[Grimbergald] Etienne et les Chevaliers Griffons

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Dès sa fondation par le dieu guerrier Sigmar, l'Empire a dû faire face aux invasions et aux guerres civiles. depuis plus de deux mille cinq cents ans, il survit néanmoins aux périodes de trouble et aux batailles grâce à la bravoure et à la discipline de ses armées

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[MJ] The Puppet Master
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Re: [Grimbergald] Etienne et les Chevaliers Griffons

Message par [MJ] The Puppet Master »

Bousculade sous FOR (9) + bonus « effet de surprise » (1) - malus « différence de poids et de taille » (2) : 8 >>> 4 (bonne réussite !)
Frappe sur adversaire au sol sous ATT (12) + « arme de prédilection » (1) + bonus marge de réussite test précédent (4) : 17 >>> 14 (réussite)
Dégâts : [FOR de l'attaquant x2] + [Points de dégâts de l'arme de l'attaquant (fixes+aléatoires)] + [« coups puissants » 1D3] - [END du défenseur] - [Points de protection de la zone touchée] = [9x2] + [24+5] + 2 - 9 - 0 = 34
L'initiative de Grimbergald fut couronnée de succès : l'orque s'effondra et la hache du nain le frappa à l'épaule en s'enfonçant profondément. Pour autant, la créature n'était pas encore hors de combat et il fallut que Julius vienne transpercer la nuque du peau-verte de son épée dans une gerbe de sang noir. Ensuite, répondant favorablement à son ami, il s'en fut vers la faille salvatrice :
Image- Ne tarde pas, ami ! Je t'attends de l'autre côté. Et n'hésite pas à rentrer le ventre si tu ne veux pas rester coincé !
Le sens de l'humour de l'homme en un moment pareil fit sourire le mercenaire qui n'était pas non plus avare de ce genre de paroles en toute situation ; décidément, ces deux-là s'était bien trouvés !

Néanmoins, il allait falloir encore se battre pour garder la vie sauve.
Malgré tout leur courage, les hommes reculaient sous la pression du nombre. Estève fut frappé au visage et bascula en arrière sur les pieds du nain qui manqua tomber à sa suite. Le visage du pauvre homme était en sang et une profonde entaille barrait sa figure de l'arcade au menton. Titubant, il se redressa et se serait relancé dans la mêlée si Grimbergald ne l'avait solidement empoigné et envoyé en direction de la faille. Le regard que le nain lui jeta suffit à Estève pour comprendre qu'il n'y avait pas à protester. D'un bref signe de tête, il acquiesça finalement et disparut à son tour dans l'étroit boyau.

Il ne restait plus que Jean, Etienne et Grimbergald pour faire barrage aux énormes orques dont les cris de plus en plus nombreux résonnaient dans la cavité de manière assourdissante.
Navarre, en bon chef, semblait décidé à s'assurer que tous ceux qui l'avaient accompagné se fussent échappés avant d'emprunter à son tour le passage dans la roche. Il exhorta en bretonnien son compagnon à fuir tant qu'il le pouvait et l'assura qu'il serait prompt à le suivre puis il fit de même avec le mercenaire :
Image- Maître Grimbergald ! Il vous faut y aller, on ne tiendra pas un assaut de plus ! Je serai sur vos talons !
Les Péjis sont là comme des marionnettes qui, dans l'atmosphère brûlante de leur Erpé,
oublient qu'elles n'ont que l'illusion de la liberté...

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