robustesse de ces guerriers est légendaire, mais la faible carrure du jeune elfe n'arrivait pas à la hauteur de ses espérances. Quelques mois plus tard, un officier de l'armée vint se présenter dans la demeure. Il venait annoncer la mort seigneur, percé par un carreau d'arbalète noire. Le grand frère de Mitirian, Aelas, le fils ainé devint alors successeur du domaine et seigneur Thynarien. Il était l'exact opposé de son jeune frère, là où Mitirian était bon et généreux, Aelas était à l'image de son père, froid et impédant. Le nouveau seigneur convoqua Calandir dans la salle du trône.

C'est à ce moment que Calandir se réveilla de ses souvenirs, devant le tout nouveau seigneur Aelas de Thyranien, là où sa vie avait changé et où elle changera à nouveau. Aelas l'a convoqué pour le délier de ses fonctions, la lueur des torches se faisait de plus en plus sombre, le prince Mitirian n'aurait dorénavant plus besoin de ses services, il va suivre un entrainement spécial et donc la présence de Calandir n'a plus de raison d'être. Calandir acquiesça puis se retourna sans un mot. La liberté lui tendait les bras, mais il n'avait nulle part où aller. C'est alors qu’à quelques pas de la sortie, Mitirian l'appela. Il venait le voir pour l'excuser de l'attitude de son frère et le remercier pour toutes ces années de services. Il lui donna également deux objets, tous deux auront une influence capitale pour l'avenir du jeune elfe. Le premier est un parchemin, imposé du sceaux de la famille, le prince lui dit que le seul moyen pour Calandir de s'en sortir était de s'enrôler dans l'armée et que cette feuille était une lettre de recommandation, cela lui permettra de pouvoir subsister et de faire ce que Calandir savait faire de mieux, protéger. Mais au lieu de protéger une seule personne, il protégera la patrie. Le deuxième objet était un pendentif, Mitirian lui apprit que ce pendentif appartenait à sa mère (la mère de Calandir), il était le seul vestige que sa mère (la mère de Mitirian) avait conservé et il estimait que ce collier lui revenait de droit.

Il partit donc afin de défendre son peuple. Il découvrit le monde comme il ne l'avait jamais connu, ces années recluses au domaine Thynarien ont laissé place à un elfe peu sociable et extrêmement méfiant, ses seules interactions sociales étant les quelques discussions avec le prince qu'il devait protéger, et même à ces moments, il ne pouvait se défaire de la différence de situation, son interlocuteur étant un noble et lui son servant. Il erra donc en quête d'une caserne où postuler sans même penser à profiter de sa liberté nouvellement acquise. Après quelques heures dans la cité il vit un grand bâtiment blanc avec le symbole de Lothern en son sommet et le son des épées qui s'entrechoquent pouvait se faire entendre lorsqu'il s'en approchait. Tandis qu'il entrait, un garde le prit par la manche et le bloquait. Il lui expliquait la raison de sa venue et le garde le mena au capitaine du régiment. Lorsque le capitaine en question lui demanda ses états de services, le jeune elfe brandit alors la lettre de recommandation que lui avait remise son ancien maître. Le capitaine, surprit et impressionné par le contenu de ce rouleau accepta de le faire entrer dans son régiment.

Il fut donc mené devant le sergent Minlan Gwitael, qui le testa pour connaître ses capacités en plein milieu d'un entrainement, au vu de toute l'unité. Le sergent constata très vite que sa nouvelle recrue n'était pas novice en matière d'art martial et qu'il serait très utile, une épée à la main, contre les hordes d'ennemis qui pouvaient déferler sur sa cité. Le seul point faible de Calandir étant sa faiblesse à l'arc ; il n'avait malheureusement jamais eu d'entrainement aux armes de jet, sa fonction étant essentiellement la protection. Les “présentations” faites, il fut accepté dans l'unité et devint donc un protecteur d'Ulthuan.plusieurs années passèrent tandis qu'il s'entrainait encore et encore, sans relâche, pour rattraper son retard dans l'arc ce qui fit de lui un archer moyen, mais aussi capable que les autres membres de son unité. Après dix ans à mater les incursions ennemies relativement éloignées du champ de bataille, Calandir fit promut au rang de lancier et il put enfin mettre à contribution ce qu'il avait appris avec le maître d'armes des Thynarien. Il demanda à son instructeur de lui apprendre tout ce qu'il savait sur le maniement des lances et armes à grande portée. Il savait que son point fort était la résistance, le sang d'un Lion Blanc de Chrace coulait dans ses veines et ses entrainements chez son précédent employeur avaient fait de lui un bouclier. Son sergent avait lui aussi remarqué ses capacités et le faisait miser sur ses atouts : “quand on est aussi résistant aux coups comme toi on n’a pas besoin de bouclier, il faut que tu apprennes à maitriser des armes lourdes à deux mains. Cer sentant plutôt à l'aise avec la lance il parfit sa didactique sur la hallebarde avec le sergent Minlan. Apprenant comment réagir au bon moment pour surprendre l'adversaire malgré l'utilisation d'une arme lourde et comment frapper au bon endroit pour faire un maximum de dégâts.

Durant ces années de dur labeur, il put parfaire son entrainement sur les cousins maléfiques, repoussant chaque incursion avec sa compagnie comme si sa vie en dépendait. Le temps se faisant un autre elfe de son unité remarqua ses entrainements clandestins le soir et l'observa tous les soirs en passant tentant de comprendre sa hardiesse et sa détermination. Un jour lors d'un déploiement, il alla le voir et lui demanda le secret de sa ténacité. Calandir, réticent à tout dialogue, ne répondit mot, mais ce camarade insista lourdement et à plusieurs reprises. Et au bout de quelques jours, Calandir balbutia des paroles, plus pour le faire taire et qu'il puisse continuer sa route en paix. Mais au contraire, ces quelques mots ne firent que raviver l'intérêt que ce jeune elfe lui prêtait. Ce jeune elfe ce nommait Tylliam, il était l'extrême opposé de Calandir, plus à l'aise en temps qu'orateur qu'en temps que guerrier, élevé comme simple citoyen de la cité ne voulant que faire son temps dans l'armée et repartir à sa vie simple et tranquille. Le temps se faisant, ces deux jeunes recrues elfes apprirent à ce connaître et même si Tylliam faisait la majorité des discussions, une amitié sincère ce créa entre eux, on peut même dire que Tylliam enseigna à Calandir la convivialité et l'importance de la camaraderie, tandis que Calandir lui apprit tout ce qu'il savait sur le maniement de l'épée et la puissance de la lance.

Dix ans se sont passés depuis la rencontre de Tylliam et de Calandir, et le temps n'a fait qu'accroitre le lien entre les jeunes amis. Mais un jour lors d'une soirée dans la capitale, la sirène d'alarme fut sonnée : les druchii avaient passé la porte d'émeraude, premier rempart pour entrer dans la ville. La compagnie fut envoyée au front pour minimiser les pertes et détruire les envahisseurs. Calandir fit face à un puissant lancier elfe noir. Malgré son expérience au combat, le jeune asur eu beaucoup de mal à vaincre son adversaire et il finit blessé à la jambe ne lui restant qu'une simple lame elfique pour se défendre. À ce moment-là , il vit du coin de l'oeil une furie elfe noire fondant sur le sergent Minlan de dos. Caladrik n'avait plus la force pour se relever et lança ce qu'il restait de sa lance sur la druchiie afin de stopper son irrésistible course contre son sergent. La furie, plus que vive, vit le bout de lance arriver sur elle et l'esquiva facilement, mais le but de Calandir avait réussi, elle ne put attaques Minlan. Ce faisant, la druchiie courut vers le jeune asur par vengeance et, il faut l'avouer, par facilité. Alors qu'il croyait son heure arrivée, un murmure se fit entendre dans l'esprit de Calandir. Ce murmure lui disait de ne pas bouger, et quand le moment sera venu, le phénix renaitra de ses cendres. Arriva alors un fier garde phénix tranchant le ventre de la furie en un seul coup d'estoc de sa puissante hallebarde. Calandir s'évanouit peu de temps après. En se réveillant, il ne vit que mort et désolation dans la cité, ses frères avaient été tués et il n'avait jamais été aussi faible. Avec les dernières forces qui lui restaient, il se leva. Il vit au loin son camarade Tylliam. Boitant vers lui il remarqua, en s'approchant de plus en plus, une blessure sur son ami. Enfin arrivé à sa hauteur il se mit à genoux, Tylliam était mort, il gisait là la gorge tranchée de part en part.

Tylliam était le seul lien qui raccrochait Calandir au monde extérieur. Une fine perle coula le long de son visage lorsqu'il réalisa que le lendemain, c'était le jour des réaffectations et que Tylliam allait pouvoir être libre. Une main se posa sur l'épaule de Calandir. C'était celle de son sauveur Garde phénix. Il entendit une dernière fois dans son esprit.

“Maintenant le phénix peut renaître”

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Compétences :

• ACUITE AUDITIVE (B) : Votre personnage a développé une ouïe bien au-dessus de la normale. Il peut ajouter un bonus de +1 à tous ses test d'écoute.

• ACUITE VISUELLE (B) : Votre personnage est doué d'une vision exceptionnelle. Il peut ajouter un bonus de +1 pour voir des choses à une distance largement supérieure à la normale ou, au contraire, des choses infiniment petites (Selon le libre jugement du MJ). Cela n'affecte pas la compétence «vision nocturne» (S'il ne possède pas cette dernière, il ne pourra pas profiter de son acuité visuelle dans l'obscurité, par contre, cela modifiera ce qu'il est possible de voir avec une source de lumière, etc.)

• ARME DE PREDILECTION (B) (Hallebarde) : otre personnage, grâce à la pratique continue d'une même arme (à déterminer à l'acquisition de la compétence), en a acquis une maitrise technique telle qu'il peut ajouter un bonus de +1 en ATT lorsqu'il l'utilise en combat. (La durée durant laquelle le personnage doit manipuler cette arme avant de pouvoir acquérir cette compétence est laissée à l'appréciation du MJ, mais devrait se compter en années.). Cette compétence reflète le fait que votre personnage possède une arme “préférée” qu'il utilise avant toute autre, si possible. Par contre, lorsqu'il utilise une autre arme que son arme de prédilection, il reçoit un malus de -1 en ATT et en PAR pendant les 1D3 premiers combats qu'il livrera avec cette arme, le temps qu'il s'y adapte. (Cette compétence doit être acquise à nouveau si le personnage décide de changer d'arme de prédilection. La précédente compétence est en ce cas perdue.)

• CORIACE (B) : Votre personnage fait preuve d'un résistance aux coups bien supérieure à la moyenne. Il peut retrancher 1D3 points de dégâts lors d'un coup pouvant occasionner une blessure. (Cependant, ce dernier bonus ne peut pas annuler une perte de points de vie. Les points de dégâts minimums seront au moins de 1.)

• COUP PRECIS (1) (B) : otre personnage peut localiser avec précision la partie du corps qu'il désire frapper et se voit attribuer un bonus lors de son attaque précise. Le malus pour viser une partie précise du corps est diminué de 1 si on prend une fois cette compétence. Si on la paye une seconde fois, « coup précis » devient « coup précis (2) » et diminue le malus de 2. Si on la paye une troisième fois, « coup précis (2) » devient « coup précis (3) » et diminue le malus de 4. Dans tous les cas, cette compétence ne permet pas d’augmenter l’ATT du personnage au-delà de celle qu’il aurait été sans viser une partie particulière du corps.

• COUVERTURE (E) : Votre personnage est capable de défendre l'un de ses compagnons en exécutant une parade pour lui. Le compagnon devra se trouver aux cotés de votre personnage. La couverture est réussie sur un test de couverture concluant (Cette compétence ne peut être utilisée que si votre personnage n'a pas déjà réalisé une parade pour se protéger lui-même ou pour protéger un autre de ses compagnons durant ce round. Elle n'est utilisable qu'une seule fois par tour et compte comme une action de parade pour celui qui l'utilise, ce qui signifie qu'il ne peut se protéger lui-même. Par contre la personne qui jouit de la couverture de votre personnage peut toujours utiliser sa parade pour elle-même. Enfin, il est possible de protéger d'un tir si le tireur est vu au bon moment par le protecteur.

• REFLEXES ECLAIRS (B) : Votre personnage est très réactif, il possède des réflexes développés. Il bénéficie d'un bonus de +1 à ses tests d'INI en réaction aux situations de surprise.

• SANG FROID (B) : Votre personnage a ce qu'on appelle des «nerfs d'acier». Il sait rester maître de lui-même dans les situations les plus dangereuses. Il bénéficie d'un bonus de +1 sur n'importe laquelle de ses caractéristiques lors de la réalisation d'une action dans un climat de stress et de tension mentale (En d'autres termes, ce bonus sert à réduire un malus généré par une situation stressante. Cette compétence ne peut s'appliquer que dans la mesure où un test est soumis à malus!)

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Inventaires et biens du personnage:

Bourse:

6 Couronnes d'or

Inventaire
	Plastron en plaques légère	10 protection Torse et dos	-2 HAB, -1 ATT et PAR
	Hallebarde	18+1d8 dégâts 8 parade	Peut être utilisée soit comme une Pique (cf Pique) ou une arme avec les attributs Percutante et Lente.
	Collier (apartenu à sa mère)
	Bottes
	Braies
	Gants
	Gibecière

Grimoire

Parcours

Quêtes accomplies

Classes acquises

Carrière et classe en cours d'apprentissage

Dévotion religieuse

Autres