[Herr Feers] Une pinte ayant un arrière goût d’aventure

Les gens du Hochland sont célébres pour leurs talents de chasseurs et les denses forêts de leur province. Une bonne partie de leurs armées est composée d'habiles arquebusiers. Le Comte Ludenhof tient sa cour à Hergig.

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[MJ] Wargut
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Message par [MJ] Wargut »

Tandis que Feers avançait vers l’endroit où Karl était tombé, il vit un carreau d’arbalète métallique dépasser de l’arrière train d’un loup et l’air fut soudain rempli d’une pluie de carreaux surgis des arbres.

Un loup qui avait perdu son cavalier lui sauta dessus et ses immenses pattes s’écrasèrent sur sa poitrine. La gueule béante cherchait sa gorge. Le pistolier fut projeté à terre et sentit l’haleine rance et chaude de l’ignoble créature sur son visage. Il repoussa désespérément la gueule en agrippant la gorge de la bête de sa main, mais la force et le poids de la créature étaient incroyables.

Son champ de vision fut voilé par le sang qui lui gicla dans les yeux et il sentit la bête devenir flasque et perdre conscience sur lui. Une poussée d’adrénaline lui permit de se dégager du poids mort et il se remit debout en chancelant, essuyant le sang visqueux sur sa figure.

Une silhouette courtaude et trapue lui tournait le dos, brandissant une hache à double tranchant.

Des cris de guerre gutturaux résonnaient autour de lui, et Feers vit toute une armée de formes râblées s’avancer d’un pas lourd, hache à la main. Le milicien poussa un grognement d’épuisement en s’appuyant contre un arbre. Il regarda les nains fondre sur les gobelins, mus par une haine inouïe. Leurs haches taillèrent un chemin sanglant au milieu des peaux-vertes, et les derniers chevaucheurs de loup s’enfuirent bientôt dans l’obscurité, leurs hurlements s’éloignant peu à peu.

Feers reprenait son souffle pendant que Thorrik saluait ses congénères d’un air renfrogné dans leur gutturale langue natale. Von Herr Feers regarda autour de lui et aperçut Karl qui proférait force jurons en nettoyant son armure de la boue qui la recouvrait. Celui-ci marcha dans sa direction, quand il l’aperçu.

ImageKarl Heiden:Malédiction ! La situation doit être terrible si des gobelins rôdent jusqu‘à l‘entrée du col. On a eu trop de morts ce soir… Six chevaliers et quatre chevaux. Et un autre animal devra être abattu.
Au moment même où il prononçait ces paroles, les hennissements de douleur du cheval s’interrompirent net.
ImageKarl Heiden:Vous allez bien ? Des blessures ?

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Herr Feers

Re: [Herr Feers] Une pinte ayant un arrière goût d’aventure

Message par Herr Feers »

J'en ai mare. La vie est dure. Casse-pied. Énervant en plus d'être fatiguant. Mais quelle joie de vivre quand même. Je me contredis ? Oui. En fait je veux dire que la vie à ses bas et ses hauts. Il y aura toujours des moments difficiles comme des moments agréables. Bien sûr je parle pour le genre humain dans ce cas. Étant humain et fidèle de Sigmar je me permets de prendre la parole pour le genre humain vivant au sein même de l'empire. Je ne puis parler au nom de la Bretonnie où des autres pays éloignés et encore moins de la Sylvanie. Cette fameuse terre impériale qui a été perdue à cause de la lâcheté et la faiblesse de l'administration impériale qui, sans aucun doute, se détourne de plus en plus de l'enseignement et du droit chemin de notre guide et seigneur à tous Sigmar. Je ne parle pas de la fidélité aveugle que beaucoup de faux dieux ou créatures demandent. Sigmar père de notre nation, celui qui unit les humains de ces terres. Ici tout était que division et guerre sans avenir, sans but. Mais Sigmar arriva et avec sa volonté et ses compagnons, ils réussirent à unifier tous les hommes de cette terre. Notre empire créait par Sigmar pour le bien de tout le genre humain. L'empire veut offrir la paix, la sécurité, la justice équitable. Tout cela l'humain veut l'offrir et il en a les capacités mais certain élément au sein de l'empire faire régner le désordre, le chaos. Une puissante propagande anti-impériale se répand dans notre nation. De fausses idées, de fausses accusations sont dites et quelques-uns y croient. La puissance de notre ennemi est celui du mensonge et de la ruse. Ce sont eux les plus dangereux. Les orques, trolls, gobelins et autre créature de cette espèce ne connaissent que la force brute. Cette menace peut être sous contrôle avec une force de frappe équivaux à la leur. Nos puissants alliés les nains ont montré qu'ils avaient les moyens et la force de leur faire face.

Bref je ne vais pas aller plus loin dans ma réflexion sur l'état de l'empire. Je rajouterais seulement une chose. L'empire est dur certes et stricte. La corruption a rendu notre nation perfide et inefficace. Notre nation ? L'administration qui aurait besoin d'être changé. Il est devenu bien trop bureaucrate. Enfin je ne suis qu'un garde avec ses idées qu'il garde pour lui. Et oui. Bon revenons à nos moutons. J'ai toujours aussi mal, c'est fou. Enfoiré de loup. Enfin, il est mort maintenant et moi je ne vais pas tarder. Aïe ! Je me suis battu contre ceux qui nous faisaient honte. Et là contre des ennemis de la nation. Bon, logiquement je vais m'en sortir. Il n'y a pas de raison que je meurs aujourd'hui. Mon état physique ? Bien, un peu mal. Mes côtes... Je ne sais pas. Je les sens un peu trop. J'espère qu'elles ne sont pas cassées ou fissurées. Sinon je vais vous dire que je vais souffrir pour un certain temps. Bon logiquement non car, sinon je n'arriverai pas à mer tenir debout. J'ai même préféré de m'asseoir au sol. En réalité je ne ferais pas de commentaire supplémentaire sur ma condition physique qui est désastreuse. Mais que ne ferions nous pas pour la mère patrie ? Après tout nous sommes là pour ça. En tout cas je me suis posé la question, qui est le plus chanceux ici ? Moi qui souffre le martyr, mais qui est encore vivant ou celui qui est mort et qu'il n'a plus d'inquiétude et qui de plus est mort en héros ? Je ne dis pas que mourir c'est mieux que de vivre, mais ça à ses avantages. Puisse Sigmar veiller sur les âmes.

Bonne nouvelle Karl était intact. Je hais l'odeur du sang sur mon visage. En tout cas il vaut mieux que sa soit le sang du loup que le mien. Nous avons subi pas mal de perte. Chevaliers et chevaux. Cette embuscade nous a coûté cher. Cela nous a donné une idée sur la situation du col. Pour répondre à Karl je levais juste mon pouce droit vers le ciel pour dire « c'est Ok pour moi ». Mais ma position assise montrait quand même que mon état n'était pas des plus glorieux. Je regardais autour de moi pour me faire une idée. Mon idée ? Magnifique. Ceux qui sont morts, ils ont de la chance. Bonne nouvelle dans ce désastre. Il y avait les nains ! Hourra, nous avons été sauvés ou plutôt aider par eux. Notre victoire temporaire nous a été donnée. Sigmar ou pas ? Le hasard ou autre chose ? Allez le savoir. Moi ? Je ne cherche pas la réponse, en tout cas pas pour le moment. Mes pensées étaient tournées sur ce qui se passait autour de moi et sur ma personne. Ce n'est pas de l'égoïsme je vous rassure c'est juste une petite pensée sur ma santé. Je laissais échapper un petit sourire en voyant le camarade nain retrouver ses compagnons. Ça doit être agréable de savoir que quelqu'un dans ce monde pense à vous et attend votre retour. Un plaisir qui doit donner un courage et une force à continuer son chemin avec la promesse de revenir.

Je n'ai pas cette force. Je n'ai pas ce plaisir hélas. Ma force et ma détermination viennent de ma foi pour Sigmar. Se dire qu'il pense à nous apporte un certain réconfort même si c'est peut-être qu'une illusion. Qu'importe. Ma route continue. Je restais là, assit par terre. J'avais besoin un peu de repos. Je regardais Karl avant de poser mon regard dans le sien et je lui posais cette question :

-Que faisons-nous maintenant ?


Continuons-nous notre chemin ? Faisons-nous demi-tour ? Levons-nous un camp ? Allons-nous envoyer quelqu'un cherchait des renforts supplémentaires ? Oui car, vue cette petite bataille et comment on a réagi, je ne préfère pas imaginer ce qui se passera dans le col même. Karl était à mes yeux le responsable de cette opération. Je portais une certaine assurance en lui. Son apparence était confiante et forte. J'attendis sa réponse en respirant lentement et longuement. J'essayais de me dégager le visage de ce sang.
Modifié en dernier par [MJ] Wargut le 01 juil. 2011, 11:14, modifié 1 fois.
Raison : 4 xp / Total d'xp: 53 (LES FAUTES FEERS !!)

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[MJ] Wargut
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Re: [Herr Feers] Une pinte ayant un arrière goût d’aventure

Message par [MJ] Wargut »

Utilise ce correcteur orthographique pour tes fautes :wink:
ImageKarl Heiden:Je suis ravi qu‘ils soient arrivés, murmura Karl en désignant les nains du menton.
Leur chef s’entretenait avec Thorrik tandis que les autres avaient entrepris d’entasser les gobelins et les loups. Il semblait y avoir plus de deux douzaines de leurs hideux cadavres en tout.

Les nains n’étaient pas couverts d’armures aussi robustes que celle de Thorrik, remarqua Feers. Chacun portait une lourde cotte de maille et une épaisse cape fourrée, ainsi que des haches et de robustes arbalètes. Ils travaillaient avec diligence et en quelques minutes, ils avaient allumé un vaste brasier et l’air s’emplissait de la puanteur de la chair brulée.

Le Pistolier et le maitre instructeur s’approchèrent de Thorrik et le nain auquel il parlait tourna vers eux son regard de marbre. Il semblait plus vieux que Thorrik, bien qu’il fût difficile de juger exactement de son âge. Sa barbe striée de gris aurait touché terre si elle n’avait été attachée et repliée sur elle-même en une série de nattes complexes. Il avait une pipe à la bouche et de la fumée bleue lui sortait des narines.

ImageKarl Heiden:Je vous remercie sire nain, vous êtes arrivés à point nommé. Je suis Karl Heiden, maître instructeur de Myrmidia, et voici Herr Feers, un soldat de l‘Empire. Si vous n‘étiez pas intervenu, je crains que mes pertes n‘aient été bien plus graves.
Le nain répondit par un grommellement et dit quelques mots dans sa langue natale, entouré de volutes de fumée.
ImageThorrik :Il semble que vous n‘ayez pas tort. Les peaux-vertes abhorrées se regroupent en tribus plus nombreuses qu‘on n‘en a jamais vues depuis le Roi Kurgan en personne. Ils s‘abattent sur les murs de Kolaz Umgol et la gare de Tristebarbe comme une marée vivante, et l‘on dit que même Karaz-a-Karak est menacé. Sombre jour que celui-ci, en vérité.

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Herr Feers

Re: [Herr Feers] Une pinte ayant un arrière goût d’aventure

Message par Herr Feers »

Bon sang, enfin tout cela était terminé. Pour le moment. Ce qui s'était passé aujourd'hui n'était loin d'être une victoire, au contraire. Cette bataille nous ouvrit les yeux sur la situation du col. L'ennemi avait déjà surement pris sous son contrôle si nous avions rencontré des gobelins ici. Était-ce un groupe d'éclaireur ? Une avant-garde ? En tout cas une chose était sûre, nous avions subi des pertes avant d'avoir atteint l'objectif. Nous étions en position de faiblesse. J'étais là. A méditer sur tout ça. Plus j'y pensais, plus je me disais qu'y aller là-bas était trop risqué. Combien de perte allons-nous perdre en route ? A mes yeux il nous fallait soit avancer prudemment avec l'aide des nains où lever le camp et aller chercher du renfort à la capitale. Des troupes supplémentaires ne pouvaient qu'être bonnes pour nous. Bon après ce n'était pas de prendre ce genre de décision. Bon les autres havis plus d'expérience en moi, donc faisons confiance a leur jugement sur la situation et a leur choix.

Je me relevais et je rangeais mon arme soupirant. J'aurai besoin d'un peu de repos et de soin à première vue. Mais je voulais être rassuré avant tout de ce qu'on va faire. Qu'allons-nous faire ? Je tournais mon regard inquiet et interrogatif vers Karl Heiden. Nous étions conscients de notre situation, même les nains. Il nous fallait agir et vite. Plus le temps passait, plus l'ennemi pouvait agir. Les gobelins qui ont fui sont surement allé prévenir les autres. Il y avait deux possibilités. Soit les peaux vertes renforceront leur position, ou bien une attaque préventive pour nous affaiblir un peu plus sinon une contre attaque violente.

Je me pris une grande respiration avant de poser ma question à Karl après avoir salué les nains et les remercier :

-Le col est surement déjà pris. Avancer comme cela et nous serons victime de nouvelle embuscade, surtout que les survivants gobelins sont surement allé prévenir les leurs. En voyons des éclaireurs. Qu'ils vérifient que la route soit bien dégagée et envoyons un messager pour demander des renforts à la capitale. Il nous faut agir sagement, l'empressement nous mènera à notre perte.


Nous avions eu une première victoire, mais j'avais d'énorme doute sur les choses à venir. Et une victoire peut être un moyen de nous amener à une grande défaite. Karl et les nais devaient prendre un choix. Le moral des troupes étaient gonflées par cette victoire, mais les pertes amenaient aussi une certaine démoralisation. Mon regard était strict, montrant que j'étais sérieux dans ce que je disais.
Modifié en dernier par [MJ] Wargut le 11 juil. 2011, 10:45, modifié 1 fois.
Raison : 3 xp / Pour un total de 56

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[MJ] Wargut
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Re: [Herr Feers] Une pinte ayant un arrière goût d’aventure

Message par [MJ] Wargut »

  • ImageThorrik : Ces grobi puants, dit-il en retirant sa pipe pour cracher à terre à l‘évocation des peaux-vertes, ne sont pas les seuls de leur race à être sortis cette nuit. Je sens leur odeur méphitique dans l‘air.
    Von Herr Feers sentait monter sa colère en pensant que ces peaux-vertes étaient en train de s’en prendre aux siens.
    ImageKarl Heiden: Le temple qui se trouve plus loin ne doit pas être profané par ce genre d’ignobles créatures. Les Chevaliers du Soleil chevaucheront dans cette direction. J’espère que vous chevaucherez avec nous, mon cher Feers !
    ImageThorrik : Chose-homme, dit-il à Feers, je ne peux pas t‘accompagner cette fois. Je suis lié par mon serment. C‘est ici que nos chemins se séparent.
    Tous deux se saisirent par la bras, la main serrée sur l’avant-bras de l’autre, comme font les nains. Alors, avec un simple hochement de tête d’adieu, le nain fit demi-tour et s’en fut vers l’est avec les siens.
    ImageKarl Heiden: Venez, on va vous soigner, et je vais vous trouver une nouvelle monture.
    Au loin, les loups poussèrent un hurlement…

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Herr Feers

Re: [Herr Feers] Une pinte ayant un arrière goût d’aventure

Message par Herr Feers »

Bon il faut croire que notre aventure aller continuer sur cette route pleine de surprise. Je perds un compagnon de route qui était plutôt sympa malgré sa nature qui vient des nains. Bref, on m'aida à me déplacer avant de me poser et commencer à m'enlever mes différentes couches qui composaient mon haut afin de me donner les premiers soins. J'avoue que là, je ne faisais pas mon difficile ni le rebelle, je n'étais plus vraiment en état d'utiliser mon mauvais caractère. En tout cas je ne ressentais pas de soulagement, les soins qu'on me donnait me faisait grincer des dents. J'espère que c'est par la suite que je ressentirais la différence. Bon sang, quel métier. Pas assez bien payé pour le risque qu'on prend. C'est ça qui me poussait à aller de l'avant et essayer de monter les échelons de l'armée. Plus je serais haut placé plus je serais utilisé comme tacticien et bureaucrate qu' homme de main.

Pour la suite de mon aventure je n'étais pas seul évidemment, le chevalier Karl allait m'accompagner ou moi plutôt je l'accompagnais. On allait surement vivre de drôle d'aventure qu'il allait nous rapprocher. Face a la mort on peut être soi solidaire soit : « chacun pour soi ». Les circonstances nous poussent à être soit l'un ou l'autre. Mais le dicton qui dit : « l'union fait la force » et « divise pour mieux régner » restera dans notre esprit.

Je crois que ceux qui m'ont donné les soins étaient soit bouché ou forgeron. Je dis ça car, pour le moment je me sentais plus mal qu'avant. Étrange non ? Alors que par un miracle je me levais avec des bandages recouvrant complètement mon tronc avec quelque tâche de sang par-ci par là, je me retournais vers Karl et je lui dis en boitant légèrement :

-J'espère que la route ne sera pas aussi longue que le précédent voyage jusqu'à ici. Sinon je pense que nous devrions rassembler les corps et les brulé, cela évitera qu'une épidémie s'annonce avec la décomposition des corps.

Je ne sais pas pourquoi je lui dis ça, je devrais plutôt penser un peu à moi-même vu mon état, il me faudra plusieurs nuits pour me remettre parfaitement sur pied, mais une chose est sûre, j'aurais de quoi raconte lorsque je boirais dans les auberges. En tout cas je suis convaincu que si je survis assez longtemps, je monterais en grade et qu'on racontera mes aventures auprès de Karl. Je vis un brave soldat qui tenait en mains un cheval et se rapprocha de moi avant de me donner la lanière du cheval, je le remerciais d'un geste de la main. J'avoue que pour monter sur le cheval allait devenir un véritable défie pour moi. Je soupirais longuement devant mon cheval. Il était plus fier et droit que moi actuellement. Comme dit, il faut que je trouve une solution. J'attirais le cheval vers le flanc de la montagne, prêt d'un rocher. Avec de l'endurance, courage et quelque injure à cause de mes diverses douleurs corporelles, je montais sur le rocher tranquillement avant de monter sur la monture. Étrangement je fis avance lentement le cheval. S'il avançait trop vite je sentais mes cotes ... quelle horreur, ça me coupait limite mon souffle. Faible ? Je dirais plutôt que je ne suis pas habitué a cela et je ne pense pas que le corps humain a été étudié et crée pour subir tout cela.

En tout cas je me tournais une dernière fois vers mon compagnon nain et le saluais avec un petit sourire montrant que ce n'était qu'un en revoir et qu'on allait se revoir dans l'avenir. Me revoilà sur pied, la blague et c'est repartit pour l'aventure et les médailles !

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