D'épaisses jungles moites et dangereuses couvrent la totalité de la Lustrie. Peuplées de monstres énormes, de millions d'insectes pour la plupart venimeux, et d'Hommes-Lézards.
Le skink hoche la tête et sait qu’il se doit d’écouter Exotolc avant de grimper sur le Baobab il se retourne et vous dit « fait comme moi sssuarussss!!! » Cocualta se doutait que ce qui pour lui semblait évident l’était moins pour un saurus plus lourd et massif. Vous observez alors le skink grimper l’arbre, un peu plus vite que la première fois, vous remarquez cependant qu’il appuis se mouvements, sans faire de bruit, comme si il vous montrait le chemin à suivre, les branches à prendre ou à laisser. Le skink vous ouvre la voie, cela devrait être assez simple pour vous ormis que vous êtes plus lourd…..
Tout autour de vous tout n’est que bruit les skavens s’affairent à détruire la jungle, votre jungle! Votre ouie est aux aguets, le skink arrive enfin à la cime, protégé par le feuillage, camouflé au milieu de lui…..
C’est votre tour, vous devez monter le baobab, vous vous exécutez un saurus grimpeur! La jungle doit voir cela pour la première fois!
Test Hab 9/ jet 9 réussit ***** test int 6/ jet 6 (pour suivre la trace du skink!)
Alors vous grimpez, le baobab doit faire 8 mètres de haut, vous prenez le chemin du skink et malgré votre poids vous parvenez à vous hisser sur le tronc, vous accrocher au branches. Vous avancez péniblement mais sûrement et suivez précisément le chemin du skink. A votre avancée contre le tronc, vous percevez les bruits fait par les skavens il continuent leur horrible carnage….
Arrivé vous aussi à la cime de l’arbre caché par le feuillage….. Vous pouvez observer vos ennemis, et là une vision attriste votre cœur…. Vous voyez une cinquantaine de Skaven parmi lesquels une dizaine de rat ogre. Les premiers défrichent les herbes et plantes. Les second surveillés par des skavens abattent à la chaîne des arbres. Ils s’approchent désormais de votre cache, ils vont attaquer votre bosquets….
Seulement vous vous souvenez de quelques chose le skink a éteint le feu, mais pas camouflé son existence et les couches toujours au bas de l’arbre……
L’ascencion avait été hardu et du haut de la conapé, Exotolc ne pouvait retenir un sentiment de fierté après cet exploit. Malgré leur vie incroyablement longue , si une lame ne vient pas y mettre fin, peu de saurus ont jamais tenté l’escalade. Il regarda le skink avec un rictus, prenant place entre deux branches.
Sa vue qui se limitait habituellement à une masse feuillu, portait maintenant à des kilomêtre. Une envie de rugir lui prit soudain. Il régnait sur la jungle entière, ou dumoin lui sembla t’il pendant une seconde.
Son bonheur fut de courte durée, alors qu’il portait son regard sur l’étendu de la jungle, il vit la destruction et la mort de. Chaque plante arraché ou arbre trébuchant, sonnant à ses oreilles comme les derniers gémissements de son monde.
Sur des kilomètres, la vermine avait défriché, arracher et aplanis la forêt. Du plus petit plant aux troncs éternels, rien ne restait. Plus qu’une terre boueuse et humide. Sur laquelle les skaven trainaient les carcasses de leur récente tuerie.
Comment Soltanek avait il put ne pas découvrir cela. L’heure de la bataille venue, il ferait bien de racheter cette faute sous peine de devoir s’expliquer. Car il y aurait bataille, un préjudice de cette taille requerrait un châtiment examplaire.
Mais les rats avançaient peu à peu, ils seraient bientôt au pied de leur cachette. Espérons que le plan marche.
Le saurus en était à cette réflexion alors qu’il aperçu les couche et le foyer, à peine déranger, comme s’il n’attendait que leur retour de l’arbre.
Dans leur fuite, il avait oublié de camoufler leur présence. Un saurus ne devrait pas avoir à réfléchir autant en une journée… c’était une tache laborieuse.
Exotolc tira rapidement du sac, une tranche de salamandre la présentant au skink, murmura où ce qui sen rapproche le plus.
« Si tuas du poison, met le sur la viande. Et jette-la sur le camp. Un de ces rats s’y empoisonnera et ils penseront la viande vieille et le camp abandonner depuis longtemps. »
Cocualta vous regarde avec des grand yeux« du poisson? Non je n’en ai…. »Soudain vous sentez l’arbre trembler des coups puissants frappe son tronc, vous entendez le grognement des rats ogres qui s’acharnent à détruire la base du tronc… dans leurs mouvement et leur brutalité ces derniers on saccagé la végétation environnante et à votre soulagement les traces de présence de votre campement.
Vous entendez aussi les skavens fouetter les rats ogres et leur lancer vraisemblablement des ordres. Les rats ogre ne bronchent pas au coup des fouets sur leurs chairs. Leur intellect limité leur permet de réagir au coups et ils comprennent qu’il faut se hâter. Le baobab commence a être secoué de plus en plus. Il est très difficile de se tenir et vous devez user de toute votre force vous maintenir aux branches. Ce n’est qu’une question de temps avant que l’arbre tombe… Mais les skavens ne détectent toujours pas votre présence.
Vous sentez les mouvements d'ocillation commencer, entendez les griffes des rats ogre chacuter le tronc, le bois exploser sous les coups des créatures... La chute n'est pas loin.
Peu importait se dit le Lézard en remettant prestement la viande dans son sac. Les rats semblaient tout rafler sur leur chemin sans daigner même porter attention à ce qu’ils détruisaient. Il vit sous eux les Skaven ravager la flore et au même moment leur simpliste camp.
Exotolc observait le bestiaire qui s’offrait à lui. Il voyait les petits sbires, petits, peureux, la fourrure sales, et auquel on donnait les taches ingrates. Dans le cas présent ils fouettaient les immenses golems de chair et de corruption que sont les Rats-ogres. Ceux-ci au poil tombant ne semblaient pas trouver l’équilibre requis par leur membre disproportionnés. La contamination dut à la malpierre causait à l’organisme une telle dévastation que des pustules parsemaient les corp monstrueux et que leur couleur de peau passait du jaune au vert.
Exotolc dégouté, pensait tout de même au honneur réservé a ceux qui parvenaient à ramener la tête de l’un d’entre eux. Si le risque n’avaient été si grand, il serait déjà en chute libre, masse en main prêt à en découdre.
Mais déjà les premières secousses se faisaient sentir, les griffes des rats-ogres continuaient leur macabre besogne sans porter attention à ce qui les entouraient. Leur cerveau muté gardait encore la capacité de comprendre que le seul moyen d’échapper ou du moins de réduire les coups de fouets, était de détruire.
Sous lui Exotolc commençait à sentir le craquement du bois qui sous son poids commence à basculer. La chute arrivait et par-dessus le vacarme que causait les Skaven, Exotolc conseillas au skink de s’accrocher.
Une pensé à Huanchi plutôt qu’une prière fut la seul pensé qui traversa l’esprit du saurus avant la chute.
Les rats ogre finirent l’embase du tronc, le travail des maudits était désormais achevé. Les sbires le savaient, alors il écartèrent comme à leur habitude à coup de fouet. Les bêtes alors suivirent leur maître et s’écartent contre leur grès. Les skavens savaient qu’il leur suffiraient désormais d’attendre, ce ne fut pas très long….. Le Baobab désormais oscillait sur lui-même attendant une rafale de vent pour le faire tomber ou un oiseau pour déstabiliser l’équilibre désormais fragile du tronc.
Tout doucement au départ l’arbre bascule sur le coté. Il prend alors de la vitesse, en tombant il percute violement d’uræ arbres sur son passage, ceux-ci sont littéralement broyés sous le poids du baobab… Les fils de la lustrie sont heureusement au coté opposé de la chute, comme si Huanchi avait écouté le saurus.
Les destin apparemment leur souriait car la chute fut secouée mais loin d’être brutal. Les oiseaux alors silencieux quelques instant auparavant, fuyaient effarés et paniqué en criant…. L’arbre arriva alors de tout son long sur le sol, les hommes Lézards étaient saufs au milieu des branches… Désormais il pouvaient de nouveau entendre les fouets, les rats ogres hurlent de douleur, il enentdent aussi des bruit métalliques des chaînes apparemment pour tracter le baobab dans lequel on survécu Exotolc et son acolyte.
Les coups de fouets cessèrent momentanément. Exotolc compris immédiatement le motif des rats car le mastodonte de bois sur lequel il se trouvait, piquait maintenant et ne tarderait pas à ravager la canopée sur son passage. Un Saurus ne ressent pas la peur, mais les anciens eux-mêmes n’avait pas dut prédire l’éventualité d’une telle situation.
Malgré sa nature et ses années de combat ayant endurcis son cœur, Exotolc sentit ses paupière se fermer durant la chute. L’écorce commençait a éclater sous ses griffes tellement son emprise était forte, sa crainte de lâcher prise étant si grande.
La secousse vint enfin. Le tronc avais en effet dévasté une large partie de la forêt les entourants, mais le choc fut bien moindre que ce à quoi s’attendait le Saurus. C’est surement la raison qu’il l’aida lui et Colcuata à rester si discrets.
La nature quand à elle laissa entendre son désaccord. Les oiseaux exotique des plus beau coloris s’envolèrent crachant leur mépris à la congrégation de rats.
Le miracle dit alors Exotolc devant se spectacle, était que le Immonde n’aient pas croiser le chemin d’un troupeau de stégadons. Il n’était pas sir rare d’en rencontrer dans la région et leur colère à elle seul eu surement suffit à renvoyer dans leurs trous ces intrus pestilents. Peu importait, avant longtemps il porterait leur tête alentour de son cou et leur entrailles sailleraient au soleil. Les dieux en seraient heureux, et la nature reprendrait sa place comme l’entendaient les anciens.
Se collant tout du long sur le tronc plutôt qu’une branche unique, Exotolc espérait qu’une plus grande quantité de feuille recouvre son corps.
Le son des chaines se fit entendre et sous lui le frottement du bois trainer dans la boue commençait. Ils étaient en chemin. Ce qu’il découvrirait, il n’en avait aucune idée et il était plus qu’heureux que le silence soit de mise. Le skink ne pouvait le questionner quand à ce qu’il espérait accomplir.
Il faisait ce qu’il lui revenait de faire. Ce n’était pas une intuition qui le poussait mais une conviction que c’était la seul marche à suivre.
À l’avant, ou plutôt près des racines, il pouvait voir les Immondes démesuré tirer sur les chaines. Le labeur était affligeant mais ils semblaient le préféré au coup de fouets.
Une autre partie du groupe restait en arrière pour continuer leur ouvrage.
Exotolc tira son arme, peu importe ce qu’ils trouveraient au bout de cette trainé de dévasation, il savait qu’elle lui serait utile.
Le tronc bougeait, Exotolc pouvait le sentir il entendait le bruit des chaînes le hurlement mécontent des rats ogres et les cris de leurs maîtres, le bruit des chaînes et le frottement sur le sol mou.
Exotolc et Cocualta collés sur le tronc et protégé par les feuilles semblaient invisibles, du moins cela semblait efficace, les Skaven ne sont pas non plus des débiles! Le saurus voulait connaître le but de ces manœuvres il le saurait au bout du voyage. De ce qu’il pouvait voir du coin de l’œil c’est le ciel avec le soleil, plus de jungle plus de cime des arbres…. Plus un bruit non plus hormis ceux des créatures maudites! Cocualta semblait tétanisé, il fermait les yeux et semblait trembler de tout son être…. Se jeter dans la gueule de l’ennemi n’était pas naturel pour cet être habitué aux temples de Toxtlan.
L’air ambiant sentait la pestilence et la terre brûlée, le skavens avait sans nul doute tout ravager. L’absence de jungle crée un atmosphère étouffante et insupportable même si les fils de la lustrie on besoin de chaleur, trop de chaleur peut être fatale pour ces créatures. Heureusement celles-ci sont encore protégées par le feuillage du baobab….. Il en fut ainsi jusque tard dans la nuit, alors la fraîcheur arriva,sans couverture des arbre de la jungle la différence était mordante. Mais le convoi continuait sa route toujours sous le bruit des chaînes et du fouet…..
Exoltoc et Cocualta commençaient à s’endormir dans la torpeur de la nuit, malgré les bruits. Mais la fraîcheur les emportaient incontournable ment vers le sommeil….. Un arrêt soudain les fit sursauter, il faisait nuit noire, les fils de la Lustrie pouvaient percevoir les étoiles et la lune. Ils pouvaient désormais entendre les chaînes se détacher, et les coups de fouet, les rats ogres, il s’écartaient du Baobab…
Ou étaient il arrivés, que se passait-il seul le bruit de ce qui semble être un mine ou un forge tranchait avec le silence de la nuit… Alors des cris lointains s’élevèrent, des cirs de rats ogres et un firmament rouge se voyait au loin peut être à deux kilomètres….
Le désert que laissaient derrière eu les Skaven créait un corridor géant dans lequel s’engouffrait le vent comme nulle part en Lustrie. Ca déplaisait au saurus qui n’avait jusque la connue que la moiteur et l’ombre des arbres.
Avec chaque kilomètre parcouru par leur embarcation, la haine grandissait un peu plus dans son cœur. La fin de tant de vie au profit des plans de ces pestilents.
A coté de lui le skink tremblait toujours, Exotolc discernait bien que ce n’était pas dut au froid. Le pauvre petit prêtre ne savait pas à quel mort son supérieur l’avait envoyé. Mais il n’était pas tant de faiblir, et il le savait. Deux choix s’offraient maintenant à eux, rester et mourir découvert par les pestilent. Ou bien se faufiler sous le couvert de la nuit, découvrir ce que conspirait les rongeurs et filer au plus vite.
S’assurant que les bruit ambiant couvrait son action, Exotolc tappa de sa main le crane du skink. Affirmer son autorité dans cette situation et surtout donner l’impression de savoir ce que l’on fait étaient primordial.
Exotolc se glissa au sol entre les branchages et laissa sa tête émerger. Tout ses sens en éveil il tentait de découvrir autant de chose que possible sur ce qui l’entourait. Discerner ce qu’était ces bruit industriel. Humant l’air pour discerner le nombre d’ennemis et par-dessus tout observer ce qui l’entourait.
Il souhaitait entendre le bruissement de l’eau, il saurait ainsi s’ils étaient près de la rivière. C’était depuis le début son espoir, leur ticket de sortie en quelque sorte.
Pour la lueur. Il savaient qu’il faudrait malheureusement s’en approcher.
Exotolc et Cocualta étaient seuls au milieu d'une bande de 50mètres de large dévastée. L'ancienne forêt primaire était détruite, seules quelques souches d'arbres centenaires étaitent encore présente. La faune et la flore avait disparue, tout n'était que silence, la nature avait perdu ses droits. Seul le bruit des machines infernales demeurait. L'horizon rouge démontrait d'une activité minière ou de forge. Exotolc pouvait entendre le bruit de l'acier frappant l'acier. Il pouvait entendre l'écho du fouet enles battemenbts des forges, les cris de douleurs des esclaves des déchus. Cette activité industrielle n'avait qu'un but: L'éradication des fils de la lutrie au profit des bêtes immondes.
L'air était pollué et saturé d'odeur de soufre et de bois brûlé, la nature y était consummée pour la gloire des skavens. Au milieu de ces odeurs trainait la pestilence et la putréfaction, ils devaient être au bas mot une centaine voire plus. Un indice cependant trainait au milieu de ces immondices, un gout d'eau, beaucoup d'eau, mais il fallait s'approcher du site industriel skaven, la rivière passait devant vraisemblablement.... Il fait nuit, Exoltoc peut voir les astres ou du moins les percevoir, car un léger film opaque filtre une partie de la lumière. Les lumières rouges rendent le site apocalyptique, un enfer pour le saurus, dégouté et écoeuré de la destruction volontaire de sa patrie. Les skavens s'approchaient de Textlan, il le savait... La patrouille croisée auparavent leur avait fait mention de la région taboue, mais en un mois et quelques jours, les skavens avaeint repris des forces. Cette maudite race ne pouvait donc jamais être détruite?
Cocualta s'approche alors de vous: "Exotolc.... Nous sommes dans la gueule du loup, je sent la rivière mais dans la direction de ce funeste horizon rouge, je sens la pestilence, a mort.... Si nous retournons à Textlan il sera peut être trop tard, notre armée doit être en route.... Faisons quelque coup d'éclat, en savoir plus serait utile.... Et avec l'aide de nos dieux quelques sabotages ne seraient pas de trop et le bruit alerterai notre armée, qu'en penses-tu sssaurusss"
Vous observez alors le skink, celui-ci de tremble plus de peur, bien au contraire, il a la même vision que vous. Il semble écoeuré, pour une fois dans sa vie, le petit être semble écoeuré au point de sacrifier sa vie et stopper le carnage. Il souhaite faire une action, un coup d'éclat. Il attend votre réponse au milieu des bruits industriels, la rivière n'est pas loin mais proche du site maudit.... Le skink attend votre réponse et vos propositions.
Le resptile surgit des branches pour ne découvrir que la destruction. Il se devrait courir plus de quarante mètre en terrain découvert pour rejoindre les arbres le plus proche. Ou du moins la rivière jugea-t-il grâce aux giclements qu’il entendait au loin.
Il n’était pas seul dans son désir de vengeance, les propos du prêtre le surprirent momentanément. Lui qui quelques heures encore tremblait à la vue d’un skaven, semblait maintenant investis d’une inébranlable volonté d’anéantir, peu importe le cout, le pustulent.
Dans ses yeux le saurus pouvait lire la vaillance naissante que tout fils de lustrie possède quand il se sait nécessaire à l’accomplissement du grand dessein.
Le saurus chercha du regard un endroit ou il pourrait se tapir, s’approcher un peu plus de la forge, l’aciérie… Ou peu importe quel dispositif les skaven avait installé à l’insu de tous. Mais tout n’était que dévastation.
Leur odeur était couverte par les émanations nauséabondes qui par contre ne semblait pas gêner les rongeurs qui avançaient dans leur tache. La nuit les couvrirait peut-être leur pas et le bruit ambiant ne laisserait percevoir leur présence.
C’était mieux que rien.
Mais malheureusement Exotolc ne possédait pas de réponse pouvant satisfaire le skink. Malgré tout la rage qui bouillait en lui il savait que les méchanisme qu’ils entendaient étaient bien gardé. Ils ne pourraient à eu seul traverser cent rats et espérer voir chotek se levé. Quoique dans leur présente situation rien n’était moin sur que cela.
Il restait deux solutions qui paraissaient vaguement plausible aux yeux d’Exotolc.
« Trop de monde, trop bien défendu. Non il n’y a rien à faire. Rien de ssse que l’on puisssse réchapé.
Mais je connais une pierre. Une pierre Ssskaven. Il l’utilisent pour les flammes, pour leur ogres.
Pierre très dangereuse. Il doit y en avoir beaucoup là-bas. Ssi on peut la lancer au feu, peut-être… Je ne sssais pas, peut-être dessstruction. Le chaos est fort, et sses idiots le controlent mal. »
En vérité, Exotolc connaissait bien peu de chose du chaos, sinon ses adeptes qui eux se devaient d’être éradiqué. Utapac avait déjà mentionné que sa magie provenait du chaos. Le saurus n’y comprenait rien. Mais ils avait déjà vu et sentit les effets de la malepierre. Tout ce qui entrait en contact se dénaturait, était infecté ou simplement détruit. Si les Slann employaient le chaos contre le chaos… Il pourrait bien faire de même avec les skaven.
Quittant son repère de fortune il tenta avec discrétion de s’approcher plus près du site, prenant les quelques souche qu’il trouvait comme couverture. Semblant s’enfoncer plus profond dans la boue à chaque pas. Les immondes n’étaient pas loin mais la curiosité et l’envie d’en découdre poussait le Saurus. Il devait agir.
