Table des matières

Informations générales sur le personnage :

Nom et Prénom: Alyria Chantelame
Age: 25 ans
Sexe: Féminin
Race: Chaotique
Carrière: Combattant du Chaos (Slaanesh)
Lieu/ville de départ: Désolations du Chaos
Fréquence de jeu: Variable, Variable, moyenne d'une fois par semaine
MJ: RP Libre


Nom de la ligne FOR END HAB CHAR INT INI ATT PAR TIR NA PV
Profil de départ (+4 PC initiaux) 7 8 8 9 8 9 10 9 8 1 60/60
Profil actuel 7 8 8 9 8 9 10 9 8 1 16/60
Améliorations restantes à acquérir pour level up (déjà acquis/à acquérir) A remplir par le MJ


XP totale: 48
XP dépensée: 0
XP disponible: 48
PC dépensés: 4




Description physique :

Rien n’est plus dérangeant que ces deux pupilles anthracites qui fixent leur proie, simulant la pureté là où le vice croît et se multiplie. Elles sont grisâtres, presque vides, et pourtant y brille fréquemment une lueur inconvenante, tentatrice, aussi détestable qu’envoûtante. Ces yeux maudits sont ceux qui ont échu à Alyria lors de sa naissance, prophètes muets d’une âme qui avait pour unique destinée les bras tentateurs de Slaanesh. Ils furent innocents, oui, et parfois encore, quand l’ivresse suprême la prend, l’observateur aguerri peut y déceler les vestiges d’une jouissance sans tâche, presque enfantine, comme si la débauche n’avait pas terni totalement la servante du Dieu des plaisirs. De même, son corps arbore une pâleur de nacre peu commune qui fut longtemps le résultat d’une santé défaillante et d’une honte terrible, avant de devenir l’étendard de sa beauté. Oui, immanquablement, la dévouée du Corrupteur arbore un physique attrayant, comme il sied aux serviteurs du Serpent Suprême, avec ses pommettes hautes, sa bouche aux lèvres minces et pâles qui forment une mince ligne boudeuse sur le bas de son visage et n’hésitent pas à se tordre en un rictus moqueur quand la situation s’y prête, que ce soit face à un arrogant trop sûr de sa force ou bien au creux de l’intimité, quand le défi se meut en un jeu pervers. Au-dessus, un nez retroussé surplombe cet ensemble, offrant un contraste étrangement harmonieux, comme les aime Slaanesh, et qui offre une impression globale de fragilité altière, rehaussée par ses sourcils épais, lourds, arqués le plus souvent en une expression ironique. Seules imperfections réelles sur sa peau d’albâtre, deux cicatrices balafrent ses joues, en soulignant l’aspect osseux. Pour encadrer ce faciès si particulier, des cheveux d’un brun sale complètent la physionomie d’Alyria, qui préfère les tenir attacher à l’aide d’une coiffe complexe qui lui évite d’avoir une mèche malvenue dans son champ de vision au milieu du combat. La tenue qu’elle porte engonce son corps maigre et nerveux, quoique relativement petit, la servante de Slaanesh n’atteignant pas le mètre soixante-cinq. Polie à l’excès, très bien entretenue, il serait presque possible de s’y mirer tant la jeune femme y apporte un soin jaloux, presque monomaniaque, ce qui donne à la guerrière un aspect chatoyant, lumineux … et donc réellement déplacé au milieu de la désolation de ces terres qu’elle arpente désormais et qui portent si bien leur nom. Sa démarche n’en est pas moins dansante, aérienne, comme si la cultiste était incapable de tenir en place, poussée sans cesse par son dieu et sa recherche avide de nouvelles sensations. Ultime étrangeté, sa voix est exceptionnellement douce, harmonieuse, et a fait sa renommée, fut un temps. Aujourd’hui, elle n’est que la dernière émanation de son caractère dérangeant, car rien n’est plus fascinant que d’entendre ce filet si pur chanter son amour de Slaanesh sur le champ de bataille.

Description psychologique :

Difficile de voir à première vue chez cette femme au sourire avenant la moindre trace de l’influence du Chaos. Sociable, volontiers moqueuse, appréciant profondément les plaisanteries les plus sarcastiques, pour ne pas dire cynique, le vernis craquèle néanmoins quand ses lèvres s’ourlent d’un rictus pervers pour lâcher une immondice sans nom ou proférer des insanités au nom de Slaanesh, avant de se rompre définitivement au moment où le sourire devient un ricanement dément de celle qui tue pour le plaisir de sentir un corps un instant vivant s’affaisser sous sa lame et de vivre au plus profond de sa chair les affres de la dépravation. Masochiste, la jeune femme l’est assurément. Sadique ? Evidemment. Pour autant, il serait vain de tenter de comprendre sa psyché en s’attardant uniquement sur cet aspect nouveau de sa personnalité. En effet, la dévote est avant tout fascinée par l’esthétisme et l’art, sous toutes ses formes. Autrefois artiste, skalde de talent, la jeune femme à la voix d’ange n’a rien perdu de son adoration pour la beauté sous cette forme, et il est souvent possible de l’entendre chantonner doucement un air de son pays à toute heure du jour ou de la nuit. Sa dévotion lui a simplement fait prendre conscience que l’art pouvait prendre bien des formes, des plus douces aux plus sanglantes. Par conséquent, elle vit le combat comme une ode aux délices de Slaanesh : rien n’est plus harmonieux à ses yeux que le sang qui gicle d’une plaie ouverte, aucun son n’a cette tonalité si particulière qu’un os qui craque sous un coup trop appuyé, et aucune complainte n’est si douce que celle du mourant qui supplie d’être achevé. Chaque combat qu’elle mène est une nouvelle toile sur laquelle elle applique une peinture inoxydable … Rouge vermeil, et chaque goutte qui lui est arrachée est offerte au nom du Corrupteur, pour son plus grand plaisir et le sien. Du fait de la nature de sa divinité, il ne sera en rien étonnant de constater que la guerrière éprouve une fascination malsaine pour les plaisirs de la chair. Elle a en effet repris à son compte le célèbre adage slaaneshi : « du plaisir vers la douleur, et de la douleur vers le plaisir. » Sybarite dans l’âme, elle applique à la lettre cette maxime, que ce soit dans la vie ou dans son lit, et éprouve une satisfaction certaine à assouvir les plaisirs de ses partenaires … ou bien à leur en faire découvrir de nouveaux, car Slaanesh n’aime rien tant que la découverte. En somme, Alyria se vit comme une artiste, qui crée de somptueuses œuvres macabres que les yeux aveugles de ceux qui n’ont pas succombé aux douces promesses du Prince des plaisirs ne peuvent pas réellement apprécier. Ce n’est pas grave : un jour viendra où sa plus somptueuse composition verra le jour, et où elle pourra la susurrer à la face du monde … Slaanesh saura la récompenser de ses talents.

Alignement : Chaotique Mauvais

Historique du personnage :

Alyria est née Vogtenberger, sur les côtes venteuses du Nordland. Dernière fille d’un paysan pauvre, sixième enfant d’un couple qui n’arrivait déjà pas à nourrir sa progéniture précédente, la gamine eut en plus la mauvaise idée de naître avec les yeux d’un gris anthracite qui fit courir des bruits sur sa réelle filiation, le regard brun et bovin de son géniteur présumé ne cadrant guère avec celui de la petite … A l’inverse de celui d’un baron local, connu pour ses mœurs légères et son appétence envers la chair fraîche de son domaine. Supposée bâtarde, inutile de présumer que ses premières années ne furent guère tendres, son paternel la rudoyant pour la honte dont elle était censée être la preuve sordide, la mère récoltant des tannées sans rien dire et ne levant guère le petit doigt pour défendre ce qui était le produit d’une relation tout sauf consentie. Le calvaire aurait pu être terrible et la chétive môme n’aurait vraisemblablement pas atteint ses six ans en vie sans l’intervention inopportune du destin. Généralement, les raids norses sur les falaises impériales sont synonymes de mort et de désolation. Pour elle, ce fut la voie du salut, même si elle ne le saurait que bien plus tard. Les pillards déferlèrent sur le village à peine défendu, la milice domaniale ne faisant guère le poids face à un tel déchaînement de violence. Comme de juste, les hommes furent impitoyablement massacrés, et les femmes dûment violées, avant d’être rassemblées pour être emmenées comme captives avec les enfants. Impuissante et terrorisée, Alyria assista donc, âgée d’à peine cinq ans, aux outrages faits à sa mère avant d’être arrachée son foyer, le guerrier l’ayant emmenée prenant bien soin de massacrer toute sa famille avant. Pourquoi l’épargna-t-il ? A l’époque, impossible de le comprendre. Plus tard, elle apprit que ce coureur des mers avait pris ses yeux pour une marque des dieux, et avait décidé ainsi de ne pas porter la main sur elle. Vendue à l’intendant d’un Jarl, la gamine fut employée comme servante et grandit ainsi, captive en Norsca. Si elle ne forcissait guère, sa voix commença à faire jaser, d’abord les serviteurs qui aimaient lui réclamer une ballade, puis bientôt les propres guerriers de la tribu, et jusqu’à la fille du Jarl elle-même, qui se piqua d’en faire sa domestique personnelle et compagne de jeux. Soumise au bon vouloir de cette autre petite et à ses volontés d’enfant cruelle, Alyria apprit à endurer la douleur sans broncher, à supporter les pincements et claques qui venaient parfois ponctuer les sautes d’humeur de sa jeune maîtresse, tentant de se complaire dans son malheur, et y trouvant parfois une touche de plaisir coupable. A quatorze ans, le Jarl considéra qu’elle était désormais une adulte et fêta ce passage important en la mettant dans son lit. Ordinairement, les concubines prises ainsi n’étaient que des amusements passagers, pourtant, il se prit d’affection pour cette adolescente maigre à la voix d’ange, et se piqua de lui donner une éducation, au grand dam de son épouse, qui n’appréciait guère cet étalage de préférence. Normalement, une captive devait avoir le bon goût de rester à sa place, c’est-à-dire à se faire engrosser sans mot dire. Sauf que cette voix envoûtante captivait, si bien qu’au fur et à mesure la jeune fille, comprenant que là était son salut, priait tous les dieux connus de bien vouloir continuer à lui octroyer un tel don. L’un d’entre eux lui répondit, et le Maître lui répondit, étendant sa main bienveillante sur cette dévôte qui s’ignorait. Son chant devint cristallin, presque hypnotique, tandis que des visions étranges assaillaient ses rêves. Elle qui s’était contentée de laisser le Jarl vaquer à ses occupations avec elle sans participer commença à prendre des initiatives, ravissant son propriétaire. Sa renommée grandit : il l’affecta à son skalde pour en faire une artiste complète, en reconnaissance des plaisirs insoupçonnés qu’elle semblait déclencher en lui. Sous l’égide de l’homme d’art, guère heureux d’avoir la favorite du Jarl dans les pattes mais obéissant, elle apprit à parfaire ses dons, et se découvrit une forme de fascination pour la peinture, qu’elle pratiquait en tenant les deux pinceaux dans chaque main. Ses compositions violentes et chatoyantes, totalement amatrices, tranchaient avec l’art norse traditionnel, mais les plus fins y virent l’œuvre des dieux et apprécièrent, alors que ses nouveaux hymnes rencontraient toujours plus de succès. Pour autant, son esprit de plus en plus dérangé par les visions envoyées par celui qu’elle révérait en secret rêvait de chercher toujours plus loin la beauté. L’esthétisme ne saurait se contenter de ces créations presque enfantines. Non, il fallait trouver autre chose de plus … vivant. Et c’est ainsi que sa vengeance se mit lentement au point, car sous son masque flegmatique, jamais Alyria n’avait pardonné les sévices de son enfance et de son adolescence. C’est ainsi qu’une nuit, alors que le Jarl pensait s’adonner à une nouvelle nuit de plaisirs charnels avec son inventive captive et se retrouvait donc à sa merci, nu, bâillonné et attaché au lit, que le supplice eut lieu. Le malheureux déchanta fort quand sa douce sortit un couteau et lui ouvrit le thorax avec une jouissance profonde, découpant la chair et plongeant ses mains dans les flots de sang qui giclaient. Dans ses ultimes respirations, la vue brouillée du Jarl se fixa sur la damnée qui peignait à présent en chantonnant sur les murs une toile d’un rouge vermeil. Lentement, une fois sa création achevée, elle se nettoya, avant de quitter la chambre non sans avoir volé la hache fétiche du macchabé, et de s’introduire dans celle de la fille de sa victime, son ancienne tortionnaire. La langue fut arrachée, et elle la regarda avec un bonheur sans nom s’étrangler ainsi dans une souffrance toute voluptueuse, sa coiffe arrachée et désormais trônant dans les cheveux de son bourreau. Puis vint le tour de la maîtresse de maison, qui connut une torture à nulle autre pareille. A la faveur de la nuit, la meurtrière impie s’échappa, armée de ce qu’elle avait pris au Jarl. Elle ne se retourna pas, avançant toujours, survivant comme elle le pouvait, avec un seul objectif en tête : offrir une nouvelle œuvre, encore plus spectaculaire, à son maître. C’est ainsi qu’au cours de cette errance, elle découvrit ce qu’elle avait entraperçut au cours de son carnage nocturne, à savoir l’ivresse de la mort et de son esthétisme. Elle adopta définitivement le nom du Prince des Plaisirs comme porte-étendard, et marcha vers les Désolations du Chaos, dans l’espoir de s’élever auprès de celui qui l’avait libérée, éveillée, façonnée, et chaque blessure l’endurcit, elle qui n’avait jamais connu le vrai combat. Elle frôla ainsi la mort dans un duel avec un chasseur envoyé par la tribu dont elle avait été captive, et qui l’avait traquée sans relâche pendant plusieurs semaines. Alyria n’avait ni sa force, ni son expérience, seulement sa dévotion fanatique et son amour morbide de la douleur. Leurs lames s’entrechoquèrent, et quand elle vit une ouverture, au mépris de sa propre vie, elle attaqua, se ruant sur la hache de son adversaire pour la lui faire sauter des mains, avant de s’en emparer et de la manier comme jadis elle avait fait tournoyé ses pinceaux. Bientôt, le cadavre sans vie du norse retomba, tandis qu’elle pansait ses plaies au visage et ses deux côtes cassées. La souffrance fut divine : ce combat n’avait pas été vain, et représentait l’ultime adoubement de son Prince et Maître à ses yeux. Mieux, au cours de la nuit qui suivit, son agonie atteignit des sommets, tandis que son corps s’évaporait sous ses yeux à cause de l’influence du Prince des Plaisirs qui avait étendu sa main sur sa servante. Désormais, elle vécut chaque épreuve comme l’occasion de perfectionner ses nouveaux talents. De guerrière farouche mais malhabile, elle passa peu à peu à survivante aguerrie, s’endurcissant au fur et à mesure de sa marche sans fin et développant une affinité particulière avec ses haches, qu’elle appelait avec affection ses nouveaux pinceaux. Désormais, le sang était sa teinture, et son art ne cessait de devenir peu à peu cet idéal de perfection qu’elle cherchait de plus en plus à obtenir. Après deux ans d’errance, elle parvint enfin dans les Désolations du Chaos. Là, son destin l’attendait, et déjà, ses lèvres formaient les mots qui composeraient la plus terrible ballade jamais entonnée : celle d’Alyria Chantelame, la Voix Vermeille.




Compétences :

Coups puissants : Votre personnage développe une puissance hors du commun lors des combats et augmente les dégâts occasionnés à ses adversaires de + 1D3 points de dégâts.

Langue Noire : Votre personnage a appris la langue des serviteurs du Chaos.

Chant : Votre personnage sait très bien chanter et connait une grande variété de chansons populaires. Sur un test réussi de chant, cela peut lui permettre de gagner un peu d'argent lorsqu'il exerce son talent en public. Plus pratiquement, il peut ajouter un bonus de +1 lorsqu'il essaye de charmer, divertir et retenir l'attention d'une ou un groupe de personnes.

Séduction : Votre personnage dégage une combinaison de charme naturel et d'attrait physique. Il peut ainsi ajouter un bonus de +1 pour tous les tests mettant en jeu des personnes du sexe opposé (voire du même sexe).

Ambidextrie : Votre personnage peut utiliser ses deux mains avec la même habileté et dextérité et ceci sans subir de malus lors des tests. En ce sens, il ne subira aucun désavantage lorsqu'il, pour une raison ou une autre, combattra ou tentera une opération quelconque avec l'une ou l'autre de ses mains. De plus il ne subit pas le malus prévu pour la relance d'attaque ratée lors d'un combat avec deux armes.

Survie en milieu hostile : Votre personnage, habitué à évoluer dans des milieux hostiles, a appris à connaître les principaux dangers susceptibles d'être rencontrés dans une région concernée. Il n’ignore pas les effets du climat mais sait ce qu’il convient de faire pour les minimiser. Il est également capable de trouver de la nourriture (de base, pas forcément appétissante) alors que rien ne semble disponible, ce qui lui permet d’échapper à la faim. Il sait éviter les dangers etc., Il peut ajouter un bonus de +1 sur tous ses tests lorsqu'il se retrouve dans un tel environnement.




Inventaires et biens du personnage:

Bourse: 6 Couronnes d'or


Inventaire
Hache Chaotique 18+1d8 dégâts, 8 parade Percutante. Manier deux haches chaotiques en même temps confère un malus en ATT de -3 pour l'attaque de la mauvaise main, mais permet de faire deux attaques. Ce malus est retiré grâce à la compétence Ambidextrie.
Hache Chaotique 18+1d8 dégâts, 8 parade Percutante. Manier deux haches chaotiques en même temps confère un malus en ATT de -3 pour l'attaque de la mauvaise main, mais permet de faire deux attaques. Ce malus est retiré grâce à la compétence Ambidextrie.
Couchage portatif
Rations
Chaîne
Collier
Potion de soin


Grimoire


Parcours

Quêtes accomplies

Classes acquises

Carrière et classe en cours d'apprentissage

Carrière : Combattant du Chaos (Slaanesh)
Classe actuelle : Guerrier du Chaos (Slaanesh)

Dévotion religieuse

Dieu Points de dévotions disponibles Points de dévotions dépensés
Slaanesh 10 10

Autres

Mutation : Invisibilité - Alors que les vents du chaos vous effleure, vous semblez vous dissoudre, vous disperser. Après quelques instants de panique vous redevenez enfin visible. A partir de maintenant, sur un test d'INT réussi vous pouvez vous rendre invisible. Il est impossible de vous viser directement à l'aide d'une arme à distance et ceux qui vous attaquent au corps à corps subissent -3 ATT et PAR (sauf cas exceptionnels) PS : A savoir que de ne pas pouvoir vous viser n’empêche pas de tirer dans votre direction générale

Maximum de mutations avant de devenir un enfant du chaos = 9 + END/2 = 13


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