[RP groupé] Alliés de circonstance

[Dan Surcouf]

Surcouf regarda le résultat de la pièce, puis les autres. Au final, Ranald n'avait pas eu besoin de le guider. Et puis, de toute façon, personne n'avait répondu à sa demande initiale, pour fixer un résultat. Il haussa les épaules et rangea sa pièce. Il soupira.
-Quoique vous choisissiez, faites vites. On va pas rester trois siècle là dessous avec ce truc et c'est certainement pas moi qui vais vous dire quoi faire avec cette merde. Vous êtes le mage, vous êtes notre employeur, c'est à vous de décider, Ebénart.

[Wilhelm EbenHart]

Une fois la traduction faite, le sorcier haussa les épaules, vaincut.

"Le repurgateur a raison : sceller l'artefact dans cette tombe et s'assurer que personne ne puisse le récupérer reste la meilleure solution. Donc on retournes en bas, un scelle la chambre funéraire et on essaie de sceller définitivement le passage."

Le sorcier eut un éclair dans son regard alors qu'il sortait de son sac les gantelets nains.

"Et je crois que j'ai ce qu'il faut pour ce faire."

Il releva ses yeux fatigués mais déterminés vers le Marin.

"D'autres questions ?"

[Dan Surcouf]

Surcouf haussa les épaules.
-Alors on fait ça.

[Catuvolcos]

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Échangeant à peine un regard et un hochement de tête, chacun s'affaira à suivre les directives de Catuvolcos. Malheureusement sans succès. Il n'y avait rien qui put les aider à ouvrir les grilles de leur côté.

- Bien vu, Gaël, commença le familier lorsqu'il fut revenu de son exploration astrale des lieux, il y a bien un système d'engrenages dissimulé dans le plafond mais le treuil qui actionne la levée des grilles se trouve de l'autre côté de cette pièce. Il vous faut faire le tour pour y accéder. Mais, attention, les cadavres ambulants sont plus nombreux là-bas...

Roderick se tourna à son tour vers Catuvolcos et ses compagnons :

- Il n'y a rien ici... Poursuivons l'exploration de ce couloir pour voir si on peut arriver de l'autre côté. Soyez prudent, nous ne sommes pas seuls et ce qui hante les lieux est plus terrible que ce malheureux squelette...
- Roderick ! Y a quelqu'un qui arrive. souffla Ary depuis la position de guet que lui avait assignée l'ovate. J'entends des pas et une respiration lourde.
- Si ça respire, c'est que c'est pas mort ; c'est déjà ça, intervint Ingolf. C'est p't-être tes copains, poursuivit-il à l'attention de Catuvolcos.
- Tu peux rester là si tu veux. Si ce sont tes amis, on vous retrouvera dehors. En attendant, il nous faut secourir Reynald avant tout. Nous allons suivre le couloir en prenant toujours à gauche de manière à contourner la pièce sans trop nous en éloigner et risquer de nous perdre. On finira bien par arriver de l'autre côté. Fais ce qui te semble le plus juste, ami.

Roderick s'était approché de Catuvolcos pour lui parler à voix basse, la main posée sur son épaule dans un geste amical, presque fraternel. Puis, sans attendre de savoir s'il allait les suivre, l'homme appliqua son plan et s'en fut, suivi des deux autres, plus avant dans le couloir.

Mes nouveaux collègues étaient partis dans le couloir à une vitesse. Même pas le temps de réfléchir pour la suite, comme si le ciel allait leurs tombés sur la tête, enfin bon après tout c’était un de leurs proches qu’il fallait sauver. J’avais vraiment envie de les suivre mais ces respirations qu’avait entendues Ary m’intriguaient au plus haut point, et hors de question de se faire prendre en tenaille. La mort dans l’âme je me décidais donc à revenir sur mes pas pour me rapprocher vers la source des respirations.

Revenant dans le boyau sombre et étriqué, j’avançais le plus discrètement possible, la visibilité était très mauvaise mais cela ne m’importait pas mon familier qui bien plus silencieux que moi ne paraissait pas monter un quelque signe d’un danger potentiel. Un goute de sueur me roula sur la joue, mon ventre se mit à produire un gargouillement qui résonna tout le long du corridor, depuis combien de temps n’avais pas fait je un vrai repas ? Depuis celui à la taverne de fort Solace enfaite, pour ce qui était de la discrétion s’en était raté.

Je me redressai de tout mon long, puis dans un souci de surprendre le ou les nouveaux arrivants pour les moments encore invisibles je me mis à parler mais pas en Reikspiel mais dans l’antique langage d’Albion qui fut répercuté par l’écho dans le boyau.

Suavelos arios is draoi mé, cad atá á dhéanamh agat anseo ag labhairt thar ceann Danu !

Je me redressai de tout mon long, puis dans un souci de surprendre le ou les nouvelles arrivantes pour les moments encore invisibles je me mis à parler mais pas en Reikspiel mais dans l’antique langage d’Albion qui fut répercuté par l’écho dans le boyau. Ceci fait je me remis en marche me dressant faisant tout pour paraître le plus vigoureux possible.

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HRP: Vraiment désoler pour le temps que j'ai mis à répondre mais j'ai eu plein de choses irl qui me sont arrivés dans la figure d'un coup

[[MJ] The Puppet Master]

Equipe Wilhelm >> malus de -1 jusqu'à ce que vous fassiez un vrai repas et passiez une vraie nuit de sommeil.

Wilhelm +2 aux tests d'intimidation et de commandement : 4/6 tours

En descendant en direction des bruits évoqués par Ary, l'ovate ne tarda pas à tomber nez à nez avec les mercenaires rencontrés sur les bords du lac et Theodoric, l'homme qui était venu, avec Ary et Reynald, à leur rencontre lorsque, avec ses compagnons, ils s'étaient aventurés en direction des fumées aperçues au-dessus de la colline. Ils n'étaient pas seuls, l'halfeling qui avait semblé être l'otage du marchand dénommé Schwender, était avec eux et ils remontaient tous dans la direction de Catuvolcos.

- Ah, tiens ? T'es là, toi aussi ? Tes potes sont en bas, ils ont trouvé un truc pas très honnête... Si j'étais toi, je me tirerais vite fait avant qu'ils déclenchent une catastrophe à force de se disputer. En tout cas, nous, on va faire un tour de la boutique histoire de récupérer un peu d'oseille et on reste pas dans le coin.

En croisant Catuvolcos dans l'étroit escalier taillé dans la pierre qui descendait vers les profondeurs de l'île, Theodoric lui tapa sur l'épaule pour appuyer sa remarque finale.

- Allez, bon courage. Si vous nous cherchez... ben... on s'ra plus là depuis un moment.
*****

Le répurgateur indiqua qu'il avait un peu de poudre pour recharger son arme mais que ça ne suffirait sûrement pas à sceller le tombeau... Alors que les quatre hommes, Wilhelm marchait en tête, suivaient Steffon, toujours entravé, et Surcouf qui lui tenait lieu d'escorte, Martin de Mavignon arrivait en fin de cortège, s'avançaient pour retourner vers le tombeau du chevalier mort-vivant, ils entendirent derrière eux les pas et la voix, reconnaissable entre mille, de Catuvolcos. L'ovate les interpella alors et put voir le visage de son compagnon de toujours, Martin de Mavignon, s'illuminer à sa vue. Le chevalier bretonnien ne cacha d'ailleurs pas son soulagement de revoir l'Albionnais :

- Mes amis, avec Catuvolcos à nos côtés, nous ne seront que plus forts pour affronter ce qui nous attend ! Peut-être même que sa « magie » pourrait s'avérer utile, également ? En tout cas, je suis heureux de te voir, Catuvolcos ! Si tu avais vu ce qui s'est opposé à nous, ton sang de Gaël n'aurait fait qu'un tour...

Hardi, compagnon ! Menons à bien cette mission jusqu'au bout et laissons cet endroit et tous ses souvenirs loin derrière nous sans tarder !

[Dan Surcouf]

Surcouf haussa les épaules et se contenta de récupérer la poudre et les munitions éventuelles sur le répurgateur. Cela pourrait toujours servir et ça serait toujours une arme en moins pour ce filou d'impérial.

L'arrivée du druide allait peut-être changer quelque chose... mais, en soit, le contrebandier n'y connaissait pas assez en magie pour pouvoir affirmer quoique ce soit. Il se contenta donc de suivre le groupe, en tenant Steffon sous bonne surveillance.

[Wilhelm EbenHart]

Le sorcier hocha la tête, soulagé de voir le druide en un seul morceau.

"Vous nous raconterez ce qui vous est arrivé là haut en chemin. Il faut retourner dans les profondeurs. "

Le sorcier, moins faible qu'auparavent, commença la longue descente des escaliers de pierre menant au tombeau principal. C'était une solution en demi teinte, mais qui était la seule envisageable et surtout la moins risquée. Il allait falloir s'en contenter.

[Catuvolcos]

Ce fut donc sur une partie des mercenaires avec à leur têtes le roublard, ils avaient l’air pressé de quitter l’endroit, mais pas avant de trouver de l’oseille. Théodoric m’avait déjà souhaité bon courage pour ce qui m’attendait avant que je puisse ouvrir ma bouche, me tournant le dos je leur dis quand même à la volée.

Bonne chance à vous, même si je ne comprends vraiment pas comment vous conter cueillir de l’oseille sous terre !

Ah ces impériaux compléments fous de l’oseille n’importe quoi, j’en ai assez fait pousser dans ma jeunesse pour savoir que ça ne pousse pas dans les tertres humides et sombres, le ciel me tombera surement sur la tête avant de pouvoir comprendre ces hommes du continent.

Je finis finalement par retrouver mes camarades avec le répurgateur comme entravé. Ils devenaient tous mero ici ou quoi.

Ne t’en fais pas tu l’es déjà bien assez ! Me lança espièglement mon familier.

Malgré l’enthousiasme habituel de Martin, je compris bien vite que le groupe était pressé, je ne posai pas de question et suivi sans résistance le mage qui semblait encore plus livide que d’habitude. Surcouf lui semblait absorbé par la surveillance de Steffon.

Alors entrain de redescendre dans les profondeurs je ne pus m’empêcher de poser une question au répurgateur.

Dis-moi Steffon on est obligé de te retenir car tu as peur, tu vas te sauver face aux vilains squelettes haha ?

J’avais à peine fini de parler que je me disais que ce n’était peut-être pas la chose la plus maligne que j’avais dite dans la journée. Bon je devais trouver plus malin à dire pour me rattraper.

Enfin expliquez-moi plutôt Wilhelm ce que vous attendez de moi ?

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Equipe Wilhelm >> malus de -1 jusqu'à ce que vous fassiez un vrai repas et passiez une vraie nuit de sommeil.

Wilhelm +2 aux tests d'intimidation et de commandement : 5/6 tours

Arrivés dans le tombeau quitté quelques instants plus tôt, les désormais cinq hommes purent, à leur guise mettre tout en oeuvre pour sceller à jamais l'endroit et maintenir loin du monde ce qu'il renfermait.

- Bon. On fait quoi maintenant ? demanda Steffon non sans une pointe de moquerie dans la voix.
- Sire EbenHart ?

[Dan Surcouf]

Le marin lança un regard au sorcier, suivant les autres dans leur questionnement.