Table des matières

Informations générales sur le personnage :

Nom et Prénom: Aslaug Aethewulf
Age: 22 ans
Sexe: Féminin
Race: Humaine
Carrière: Voie de la chasse
Lieu/ville de départ: Marienburg
Fréquence de jeu: Moyenne
MJ: [MJ] Ombre de la Mort


Nom de la ligne FOR END HAB CHAR INT INI ATT PAR TIR NA PV
Profil de départ (+4 PC initiaux) 8 8 9 8 8 9 9 8 9 1 60/60
Profil actuel 8 8 9 8 8 9 9 8 9 1 60/60
Améliorations restantes à acquérir pour level up (déjà acquis/à acquérir) - - 0/1 - - 0/1 0/1 0/1 0/1 - 0/5


XP disponible: 41
PC dépensés: 4




Description physique :

Rappelant le charme farouche du peuple Kislévite, Aslaug possède toutes les caractéristiques physiques des nordiques. Sa démarche haute et affirmée marie avec subtilité la prestesse et l’aplomb, et témoigne d’une aisance certaine à se mouvoir. À peine plus haute que la moyenne, Aslaug s’est forgée, par le combat et la chasse, une silhouette souple et pleine. Sa fine musculature se dessine à peine sous le cuir de sa peau laiteuse tannée par la morsure du froid ; Cuisses et bras fermes, mais hésitants, elle n’a ni le corps à s’imposer, ni celui à se soumettre. Cependant, la nature ne lui fit point grâce d'un corps sculpté dans les volutes de musculature, le sien reste - bien que ferme - celui d'une femme, non pas frêle, mais peut-être trop agréable au goût commun pour ce qu'elle se prédestinait à être. Perdus çà et là au creux d’un sein ou d’une cuisse, des grains de beauté ponctuent son corps diaphane où s’entrecroisent aussi bien les écorchures que les cicatrices.

Sa peau est aussi pâle que la neige, ses cheveux, tombant à peine au-dessous de ses épaules, aussi clairs que l'onde glacée de l'hiver infernal du Nord du monde et ses yeux verts, constellés de tâches or et sienne, remémorent les forêts vierges qui hantent de leur placide existence les terres bleues de Kislev.

Ses vêtements sont simples, sombres, faits de cuir, de tissu et de fourrure, de sa propre facture essentiellement. Portés près du corps, ils laissent toutes libertés à ses mouvements, auxquels elle ne veut aucune entrave. Les jours de grand froid, sa silhouette impérieuse est recouverte d’une longue pelisse qui ne laisse rien transparaître de ses traits. Elle porte rarement des bijoux et les seuls ornements qu’elle s’octroie sont les peintures dont elle se tatoue le visage.

Description psychologique :

Les mythes content la froideur des Nordiques, parfois l'encensent en de terribles louanges ; celles d'un peuple froid, fier et stoïque qui n'a de cesse de devoir braver les dangers et le temps. Si chacun est différent par nature, voilà au moins ce en quoi Aslaug pense se reconnaître. La dame aux cheveux d'argent ne laisse point son cœur s'attendrir et se lie peu aux gens.

Dans les rudes contrées nordiques, où la raison du plus fort est toujours la meilleure, la combativité est une nécessité. Plus encore, un peuple qui prône la vie et la valeur au combat ne saurait décemment accepter la résignation. Aslaug a été élevée ainsi, avec force et fermeté, une éducation rude qu’elle a elle-même inculqué à son fils. Il n’est pas de coup dur qu’elle ne puisse encaisser, et garder la tête haute et l’esprit clair lui semble aussi évident que de garder la vie sauve.

Bien qu’elle ne soit pas forcément une guerrière émérite, la nordique gère le danger avec calme et sang-froid. Elle a très rapidement compris que la peur n’était pas un atout dans son monde, ni une arme, qu’elle ne la ferait pas manger, ni ne l’empêcherait d’être violée ou égorgée, que les larmes, les supplications et la tétanie ne lui apporteront jamais rien. Elle l’a d’autant mieux compris que la faiblesse de son sexe ne lui permet pas de montrer une once de fragilité. Aussi se garde-t-elle bien de montrer ses sentiments, encore qu’en dépit des apparences, elle reste une femme, et une mère. La peur est un sentiment qu’elle a appris à apprivoiser, tout comme la peine, la douleur et la solitude ; Des signes de faiblesse, qu'elle ne peut se permettre de dévoiler.

D’un naturel distant, Aslaug passe pour être une femme froide et non-avenante. Elle se méfie des hommes comme elle se méfie des terres gelées qui l’ont vue naître. Elle sera prompte à la conversation, mais celle-ci ne sera que partielle, superficielle ou unilatérale, et elle n’en dévoilera jamais trop sur elle, et jamais trop peu. Sans rien en laisser transparaître, ses yeux scruteront, détailleront, déchireront les limites des non-dits. La peine qu’elle éprouve à créer de nouvelles relations n’est jamais que le reflet d’une confiance trop de fois bafouée. Loyauté et fiabilité sont des qualités qu’on lui cède volontiers, car elle exècre la duplicité et le mensonge, et abhorre les traîtres, qu’elle considère comme des moins que rien, et à qui elle ne voue que mépris et une rancune tenace. Vraie, la nordique se démarque par une bonne foi crue, qui frise parfois à la rudesse ingénue.

Alignement : Neutre

Historique du personnage :

Aslaug a vu le jour à Valgard, bourgade portuaire du nord-ouest de Kislev. Née troisième enfant d’une fratrie de huit, la nordique fut dans sa jeune enfance presque exclusivement élevée par sa mère, une femme féroce et aimante du nom de Anya. Son père, Olaf, partageaient ses jours entre sa pêche et son commerce, et peinait à nourrir ses enfants, dont la plupart étaient tout juste en âge de travailler. En dépit de leur misère, c’était des gens honnêtes qui tentaient du mieux possible d’offrir à leurs enfants tout ce dont ils avaient besoin, et de leur inculquer le goût d’une vie de travail probe. Elle ne souffrit jamais du manque, ou de l’abandon ; On lui enseigna la force et l’orgueil, l’amour et l’acerbité.

La jeune femme s’intéressa très jeune aux secrets de la nature, et se plut rapidement à accompagner ses aînés lorsqu’ils partaient chercher du bois, ou cueillir des fruits dans la sylve environnante. Dès qu’elle fut elle-même en âge, c’est seule qu’elle s’aventura jusqu’à la lisière diffuse pour s’emparer de branchages qui servaient à alimenter l’âtre du foyer, ou tâcher ses doigts du jus des baies gelées du nord. Mais qu’importait la morsure du froid sur ses mains potelées ? Il n’y avait pas de plus bel endroit que les vastes étendues immaculées qui respiraient d’une vie sourde, cachées derrière le rideau blanc qui s’abattait perpétuellement.

Tandis que ses frères prêtaient allégeance à leur Jarl et entraient au service des armées, Aslaug resta auprès de ses parents et apprit l’art de la famille et l’art de la chasse. Sur la volonté de sa mère, elle fut également enseignée le maniement des armes ; Elle n’avait guère l’étoffe d’une guerrière, trop faible pour se démarquer au combat, mais elle gagnait en agilité ce dont elle était dépossédée en force. Son père, qui était avant tout un pêcheur mais n’était toutefois pas en reste un arc entre les mains, lui enseigna l’art de la chasse et l’art de la pêche, il lui inculqua la traque, il lui transmit la patience et l’équilibre. Il lui apprit à fabriquer des pièges, mortels pour l’animal mais inoffensif pour la peau, lui enseigna la valeur de la vie, la sienne et celle de ses prises. Adroite à l’exercice malgré son jeune âge, elle démontra rapidement un véritable talent pour la traque, et il ne fut plus question de lui enseigner un autre métier.

Sa fleur s’épanouit tardivement en dépit de sa maturité, et elle ne fut prête à l’enfantement qu’à ses quinze ans révolus. Pour la première fois de sa vie, elle était considérée comme une femme, et goûta à l’intérêt des hommes. Quant au plaisir de la chair, elle ne le connut que plus tard, au creux d’une nuit sans étoile et à celui d’une couche chaude et humide. Il ne fut pas immédiatement question de mariage ; Nombreux étaient les prétendants, certains avec qui elle avait grandi, d’autres qui étaient plus matures qu’elle et l’idée du mariage ne la rebutait pas, car elle savait sa place de fille et son statut de femme, mais ses frères ne semblaient pas disposés à la laisser se lier au premier venu. Pas plus que sa mère, à qui l’impitoyable instinct maternel dictait de jauger de ceux qui avaient l’audace de porter regard sur son enfant.

C’est finalement un jeune tanneur du nom de Dimitri qui obtint les bonnes grâces de sa famille. Elle l’avait connu quelques années auparavant, lors de l’une de ses innombrables virées en forêt, et n’avait gardé de lui qu’un souvenir terne et sans intérêt. Sans prétention, sa famille disposait d’une situation stable, et il avait su prouver sa valeur aux yeux de tous, aussi jugea-t-on qu’il était un parti idéal. Leur relation commença secrètement bien avant que ne soit célébrée leur union, si bien que lorsqu’ils échangèrent leurs vœux sous le regard des Dieux, lorsqu’ils ripaillèrent en riant de leur futur à peine ébauché, le fruit de leur amour avait déjà germé dans le creux de son ventre.

Le temps, qui semblait jusqu’alors filer entre ses doigts, s’arrêta brusquement. Les jours s’écoulèrent dès lors paisiblement, et perdurèrent jusqu’à la naissance de son premier enfant. Son époux était un homme remarquable, qu’elle apprenait chaque jour un peu plus à aimer, et sa grossesse instillait en elle une liesse qu’elle n’aurait jamais cru connaître.

Des années s’étaient écoulées depuis la naissance de son fils. Des années douces, et paisibles qui n’avaient rien à envier à son enfance au creux de leur bicoque portuaire, et qui laissaient loin derrière l’orage de la naissance et ses remous. Contre le sein douloureux de sa mère, l’ombre glaciale de la mort était une crainte toujours bien présente, mais distillée par la vivacité du rire de son enfant, rien ne semblait plus pourvoir obscurcir son horizon. Son fils l’accompagnait lorsqu’elle partait en chasse, et elle s’efforçait de lui transmettre au mieux les enseignements de de ses ascendants. Quant à son époux, il avait repris la tannerie de son père, et leur assurait un niveau de vie correct.

La perte de son propre père, une poignée de mois auparavant, était une souffrance sourde et constante dont elle accusait difficilement le coup ; Un jour parti en pêche, ni lui ni ses hommes n’étaient jamais revenu du lointain grège qui s’étendait sous le regard de Valgard. Les jours, puis les semaines avaient passé, et la peur, l’angoisse, s’étaient doucement mues en résignation. Ils avaient laissé voguer une flamme sur la mer, dont la lumière éclatante devait servir à ramener le nordique auprès de ceux qu’il aimait. Mais personne n’était dupe, Olaf n’était plus. En conséquence de quoi son frère aîné avait pris le relais de son père et assurait désormais l’éducation de ses cadets.

Oui, les années étaient douces et paisibles. Mais l’orage de la naissance ne devait laisser place qu’à une tempête plus destructrice encore, oblitérant jusqu’à l’essence même de son existence. Car les jours n’étaient pas toujours simples, et les chasses n’étaient pas toujours fructueuses. La chair en conséquence, n’était pas toujours présente, et lorsque le frimas venait mordre l’horizon de son baiser glacial, la nudité se drapait de peaux, mais rien ne savait combler la douleur cinglante d’un estomac qui criait famine.

En ces jours de disette aride, les terres glacées de Kislev n’offraient rien de moins que des racines sèches et un gibier rachitique, et il semblait falloir pousser toujours plus loin dans les terres pour dénicher des prises décentes, lorsqu’il y en avait. Les jours de fastes, Aslaug partait au matin et revenait à la nuit tombée, avec de quoi sustenter les siens. Mais les jours de famine, elle s’absentait des lunes durant, et revenait transie et éreintée, parfois triomphante mais le plus souvent abattue.

Des lunes entières s’étaient écoulées sans qu’elle n’aperçoive le moindre gibier à l’horizon et le désespoir commençait à la guetter. C’est au moment où elle songeait à abandonner et à retourner auprès des siens qu’elle le vit ; Ses bois semblaient s’étendre par-delà les cieux, et sa fourrure même scintillait des astres tombés dans le sein des flocons qui parsemaient sa robe. Dans le creux de la pénombre nocturne, ses yeux d’or sombre luisaient d’orgueil.

Son cœur sauta un battement. Le bras de la nordique se tendit sèchement et la flèche siffla dans la nuit, quoiqu’elle n’entende plus que le sang qui pulsait à ses oreilles. Elle se ficha dans la neige craquante, trop tard, car déjà sa proie avait bondit dans son manteau de ténèbres, et s’était enhardie dans la fuite. Bien sûr elle la coursa. Ses pieds étaient agiles, et son corps leste savait suivre aisément malgré l’épaisse couche de neige qui recouvrait le sol, malgré le froid et l’humidité qui s’infiltrait dans le revers de ses bottes fourrées. Elle la coursa beaucoup trop longtemps, beaucoup trop loin, jusqu’à ce qu’elle ne sente plus rien de la morsure glaciale de la neige, jusqu’à ce que la douleur cuisante de ses poumons ne se dissipe pour laisser place à une doucereuse chaleur au creux de sa poitrine. Lorsqu’elle s’arrêta enfin, une éternité semblait s’être écoulée, et la nuit avait laissé place à un jour mordoré, qui naissait timidement entre les ramures dénudées des bois. Le cerf la dominait de toute sa hauteur, superbe et majestueux, mais une flèche brisée avait finalement eu raison de l’animal, qui s’effondra d’épuisement et de douleur. Elle se saisit alors de la hachette qui ceignait sa cuisse et tendit la lame au-dessus d’elle. Puis elle l’abattit. Encore, et encore.

La rage sanguinaire avait fini par s’évacuer, dissipant les nuages de sa fureur, et elle avait réalisé avec horreur ce qui venait de se produire. Elle n’avait jamais été violente, et à l’instar des enseignements de son père, n’avait jamais songé à intenté à la vie d’un être avec cruauté et sauvagerie. Pourtant, entre ses mains l’objet du délit, rougeoyait encore d’une lueur sanglante et le sang poisseux qui collait à ses doigts dégouttait le long de ses poignets grêles, et imprégnait le revers de lin de sa chemise. Sa chaleur l’écœura, bien avant que l’odeur âpre ne vienne chatouiller ses narines. Ses doigts s’écartèrent largement, laissant glisser le manche entre ses doigts maculés. Trop tard, semblait-il, car ses mains tâchées de sang hurlaient à l’ignominie de son crime. Ainsi considérèrent les soldats de son Jarl lorsqu’ils la trouvèrent transie et blême, accroupie dans la neige. Ainsi fut-elle considérée lorsqu’ils la jugèrent pour braconnage sur les terres de son seigneur.

Son Jarl était un homme sévère, mais juste. Il lui accorda l’honneur d’un jugement prompt et sans appel ; Elle expliqua simplement son geste, et il comprit la fin qui l’avait poussée au forfait. Mais un crime était un crime et, en conséquence, ne devait pas rester impuni. Il balaya la mort au profit d’une plus juste sentence, car elle n’avait jamais fait qu’apporter aux siens de quoi subsister, et y choisit le bannissement comme substitut, espérant ainsi lui offrir une échappatoire. Il crut être bon, en l’épargnant, mais la douleur des mois qui suivirent lui firent rapidement regretter la félicité d’une mort rapide.

Aslaug n’eut jamais l’occasion de revoir son fils ; Elle fut jetée hors de la ville tout juste pourvue de ce qu’elle possédait lorsqu’ils l’avaient trouvée dans les bois, une pelisse et ses maigres possessions, et erra longtemps à la recherche de quelques gîtes pour lui permettre de passer l’hiver, meurtrier dans cette partie des terres. Elle s’était bâti un abri de fortune à l’ombre d’une falaise abrupte, et vécut chichement de ses chasses, quelques temps. Puis les lunes s’étaient rapidement succédé, et pas un jour n’était passé sans qu’elle ne prie les Dieux de lui apporter leur protection pour surmonter la douleur et la précarité. Elle ne dut pourtant son salut qu’à ses propres compétences, car il n’advint jamais d’aide divine ! Mais loin d’altérer sa foi, l’épreuve renforça pourtant sa détermination car lorsqu’elle quitta sa retraite du fond des forêts, l’hiver avait cédé au printemps et la meurtrissure des derniers mois avait laissé place à une froide résignation, comme si Ulric lui-même lui avait insufflé le courage et la force de continuer.

Elle prit la décision de quitter Kislev, déterminée à laisser derrière elle ses souvenirs de sa vie d’avant et profita de la clémence des premiers jours d’été pour évoluer vers la frontière Impériale. De là elle embarqua dans un navire marchand, où elle apprit les rudiments de la langue commune. Elle se mêla un temps à l’équipage du navire, mettant à disposition ses compétences de pêche et de navigation en échange d’un coucher et d’un souper. Rien d’exceptionnel, mais qui avait la prétention de lui garder les pieds au sec et le ventre plein : plus que ce qu’elle avait eu l’occasion de goûter au cours des derniers mois.

Au bout de plusieurs semaines, l’idée de mettre pied à terre s’imposa finalement à la nordique, qui réalisa qu’elle ne pourrait vivre par monts et par vaux indéfiniment. Elle choisit Marienburg comme retraite, et prit refuge dans une auberge de la presque cité-état qu’elle finançait essentiellement grâce au fruit de ses chasses. Ses revenus modestes se voyaient régulièrement grossis d’une jolie prime, lorsqu’elle parvenait à vendre les peaux de ses prises à des tanneurs de la cité, argent qu’elle prenait soin de mettre scrupuleusement de côté pour accuser le coup de saisons moins prospères. Ou dans l’espoir vain de racheter sa place auprès des siens.

Car s’il est une chose qui la poussait à aller de l’avant, c’était l’espoir. Un espoir fébrile, plus tremblant qu’une flamme dans la tempête. Mais solide comme la volonté de fer qui ceint son cœur.




Compétences :

Camouflage rural niveau 1 : Votre personnage peut se dissimuler parfaitement dans son environnement. Il se voit donc créditer d'un bonus de +1 sur son test de camouflage lorsqu'il reste immobile.

Réflexes éclairs niveau 1 : Votre personnage est très réactif, il possède des réflexes développés. Il bénéficie d'un bonus de +1 à ses tests d'INI en réaction aux situations de surprise.

Piégeage niveau 1 : Votre personnage est rompu aux techniques de piégeage. Il connait le meilleur endroit pour installer les collets et les filets, quels appâts utiliser, comment les positionner pour capturer ou tuer leurs victimes. Sur un test réussi, son piège est efficace et arrive à attraper ou tuer un animal (Les pièges doivent être appâtés et amorcés correctement si l'on veut qu'ils fonctionnent.)

Esquive niveau 1 : Votre personnage, particulièrement vif et agile, est spécialement entraîné à éviter les coups en combat au corps à corps. Pour faire une esquive, vous devez spécifier, avant la résolution du round, que votre personnage va tenter une esquive. Référez-vous aux règles d’esquive pour connaitre les effets de cette compétence (voir Wiki règles, section Règles concernant le combat au corps à corps).

Pistage niveau 1 : Votre personnage a cette faculté de pouvoir suivre les traces laissées par des animaux ou des voyageurs. Il ajoute un bonus de +1 lors des tests visant à déterminer s'il arrive à suivre une trace (selon les circonstances et la précaution de ceux qui sont suivis, le MJ peut décider de modifier le test par des modificateurs). Toujours sur un test réussi, d'après des traces de pas, les cendres d'un feu et d'autres indices, il peut arriver à estimer le nombre, la race la distance entre lui et ses proies (en temps et en distance).

Adresse au tir niveau 1 : Votre personnage se révèle être particulièrement adroit au tir avec un type d'arme précis (à déterminer à l'acquisition de la compétence) et gagne un bonus de +1 à tous les tests de tir avec des armes de ce type. (Exemples de types d'armes de tir : arcs, arbalètes, etc…)




Inventaires et biens du personnage:

Bourse: 6 Couronnes d'or


Inventaire
Arc long De facture modeste, c’est pourtant, entre ses mains, une arme redoutable qu’elle manie depuis déjà plusieurs années. 28+1d8 dégâts Malus de -2 TIR tous les 30 mètres ; Précise
Hache d'armes Cette hachette usée a surtout connu la tendre chaire du gibier, mais fou serait de croire qu’elle n’a pas aussi mordu la viande d’hommes trop impétueux. 16+1d8 dégâts 10 parade Percutante
Besace
Boîte d'amadou
Couchage portatif
Piège à loup
Corde 2m



Parcours

Quêtes accomplies

Nom + lien + récompenses obtenues

Classes acquises

Carrière et classe en cours d'apprentissage

Carrière : Voie de la chasse
Classe actuelle : Apprentie

Dévotion religieuse

Dieu Points de dévotions disponibles Points de dévotions dépensés
Ulric 20 0

Autres


QR Code
QR Code wiki:fiche_aslaug_aethewulf (generated for current page)