Informations générales sur le personnage :

Nom et Prénom: Ansfrid Waldemar
Age: 22 a ans
Sexe: Masculin
Race: Humain, norse (non corrompu)
Carrière: Voie du pouvoir
Lieu/ville de départ: Norsca
Fréquence de jeu: Aléatoire mais sûrement 1 ou deux fois par semaines
MJ: [MJ] Grand Duc


Nom de la ligne FOR END HAB CHAR INT INI ATT PAR TIR NA PV
Profil de départ (+4 PC initiaux) 10 9 8 8 8 8 9 8 8 1 65/65
Profil actuel 10 9 8 8 8 8 9 8 8 1 65/65
Améliorations restantes à acquérir pour level up (déjà acquis/à acquérir) 0/00/00/00/00/00/10/10/10/10/00/10


XP disponible: 0
XP dépensés: 0




Description physique :

Le capitaine du Drakkar, Thorgal, humait l’air marin avec délice. Les gens de sa tribu se moquaient fréquemment de lui en prétendant qu’il aimait davantage son navire que sa femme et il n’avait jamais démentit ces rumeurs car elles étaient tout à fait vraie, sa femme s’était d’ailleurs fait une raison à ce sujet et ne s’en était jamais plainte. Elle ne pouvait pas dire qu’elle était malheureuse, en tant que femme de marchand elle était à l’abri du besoin et de la faim. Un luxe inouï dans les terres de la Norsca.

Un bruit mat résonna derrière lui et il se tourna en poussant un grognement de contrariété. Un jeune homme aux longs cheveux et la barbe blonde s’avançait pour récupérer une hache de lancer plantée dans le mat. Le prince Ansfrid Waldemar était un fier représentant du peuple Norse avec ses longs cheveux et sa barbe blonde. Bien qu’il n’était pas particulièrement grand pour un norse, il était puissamment bâtit et seul un aveugle l’aurait qualifié de faible.

D’un geste sec, les muscles de ses larges bras bandés, il arracha son projectile du mat. Il se tourna alors vers le capitaine, une expression neutre sur le visage. Bien qu’il n’était pas désagréable à regarder son visage n’avait rien de particulier… sauf peut être ses yeux… d’un bleu profond, d’où on pouvait deviner une grande détermination. Le capitaine marmonna un juron en détournant les yeux. Ce n’était pas qu’il avait été troublé, non pas du tout, mais il n’était pas idiot et il savait qu’il valait mieux éviter de contrarier le fils d’un Iarl. Sans compter qu’il l’avait vu manier la hache qu’il portait à la ceinture et le rondache qu’il portait dans le dos, et il savait s’en servir. Un combattant qu’il était rassurant d’avoir à ses côtés pour aider à protéger la cargaison, mais Thorgal sera tout de même content quand il pourra se débarrasser de ce passager.

Description psychologique :

Thorgal médita quelques instants à propos de son passager. Il avait déjà discuté avec lui autour d'un verre d'hydromel et il ne savait pas trop quoi penser du bonhomme. D'un côté il était ce qu'on pouvait appeler “un bon norse”, fier, attaché à l'honneur, bon buveur et vantard. Un peut trop même, après un cinquième verre d’hydromel il était partit dans une diatribe passionnée sur le fait qu'il voulait unifier les tribus norse du sud, par la diplomatie et la guerre si besoin, pour constituer un grand royaume. Il voulait également repousser les tribus du nord qui adoraient les dieux sombres et donnaient une mauvaise réputation aux nordiques en général. Thorgal savait bien que cela n'arriverait jamais. Les tribus étaient trop séparées, trop jalouses de leur indépendance pour s'unir dans un tel royaume. Il arrivait de temps en temps qu'un Iarl parvienne à conquérir quelques villages voisins et se constitue “un royaume” mais ces royaumes duraient rarement très longtemps, et dans les rares cas où ils survivaient au Iarl qui les avaient conquis ils ne s'étendaient guère. C’était une idée à laquelle tout les norses s’étaient fait. Ce qui le dérangeait c'était qu'Ansfrid semblait réellement y croire, il lui semblait que pour se justifier il avait dit un truc du genre “Leur dieux là… Simur… Sigar… Sigma… enfin, machin là, il a unifié toutes les fichus tribus de son fichus pays pour constituer ce fichus empire. Si un Suddiste a put faire ça pourquoi pas nous… On est pas plus co* qu'eux.” Thorgal avait voulu lui expliquer avec une réplique acerbe que c'était un peut plus compliqué que ça, mais il finalement il avait préféré abandonner. Son interlocuteur en était à son septième verre d'hydromel et il avait gardé sa hache à la ceinture. Le jeune homme était peut-être assez sympathique mais pour l'avoir vu avec les marins et les impériaux à Marienburg, il savait bien qu'il était capable de passer du rire à la colère très rapidement. En plus, il était complètement soul. Des accidents étaient arrivés avec des gens moins corpulents et plus calmes que lui. Il avait juste la folie des grandeurs propres à la jeunesse, ça lui passera avec le temps.

Un nouveau bruit mat. Cette fois ci Thorgal ne se retourna pas et un petit sourire naquit sur ses lèvres. En tout cas, comme tous les jeunes, il lui manquait la patience. Il faisait tout pour ne pas le montrer mais il tournait comme un lion en cage, impatient de revenir chez lui il passait le temps en s’entraînant au lancer de hache. Un moyen d'évacuer son surplus d'énergie. Il savait ce que ressentait ce gamin, on était tous passé par là quand on était jeune. Mais il devait bien l'avouer, au moins le jeune prince était un norse sérieux, il s’entraînait quotidiennement à la hache et au rondache et il rendait tout les jours hommage aux dieux. Un bon point pour lui quand il deviendra Iarl.

Le tonnerre se mit à gronder. En regardant le ciel Thorgal grimaça, un gros orage s'annonçait. Oubliant son passager, il se contenta de se concentrer sur la navigation.

Alignement : Neutre bon

Historique du personnage :

Il était un enfant assit sur les genoux de son père alors que celui-ci leur comptait, à lui et son frère ses nombreux exploits au coin du feu. La hache à deux mains avec laquelle il s'était forgé un nom dans les terres glacées de la Norsca était accrochée au-dessus de son trône. Iarl du village d’Asbajorn, sa renommée de guerrier féroce et brave, et de dirigeant aussi sage que juste, s'était propagée bien au-delà de son propre village. A côté sa mère levait les yeux aux ciels avec un sourire conciliant à certains moments des récits de son mari. C'était comme ça qu'Ansfrid savait quand son père exagérait un peut ses exploits. Juste un peut n'est-ce pas ? De toute manière, quand on est un gamin on voit toujours son père comme un demi-dieu et on ne veut pas savoir quand il exagère ses actes. C’était ce jour là qu’il s’était promis de surpasser son père, d’accomplir des actes qui le rendraient fier de son fils. Il avait quatorze ans, l’âge de son premier exploit.

Il était partit chasser le sanglier avec son frère, Vidukin, qui lui était de cinq ans son ainé. C’était sa première chasse et il était aussi excité que le jour où on lui avait apprit la première fois à se battre. Il tentait tant bien que mal d’imiter son frère dans ses déplacements… Jusqu’au moment où un ours avait jaillit des fourrés en rugissant. Aujourd’hui encore il se souvenait de la pure terreur qu’il avait ressentit face à cette énorme masse sombre de muscles et de crocs. Heureusement pour lui son frère intervint, sinon il aurait sans doute été mis en pièce sans même avoir songé à utiliser sa lance pour se défendre.

Vidukin s’était mis à hurler en s’avançant vers le monstre pour détourner son attention. L’ours s’était détourné d’Ansfrid et il s’était jeté sur Vidukin. Mais l’ainé n’était pas le cadet, contrairement à Ansfrid il n’en était pas à sa première chasse, ni à son premier combat. Il attendit que l’ours se dresse sur ses pattes arrière pour frapper, Ansfrid pouvait encore se rappeler parfaitement de la manière dont sa lance avait transpercé la massive bête. Mais celle-ci était rendue folle furieuse par la douleur et la colère, empalée sur la lance elle avait continué d’avancer pout mettre en pièce son opposant. Alors que ce dernier tentait d’empêcher sa lance de lui être arrachée des mains. Sans réfléchir il avait chargé en hurlant de peur et de rage pour planter sa lance dans le dos de la bête, par chance, il atteignit sans le vouloir le cœur de l’ours qui après avoir poussé un ultime rugissement de douleur il s’était écroulé sur le côté. En rentrant au village Vidukin avait raconté à tous ceux qui voulaient l’entendre la bravoure d’Ansfrid, au bout d’un moment on aurait même put croire que c’était lui qui avait tué l’ours. Thorkel ne chercha jamais à contredire son frère. Après tout c’était lui qui avait porté le coup fatal.

Évidemment il passait sous silence le fait qu'il avait été pétrifié de terreur face au monstre, mais également, qu'il avait faillit se pisser dessus tout au long du combat. Après tout, dans les légendes les héros n'éprouvaient pas la peur.

C’est de ses dix huit ans à ses vingt ans, il s'était réellement intéressé à la politique de sa tribu. Auprès de son père et de son frère il avait apprit qu'elles étaient les principales ressources du village, qui avec le temps était presque devenu une petite ville. La pêche était fondamental car le village était côtier et pouvait donc profiter de la pêche pour nourrir la population d’Asbajorn en plus de la chasse. Car s'il y avait bien quelques fermes, elles ne produisaient pas assez pour nourrir la population du village . Le commerce (et le pillage) avec le sud, en particulier avec Marienburg étaient aussi une source de revenu utile pour la tribu car même si le commerce n'était pas pratiqué à très grande échelle les sudistes payaient chère pour les fourrures, la graisse de baleine et le poisson que les clans du nord pouvaient leur vendre. Mais l'un des principaux atouts de la tribu, était son importante mine de fer qui lui permettait de créer assez d'armes pour les guerriers du clans sans avoir à faire la piller des ennemis mais aussi de faire commerce de fer et d'armes avec les Marienbourgeois. Ainsi, apprenant peut à peut les richesses et le potentiel de sa tribu, il s'était mis à discuter avec son frère de politique, échangeant leurs avis et leurs rêves pour leur clan. Ils rêvaient de conquête, de régner sur un grand royaume norse avec leur tribu pour capitale. Ils riaient en imaginant les exploits qu'ils accompliraient lors de cette folle aventure imaginaire Mais alors que Vidukin oubliait ce projet insensé une fois la conversation achevée, Ansfrid ne l'oubliait pas. Il y croyait même fermement. Il finit également par vouloir explorer le monde, pas seulement en tant que simple pillard. Il décida donc d'accompagner plusieurs expéditions marchandes pour visiter les villes d'autres pays dans un voyage qui durerait sans doute plusieurs années. En particulier l'empire avec Marienburg, mais également le Kislev et l'Estalie. S’il ne resta jamais assez pour bien apprendre les langues des endroits qu'il visitait, il ouvrait grand les yeux pour apprendre le plus des choses possibles sur ces terres inconnues et discuta abondamment avec les marchands norse qu'il rencontrait. Il apprit également par des discussions et des interprètes quelques tactiques des peuples chez lesquelles il voyageait, après tout de son point de vue, tout était bon à apprendre. Sans compter que comme tout norse qui se respectait il était passionné par tout ce qui touchait au domaine de la guerre.

Ces voyages avaient a jamais changé sa vision du monde, car ils ont été pour lui la preuve concrète que malgré la force de leur peuple, son peuple étaient plus faibles que les autres nations. Les villes de l'empire étaient immenses, ses armées nombreuses et très efficaces. De même que le Kislev qui était un pays très semblable à la Norsca de part son climat et ses habitants était une puissante nation. Tous ces voyages l'ont profondément convaincu de la nécessité d'unir les tribus de Sud de sa patrie. Ah, qu'elle puissante nation elle pourrait alors constituer ! Sans aucun doute bien supérieur à tout les pays qui peuplaient actuellement cette terre ! Unifier qu'est-ce que son peuple ne pourrait accomplir ?

Il revenait fréquemment de ses voyages chez sa tribu pour revoir sa famille, discuter de ses découvertes autour d'une choppe d'Hydromel, participer à des pillages sur les côtes du sud; Cependant il arrivait difficilement à convaincre sa famille de l'intérêt d'unir les norses sous une même bannière. Même si ils étaient réceptifs à l'idée de la gloire des conquêtes et des richesses à accumuler en conquérant d'autres tributs, le fait d'unir les rendait sceptique. En particulier son père, néanmoins Vidukin finit par force de discussions et de persuasion à se rallier au projet de son frère avec enthousiasme. Ils se promirent que quand il deviendrait Iarl de leurs tribus, les deux frères partiraient ensemble à l'unification des tribus. Vidukin serait appelé par son peuple “l'unificateur” et on se souviendrait de son frère comme son plus fidèle compagnon d'arme.

Ils ne savaient pas qu'ils ne pourraient jamais entreprendre ce rêve ensemble.

C'était le jour de ses 22 ans. Il avait encore accompagné une expédition marchande à Marienburg et était entrain de fêter dignement son vingt-deuxième anniversaire dans une taverne avec les marchands qui l'avait amené avec eux. Il en était à sa troisième choppe quand un norse avait déboulé dans la taverne avec un air épuisé et catastrophé. Il était un membre de la tribu d'Ansfrid, il venait avec de sombres nouvelles. Son père et son frère était morts, tombés sous une embuscade par une tribu rivale deux mois après son départ. Il n'y avait pas eut de déclaration de guerre, ils avaient été attaqués par surprise sans même qu'ils aient le temps de se défendre. On avait immédiatement affrété un drakkar pour le prévenir, il était le nouveau Iarl. Aussitôt son coeur fut envahit par le chagrin et la haine, et il jura devant les dieux qu'il vengerait cette ignominie. Malheureusement le drakkar du brave homme qui était venu le prévenir avait été endommagé lors d'une tempête et le nouveau Iarl avait du chercher un autre drakkar d'une autre tribu qu'il promit de rémunérer grassement s'il le ramenait à son clan rapidement. Il avait passé le temps de la traversée à noyer son chagrin dans l'alcool et s'entrainer pour passer le temps. Puis il y avait eut la tempête. Un orage soudain avait éclaté, les flots s'étaient déchaînés comme si le poing rageur d'un dieu avait frappé la mer dans l'espoir qu'elle engloutisse l'embarcation des norses. Une vague gigantesque s'était rapprochée d'eux, comme un immense mur menaçant de s'écrouler sur le drakkar. Il y avait eut les cris du capitaine, les hurlements des marins et puis…

-Aïe.

Il ouvrit subitement les yeux tout en se frappant le visage et le corbeau qui s’était mit à lui picorer le front s’enfuit en croissant de dépit. Ansfrid jura en se forçant à se relever, il avait la tête qui lui tournait. Une fois debout il prit le temps de pousser de profonds soupirs pour se calmer et réorganiser ses pensées. Il se souvenait de la tempête, de la vague, et puis… plus rien. Quand il eut suffisamment repris ses esprits, il remarqua qu’il était à côté d’un drakkar échoué. Son mat était brisé et sa coque éventré. Il comprit alors qu’il avait eut beaucoup de chances, si il était tombé à l’eau il aurait coulé avec son armure et ses armes. D’ailleurs où était son casque ? En cherchant pendant quelques instants dans les alentours il finit pat retrouver son casque ainsi que son bouclier en acier. En revanche il ne parvint pas à retrouver sa bourse, en fouillant les cadavres du capitaine et de son équipage il parvint à retrouver six pièces d’or de l’empire et un manteau en peau d’ours qui avait miraculeusement été épargné par l’eau et un sac qu’il remplit du peu de provisions qui avaient survécu.

-Bon. Soupira-t-il une fois équipé. Je crois qu’il me reste plus qu’à rentrer à pied.

Heureusement il lui semblait reconnaitre cet endroit, il n’était pas trop éloigné de sa tribu. Il allait juste devoir rentrer en marchant. Alors qu’il allait prendre la route il entendit les montagnes gronder. En se retournant il se rendit compte qu’une avalanche avait été provoquée dans les montagnes proches. Il hésita quelques instants, pesant le pour et le contre et finit par se diriger vers l’avalanche. Peut-être que des gens avaient besoin d’aide.




Compétences :

MONTE : Votre personnage a appris à monter un animal. Il maitrise les techniques de déplacement et de monte, et n'a pas à craindre de chute lors d'un monté normal. Dans le cas d'une poursuite périlleuse ou d'un combat monté etc., il peut garder le contrôle de son équilibre et de sa monture sous un test de monte réussi (Des modificateurs peuvent être appliqués selon les circonstances). Cette Compétence s'applique principalement aux chevaux et autres équidés mais peut également être appliquée à d'autres animaux susceptibles d'être montées : loups, rhinox, etc.,

CHARISME : Votre personnage possède cette qualité indéfinissable qui lui permet d'avoir des rapports exceptionnellement bons avec les gens qui se montrent généralement amicaux envers lui. Il peut ajouter un bonus de +1/niveau (en fonction de la qualité du RP, de la crédulité de son auditoire et de la crédibilité de ses dires, le MJ peut y adjoindre des modificateurs) lorsqu'il essaye de persuader d'autres individus de pratiquement n'importe quoi, de les rallier à ses idées et a ses causes et d'intercéder en sa faveur (Cette compétence ne peut s'appliquer aux individus sujets à une animosité par rapport à la race de votre personnage ou à un présentant d'un alignement opposé ; par exemple : – chaos ou mauvais / bon -. Globalement, les personnes ayant des vues divergentes ou un certain parti-pris par rapport à votre personnage restent insensibles à cette compétence)

ELOQUENCE : Votre personnage a cette faculté de savoir manipuler des assemblées ou des foules entières de personnes uniquement par la persuasion verbale. Contrairement à la compétence «baratin» (voir plus haut) le nombre de personnes affectées en est bien supérieur. Il peut ajouter un bonus de +1 sur ses tests pour arriver à ses fins (Le MJ doit tenir compte de la pertinence du RP, de l'humeur de la foule, de leur crédulité etc. Le degré de réussite du test peut servir à fixer le nombre de personnes subjuguées ou conquises par le discours et déterminer le degré de réaction de l'auditoire. Une réussite importante du test peut déclencher une adhésion totale et un enthousiasme général. Cependant la persuasion a ses limites et il sera très difficile, voire impossible, de manipuler des personnes dont les idées sont antagonistes à celles proposées par votre personnage et cela, quel que soit la qualité et la véracité de son discours.)

CONNAISSANCE TACTIQUE : Votre personnage est rompu aux différentes manoeuvres et tactiques militaires. Sur un test réussi, il peut repérer les forces et les faiblesses adverses que le MJ doit lui révéler. (En conséquence, le MJ doit concéder les bonus qu'il jugera adapté aux actions entreprises par les hommes que votre personnage commande. Cette compétence ne s'applique que dans des batailles et non pas dans de simples combats ou escarmouches.)

COUPS PRÉCIS (1) : Votre personnage peut localiser avec précision la partie du corps qu'il désire frapper et se voit attribuer un bonus lors de son attaque précise. Le malus pour viser une partie précise du corps est diminué de 1 si on prend une fois cette compétence. Si on la paye une seconde fois, « coup précis » devient « coup précis (2) » et diminue le malus de 2. Si on la paye une troisième fois, « coup précis (2) » devient « coup précis (3) » et diminue le malus de 4. Dans tous les cas, cette compétence ne permet pas d’augmenter l’ATT du personnage au-delà de celle qu’il aurait été sans viser une partie particulière du corps.

COUPS PUISSANTS : Votre personnage développe une puissance hors du commun lors des combats et augmente les dégâts occasionnés à ses adversaires de + 1D3 points de dégâts.




Inventaires et biens du personnage:

Bourse: 6 Couronnes d'or


Inventaire
Chemise de maille (-1 HAB, ATT et PAR ), protec 9 Autres
Casque protec 7 Autres
Bouclier en acier 6+1d6 dégâts, 16 parade Déstabilisant
Hache d'arme 16+1d8 dégâts , 10 parade Percutante
Hache de lancer 16+1d8 dégâts Malus de -2 TIR tous les 4 mètres
Manteau lourd - Une lourde cape composée de fourrures cousues entre elles.
Sac a dos - En cuir solide.



Parcours

Quêtes accomplies

-

Classes acquises

-

Carrière et classe en cours d'apprentissage

Carrière : Voie du pouvoir
Classe actuelle : Konungar (Noble)

Dévotion religieuse

Dieu Points de dévotions disponibles Points de dévotions dépensés
Olric (Ulrich) 10 0
Taal 5 0
Mortaan (Manaan) 5 0

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