Table des matières

Informations générales sur le personnage :

Nom et Prénom: Bork
Age: Adulte
Sexe: Masculin
Race: Orque Sauvage
Carrière: Voie d' la Guerr de Gork (ou de Mork ?)
Lieu/ville de départ: N'importe où
Fréquence de jeu: 2-3 fois par semaine, parfois plus.
MJ: [MJ] Le Grand Duc


Nom de la ligne FOR END HAB CHAR INT INI ATT PAR TIR NA PV
Profil de départ (+4 PC initiaux) 10 10 7 5 6 7 9 9 7 1 70/70
Profil actuel 10 10 7 5 6 7 9 9 7 1 70/70
Améliorations restantes à acquérir pour level up (déjà acquis/à acquérir) A remplir par le MJ


XP disponible: 0
PC dépensés: 4




Description physique :

« Rapport M-1885C2 18 Nachgeheim 2526 Gloire au très saint Empereur Karl Franz, que son règne soit éternel. Le sujet 26 est tout bonnement passionnant. Mon devoir de citoyen de l’Empire serait d’exterminer ce sujet d’étude mais mon statut de scientifique me l’interdit. Il faut connaître l’ennemi avant de le combattre et je me dois donc d’analyser cet orque qui n’a rien à voir avec ceux qui hantent nos régions. Ses traits mi-porcin mi-molossoide, ses yeux rouges qui n’expriment que rage, ses arcades sourcilières proéminentes, sa mâchoire prognathe, ses crocs apparents, sa démarche simiesque, sa peau glabre, sa carrure impressionnante sont ce que l’on peut qualifier de normal pour son espèce ; si toutefois il existe une quelconque normalité chez ces monstres. Ce qui le distingue des autres orques est surtout dans son attitude. Il a l’air quasi animal, plus que n’importe quelle peau verte jamais étudié, ce qui n’est pas peu dire. De nombreuses rumeurs parlent d’orques dis « sauvages » et celui-ci parait correspondre parfaitement à cette description. Vêtu uniquement d’un pagne odorant en peau d’une bête non identifiée, le sujet 26 n’a pas encore dit un mot depuis qu’il est dans mon laboratoire. Il se contente d’hurler comme un damné de sa grosse voix rauque et de s’efforcer à tenter de tordre les barreaux de sa cellule, comme s’il n’avait toujours pas compris que l’acier était plus fort que le muscle. En plus de sa sauvagerie manifeste, ce qui est intéressant chez ce sujet ce sont les peintures tribales qu’il arbore dans le dos. Elles n’ont pas l’air de signifier grand-chose mais, même lorsque nous l’avons drogué pour l’endormir, nous n’avons pas pu les effacer de l’orque. Indélébiles, même au détergent le plus puissant. Des études approfondies doivent être réalisées, et mes aptitudes de télékinésie me seront utiles. » Extrait des dossiers zoologiques du Professeur Hans Zimmerman.

Description psychologique :

“Rapport M-1885C3 18 Nachgeheim 2526 Que Sigmar veille sur nous, que sa lumière brille pour nous guider en ces temps obscurs.

Le sujet 26 s’est évadé et je remercie la comète à deux queues d’être encore de ce monde. En début d’après-midi, j’entrepris d’étudier l’esprit du sauvage et mes gardes sortirent le fauve de sa cellule, ce qui leur coûta cinq dents en moins et de nombreuses ecchymoses en plus. Ils l’allongèrent sur mon plan de travail et le sanglèrent comme il se doit pour qu’il ne puisse remuer. Je fis alors une apposition des mains sur les tempes du sujet 26 et, malgré ses hurlements et son regard qui aurait pu me massacrer s’il pouvait, je parvins à me concentrer suffisamment pour pénétrer son esprit. Le grand vide. Au bout de longues, très longues secondes, durant lesquelles je pensais avoir échoué lors de ma tentative de « contact », j’entendis un léger bruit, comme un lointain son de percussions. Une musique. Le batteur jouait de plus en plus fort, de plus en plus vite, comme endiablé. Et je vis enfin les pensées du sujet 26, s’enchaînant au rythme de la musique. C’était flou, comme à chaque « contact », je ressentais seulement des sensations. De combat. Beaucoup de combats. De chasse. De banquets effroyables et de danses tribales. De combat, encore, toujours. L’orque paraissait conçu pour ça. Je pouvais enfin lire comme dans un livre ouvert en lui. Dépourvu d’intelligence, il n’en était pas pour autant dénué d’instinct, qui faisait de lui un formidable prédateur. Il était simple, ne connaissait ni le doute ni la peur car ces sensations étaient déjà trop complexes pour son cerveau trop étroit. Je ne pu m’empêcher de frissonner. Le sujet 26 était le représentant d’une race qui était un fléau pour l’humanité depuis l’aube des temps et qui elle, contrairement aux orques communs, n’avait pas évolué. Sans fioritures ni détours, c’était l’ennemi de tout ce qui vivait car cette espèce ne connaissait que le combat, pour le plaisir du combat et seulement pour ça, sans méchanceté mais sans pitié.

Alors que j’arpentais cet esprit étriqué, je pense que je dû me faire intercepter, ou plutôt ressentir. Mon « contact » se troubla et je ne perçu que de la colère. Une colère énorme, comme je n’en avais jamais été témoin. Rapidement, je me dégagea du « lien » que j’avais créé pour étudier le sujet 26 mais c’était manifestement trop tard. Sous le poids de la rage et de la haine de l’orque, je perdis pied et je m’effondrai au sol, me tenant à mon tour les tempes pour reprendre mes esprits. Je perdis connaissance. Quand je rouvris les yeux, je vis mon laboratoire dévasté. Le sujet 26 n’était plus sur mon plan de travail, ses liens en cuir avaient été arraché. Mes deux gardes gisaient au sol, atrocement mutilés. La colère féroce de l’orque sauvage avait décuplé sa force, manifestement. Il avait dû me croire mort et n’avait pas pris la peine de vérifier, heureusement pour moi. Je me réjouis que mon laboratoire soit isolé dans la forêt et loin de toutes habitations, je ne sais pas quel massacre le sujet 26 serait capable de perpétrer, d’autant que je m’aperçois qu’il a emporté son arme primaire mais manifestement redoutable. En espérant que le sujet 26 soit tué rapidement par une patrouille de braves soldats de l’Empire, je vais mettre de l’ordre dans le laboratoire et classer ce dossier sans suite. » Extrait des dossiers d’études zoologiques du Professeur Hans Zimmerman

Alignement :

Historique du personnage :

Bork est né et a grandi dans les Terres Arides, au sein de la tribu des Kass’Tronches. Il y a tout apprit : aussi bien à se battre qu’à chasser le gros gibier ou à festoyer. Mais surtout à se battre, pour tout dire. Il a toujours eut une nette préférence pour ce domaine, comme tout orque qui se respecte et il a toujours eut des prédispositions pour ça. Déjà petit, c’était toujours lui le plus fort de la bande et il livrait bataille avec ses compagnons aux snotlings du camp. Quels combats furieux ! Les orques ne sont pas les créatures les plus rusés de la création, c’est un fait. Les orques sauvages ont, quant à eux, subi l'effet débilitant du soleil sur leur cerveau. Ils sont considérés comme sauvages même par leurs pairs, ce qui n'est pas peu dire. Et quand les tribus avoisinantes sont détruites, quand il n’y a plus d’ennemi, il faut en trouver d’autres, toujours. Donc les Kass’Tronches montaient le camp et erraient dans les Terres Arides, au fil des combats, au fil des saisons. Le chaman de la tribu savait préparer de puissantes peintures qui protégeaient les guerriers et elles étaient garantis « Undé’lédébil ‘ ». Les orques croyaient dur comme fer à ces rites mystiques et faisaient preuve d’une bravoure sans pareil sur le champ de bataille qui, doublé d’une chance insolente, leurs permettaient d’être toujours victorieux. Jusqu’au jour où Ils apparurent. Une bande d’orques noirs, menés par un fou furieux. Ils se surnommaient eux-même les Zimmortels et les Kass’Tronches devaient choisir : se soumettre ou combattre. D’autres tribus se seraient ralliés aux puissants nouveaux-venus. Les Kass’Tronches avaient sans doute le cerveau trop étriqué, mais ils ne connaissaient pas la soumission, hormis à leur Big Boss, Uroz Da Kap’. Celui-ci les mena lors d’une sanglante dernière charge où ils furent exterminés jusqu’au dernier. Ils emmenèrent quelques Zimmortels avec eux, mais que pouvait les armes en silex et les peaux de bêtes face à l’acier des armures lourdes et au fer des haches ? Bork fut le seul de sa tribu à survivre. Non pas par couardise mais simplement parce qu’il avait été assommé par un coup mal ajusté là où d’autres auraient péri. Il se releva au milieu des cadavres de ses frères, hocha les épaules, récupéra son Gro Kikoup’ et alla amputer la jambe d’un Zimmortel qu’il avait tué plus tôt dans la bataille. Il l’éplucha de ses jambières et, tranquillement assis sur un tas de corps, se mit à se repaitre de son adversaire. Une fois rassasié, il quitta le secteur, sans but précis, mais simplement parce qu’il avait rien d’autre à faire. Il fut capturé par un groupe de mercenaires tiléens qui, spécialisés dans la capture de fauves et dans la vente de cobayes, le revendirent à un scientifique louche qui vivait quelque part dans la Drakwald et qui était un de leurs meilleurs clients.




Compétences :

Arme de prédilection: Kikoup' à deux mains - niveau 1 : + 1 ATT, pénalisé s'il change d'arme.

Violence Forcenée - niveau 1 : +1D6 dégâts, mais ne peux pas parer.

Musculation - niveau 1 : + 1 FOR pour tous les tests nécessitant cette valeur; subit 1D3 dégâts en moins quand blessé.

Vision nocturne - niveau 1 : voit dans l'obscurité

Sens de la magie Waaagh! - niveau 1 : ressent la magie orque




Inventaires et biens du personnage:

Bourse: 0 Pistoles


Inventaire (Encombrement maximum: 6 )
Kikoup' (à deux mains) 14 ooints de dégâts, 3 d'encombrement - 1 ATT
Peinture de la folie +1 FOR, +1 END, -2 CHAR


Grimoire


Parcours

Quêtes accomplies

Nom + lien + récompenses obtenues

Classes acquises

Carrière et classe en cours d'apprentissage

Carrière : Voie d' la Guerr de Gork (ou de Mork ?)
Classe actuelle : Guerrier Orque

Dévotion religieuse

Dieu Points de dévotions disponibles Points de dévotions dépensés
Gork 10 0
Mork 10 0

Autres


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