La Fine Fleur de la Bretonnie.

[MJ] Longrange · Message par **[MJ] Longrange** » 11 févr. 2010, 19:57

Deux chevaliers et 9 hommes s'élancèrent vers l'ennemi, vers la meute de bêtes , ayant pourtant un légère infériorité numérique.

Les deux cavaliers frappèrent les rangs ennemies en premier.
Sir Brennelle le premier une poignée d'ungor s'était regrouper pour lui opposer leurs lances dans l'espoir de le désarçonner en abattant sa monture.

Sir Brennelle loin d'appréhender la situation, fit accélérer Devoir au maximum, alors que les hommes bêtes , bien que musculeuses et coriaces , reculait d'un pas, voyant la confiance sans borne du chevalier.

Le choc fut terrible. Deux hommes bêtes ne purent que frapper le large écu du chevalier alors que le cheval les repoussa hors de son chemin. De sa large épée , il en faucha deux , à sa gauche et à sa droite. Laissant le champ libre de lanciers pour son écuyer monté.

La garde des hommes bêtes avait été mise à mal par son maitre , Faldar en profita pour frapper un premier , mais d'un geste trop court qui ne frappe que du vent , mais le deuxième subit sa colère lorsque l'acier toucha sa chair , dans une gerbe de sang ayant taché son avant bras et la croupe de Vaillant.

Alors qu'il arrivait sur le Soldat en proie à 3 adversaires , derrière on se battaient pour la domination du bourg.

Les hommes d'armes avaient un bon équipement fourni par le duché, et la troupe était constitué de soldats aguerris pour la plupart. De leur cotés les engeances du chaos possédaient de simples armes primitives mais une sauvagerie et une ténacité inhumaine pour faire couler le sang.
La bataille prit des allures macabres, lorsque les premiers combattants commencèrent à tomber. Il n'était pas rare de voir un homme bête venant de vaincre un humain qui usant de ses longues griffes commençait à l'étriper.

Devant , eux , Brennelle , se préparait à prendre de dos les ungors assaillant l'homme qui ne flanchant pas lançait autour de lui de large coups pour déchirer les poitrails nues de ceux assez téméraires pour s'avançait.
Faldar remarqua qu'il ne semblait connaitre ni la peur , ni la douleur , quand bien même il était évident qu'il était blessé. Cette vision , lui rappela ses moments d'enfance lorsque qu'il était dans un état similaire après le pillage du château de sa famille.

Le soldat , perfora le premier s'approchant , mais laissant sa garde ouverte , il fut perforé par la lance d'une de ses bêtes. Loin d'être mort , il dégaina un couteau avant de le planter dans l'œil d'une des bêtes. A ce moment les deux cavaliers arrivèrent à toute allure.

Il ne firent pas de quartier , Brennelles décapita le premier , alors que Faldar élimina le dernier encore debout, deja blessé par une dague. Son épée bâtard fut encore souillé , et sa tunique sera certainement très difficile à nettoyer mais l'engeance s'effondra sans même agoniser au sol. Une justice expéditive.

Où sont vos hommes soldats ? Nous devons les encercler !
Exigea hâtivement le chevalier.

Le soldat semblait ignorer la question , comme inconscient qu'on lui adressait la parole , le regard fixé vers la mêlée.
Il retira la lance , oubliant son hémorragie , il se releva , sans même retirer les tripes de ses armes , s'élança vers le combat.

"- A MORT ! TUEZ LES TOUS ! "

Fut son cri de guerre avant de courir à nouveau vers le massacre.

"- Faldar , ils sont de dos , encore une charge et ils seront en déroute , Reste avec moi ! "

Message par **Faldar Trek** » 12 févr. 2010, 14:00

Faldar senti la sueur gouter le long de son échine, ce mêlant au sang des hommes bêtes. Il flata l'encolure de Vaillant. Il sentit le soufle court du cheval qui montrait l'effort qu'il avait du fournir. Son esprit n'était tourné que sur la bataille en cours. Ils allaient gagner celle ci et montrer au hommês-bêtes ce qu'il en coutait d'attaquer un village de la puissante Bretonnie.

Faldar souris a son maitre

On va en faire de la viande a corbeau maitre, je trouve qu'on s'en tire pas trop mal.

Certes, vu notre infériorité numérique, cela aurais pu être bien pire.

Faldar rabaissa sa visiere et montra le soldat fou furieux de son épée.

Cet homme est un héros, j'espère qu'il s'en tirera, il le mérite. Si la dame le veut

Si la dame le veut.

Faldar talona son cheval pour lancer l'élan. Suivit de près par sir Brenelle

Aujourd'hui maitre cela ne fait aucun doute...

Quoi donc mon jeune écuyer?

Faldar ce lanca au grand galop en armant le coup de sa lourde épée. Et il cria ce que les croisé avais crier durant les grandes croisades au fil des âges, ce ruant a corps perdu dans la melée.

LA DAME LE VEUX !!

[MJ] Longrange · Message par **[MJ] Longrange** » 14 févr. 2010, 01:19

Les deux cavaliers talonnèrent leur montures mais ils parvinrent pas à dépasser le soldat qui se ruait dans la mêlée.
Ainsi il devrait arriver dans la mêlée en même temps que sa charge.

Les cavaliers frappèrent les hommes bêtes qui tenaient pieds à pieds aux hommes d'armes.

Les deux chevaliers frappèrent de dos les betes qui ne méritaient de toute façon aucun honneur. Du travail de boucher. Faldar enfonça sa lame profondément , après avoir raté la première attaque à cause de l'agitation de sa monture.
Sir Brennelle , sans surprise en avait tuer deux. Et se passait la main sur son casque. Le sang l'avait aveugler un instant. Fort heureusement aucun hommes bêtes n'étaient prés à l'attaquer durant ce moment de faiblesse.

Les derniers Ungor avaient emmener dans la tombe deux autres soldats par des attaques presque suicidaire en se jetant sur les Hallebardes des hommes pour leur arracher de larges morceaux de chair. Du fanatisme , ou plutôt de la sauvagerie à l'état brute.
En réponse , les hommes survivants frappèrent à plusieurs reprises les cadavres , ou les bêtes agonisante, pour s'assurer qu'aucune n'en réchappent , qu'aucune ne survivent pour tuer d'autres camarades.

De longues minutes durant , alors que les hommes tachaient de voir les blessés pouvant encore être sauver , le soldat le regard livide , frappait et frappait encore les cadavres des bêtes , jusqu'à en faire des morceaux de viandes mal découpé. De sa hache et de son épée ,il ne semblait pas capable de s'arrêter.

Puis observant que l'ennemi était vaincu. Il prit une profonde inspiration , vit ses blessures. Et s'effondra sur le ventre. Un sentiment de devoir accomplit.

"- Vite Faldar ,allez le soigner avant qu'il ne se vide de son sang. Soldat , Bronson , allez voir dans la mairie et l'église si il y'a des gens survivants. Sergent Rochiard , rassemblez et occuper vous des blessés avant qu'il ne soit trop tard. Et que quelques un aille chercher le traineau de l'archer que nous avons laissez plus haut. "

En s'approchant , Faldar vit que le soldat souffrait de nombreuses coupures et d'ecchymoses dues aux chocs des combats, mais le plus grave restait sa plaie béante au torse due à la lance qu'il l'avait perforer de part en part. Un large flot de sang s'écoulait , et la flaque autour de l'homme ne faisait que grandir plus.

Message par **Faldar Trek** » 16 févr. 2010, 14:31

Faldar réagit a la vitesse de l'éclair au commandement de son maitre et ce tourna vers les hommes encore debout qui ne s'occupait pas de blessé.

Faite vite, trouvez moi l'auberge de ce village et rapporter moi sa plus pure eau de vie ou n'importe quel alcool TRES fort.

Les hommes acquiescèrent et partir vers l'auberge toute proche.

Faldar coupa une touffe de crin de son cheval et pris son épée et la plongea dans les flammes d'un brasier tout proche, il abattit son couteau sur le bras d'un mort et en mis l'os à nu, il en tira long comme une phalange et fine comme une épingle.

*J'espère que je vais me rappeler de ce que j'ai vus la dernière fois* Pensa Faldar alors qu'il planifiait ses actions.

Pendant ce temps, à l'auberge.

Les deux soldats ne tardèrent pas à trouver une auberge, étant sur la place principale du village. Ils fouillèrent à l'intérieur.

Dit l'jaque, tu crois qu'le pti chef y veut combien comme alcool?

Keske j'en sais moi hein ? Prend le tonneau là, aide moi!

Ils entendirent très clairement: ALORS CA VIEN ???

On arrive m'sire, on arrive!!

Retournons auprès du blessé

Faldar découpa un large bord de la tunique du blessé pour constaté la blessure et fit pression dessus. Pour en ralentir le flux. Il attrapa un bout de bois et le fourra dans la bouche du blessé

Ecoute moi vaillant soldat, ton calvaire n'est pas fini, je vais te faire très très mal, Mort ceci, cela t’aidera

Faldar fut courroucé par la lenteur des soldats parti chercher l'alcool.

ALORS CA VIEN ??

On arrive m'sire, on arrive!!

Pas trop tôt! bon mettez ca ici.

Faldar perças le petit tonnelet de tord-boyaux.

Toi...Jaques, verse sur la plaie, fait vit, j'en écarte les lèvres

Faldar écarta la plaie et le soldat versa abondamment le flux alcoolisé, le blessé poussa des gémissement de douleur

Cela suffira merci, maintenant Tien lui les jambes et les bras fermement.

Faldar plongeât l'aiguille d'os dans l'eau de vie de même que les crins de cheval.
D'un bon Faldar alla chercher son épée chauffée au rouge par les flammes et revint près du blessé.

Jaques, inutile de te dire que si il ce débat de trop, il s'embroche sur mon épée. A mon signal, retourne le vite.

Faldar hésita quelque seconde puis plaça la pointe incandescente dans le pourtour de la plaie, cautérisant le flux sanguin autant que possible. Au signal, le soldat retourna le brave blessé et Faldar reproduit son geste dans le dos du mourant.

Maintient le bien, maintenant c'est la que ce joue sa vie ou sa mort.

Faldar commença par attacher solidement l'extrémité de l'aiguille au crin de cheval.
D'un geste tremblant, il ce mit a coudre les bords de la plaie.
Sire Brenelle surgit dans son dos, surpris par ce que son écuyer faisait.

Faldar, je me demande toujours où tu as bien put apprendre tout cela.

Mon père maitre, m'a fait découvrir bien des choses. Il n'était pas un bon gérant de sa terre, ni même très croyant. Mais il a toujours vécus sur les champs de bataille, ce battant sans répits pour le Roy et la dame. Ce qu'il y a appris, c'est qu'un homme ne peut survivre sans faire l'expérience de ce à quoi il sera confronté.

Faldar ce concentrait sur la couture de la plaie et penser à autre chose lui évitait de penser au conséquence d'une erreur et tempérait son stress.

Tu veux dire qu'il t'a apprit ce que tu fait maintenant ?

Non, mais mon premier combat était contre une troupe d'orcs qui avait eut la mauvaise idée de s'installer sur nos terre... j'avais 11 ans. Mon père refusait qu'on me materne, ou qu'on m'empêche d'assister au spectacle. J'y ai tué des gobelins et j'ai vu la mort des hommes de mon père. Et j'ai vu un médecin opéré les blessé. Mon père m'a obligé à tout regarder en me disant que je devait voir le prix d'une bataille, que les morts sont les compagnons des combats. Qu'a la guerre les gens mourrait, mais que peut être un jour ce que je verrais m'aiderais à me sauver moi ou les autres. Depuis j'ai participer a 5 combats et j'y ai vu les premiers soins administré devant moi. Jamais avant ce matin je n'avait eut l'occasion de tester mes connaissance théorique.

Faldar termina sur ses mots de coudre le blessé. En poussant un soupir. L'état général était loin d'être esthétique et la cicatrice serait laide et douloureuse, mais au moins il avait une chance de survie.

Il va s'en tirer ?

Dur a dire maitre, je ne sais pas si j'ai fait tout ce qu'il fallait, il est entre les mains de la Dame. Je vais lui demander son aide, que ceux qui veulent ce joindre a moi le fasse maintenant.

Faldar planta son épée dans le sol et passa son collier de la dame du lac autour de sa poignée. Il ferma les yeux et implora la Dame:

*Puissante Dame du Lac, vous voyez devant vous un brave parmi les braves. Moi Faldar de Valnoir témoigne que sans peur il combattit un ennemi 15 fois supérieurs, qu'il en occis plusieurs pour votre plus grande gloire. Maintenant il gît ici, blessé et mourant. Je vous implore de vous pencher sur lui, de lui sauver la vie et de lui permettre de sa battre a nouveau. Je vous en prie Dame de bonté, venez a son aide.

[MJ] Longrange · Message par **[MJ] Longrange** » 22 févr. 2010, 00:37

L'opération sembla difficile , et la compresse que Faldar plaça sur l'homme ne put que ralentir le flot de sang. Quand au bout de bois sensé être tenu par les dents de l'homme , il glissa dans un filet de bave , il était tombé dans les affres de l'inconscience bien avant que Faldar ne se charge de lui.

Les hommes d'armes ramenèrent le tonneau d'eau de vie local. A grands cris , bien que le comique ne se prêta pas du tout à la situation.

L'opération s'apparentait à de la grillade , car l'écuyer semblait avoir appuyer trop fort sur la plaie. Qui bien que refermer , laissait apparaitre un longue trainée de fumée de viande,le lui rappelant que trop bien la désolation lors de l'arrivée dans le bourg.

La blessure bien que fermé par la chair brulé menaçait de se réouvrir à chaque instant. Faldar n'avait que trop vue par le passé , des chirurgiens devant refermer la plaie deux à trois fois avant de pouvoir la coudre proprement. Helas la plupart du temps. Ces brulures à répétition réduisait les chances du survie du blessé.

La encore , l'amas de chair menacait de ceder , et Faldar dut faire appel à toute sa concentration pour ne pas trembler.

Enfin lorsque ses doigts taché de sang avaient fini leurs labeurs. Il se rendit compte qu'a défaut d'être beaux , les points de suture tenaient bon , généreusement aspergé d'alcool par les deux soldats au bidon.

Sir Brennelle observait avec respect que ce qu'avait raconter son ecuyer était de son vécu.
Et alors que Faldar fit sa prière , il s'approchait , la respiration de l'homme n'était qu'un linceul qui aurait trés bien put se confondre avec la brise légère qui emportait les cendres du village à la foret environnante.

"- Aller brulez les corps, qu'il ne reste plus rien de cette engeance de démons . Que nos camarades tombés ne nous apportent pas la peste. "
Puis en se retournant. placant la main sur l'épaule de celui qui veilla sur le soldat.
"- Tu a bien agit. A présent, laissons sa vie en d'autres mains et sauvons ce qui peut encore l'être. "

Par cette incitation ,le chevalier faisait référence , à la mairie. Dont les barricades étaient à présent fait de corps des miliciens plutôt que de caisses et matériaux improvisé.

Alors que Brennelle , rengaina enfin sa lame et retirait sa visière rougeâtre , il approchait de la porte.

"- Hola ! Mes amis , N'ayez crainte , les bêtes sont mortes à présent , et je souhaite voir les honnêtes gentes que nous protégeons. "

Aprés un long moment , alors que les hommes en était encore à empiler les cadavres. On ouvrit la porte de la marie.

Un homme d'un certain age , eut des yeux incrédule.
"- C'est à peine croyable. Vous les avez tous tuer ? "

"- Oui , c'est le cas. "
Répondit le chevalier.
"- Moi meme , Helmund Maire de la bourgade , et au nom de tout les habitants du village de Posener, je vous remercie de tout coeur. Chevalier "

"- Je me nomme , Sir Brennelle , et Servir est mon devoir , mais ce succès est aussi du fait des hommes d'armes et de mon écuyer Faldar "
Qu'il pointa d'un doigt alors que celui ci en était encore à regarder son œuvre, son patient.

Le soldat respirait à peine et son cœur battait avec irrégularité. Il était difficile de savoir si il était vivant ou pas.
"- La milice a fait son possible, contre des brigands , nous aurions résister , mais ces choses ne sont pas humaines ... Mais au moins les habitants ont ils défendu le village pied à pied, un désastre ... Y'a il des survivants ? "

En s'adressant aux hommes d'armes , le sergent Rochiard leur indiqua les couches improvisés à deux pas du brasier pour les cadavres. d'où l'on tentait de soigner deux hommes tomber durant l'affrontement.
Puis le sergent vit que Helmund parlait des miliciens. Il émit un non de la tête gèné car il ne put présenter au maire que les cadavres qu'on envoyait au brasier.

Faldar, il me semble. Que le soldat que tu a soigner est vivant ?

"- Sir Brennelle " osa le sergent "- Je doute qu'il y survive , même avec d'autres soins , la lance l'a perforer de part en part. C'est déjà un miracle qu'il soit encore de notre monde ... "

Un murmure , une jeune femme s'était hasarder hors de l'abri de la mairie , suivit par d'autres curieux , des femmes , des vieillards et des enfants.
"- On l'appelait le Soldat , il nous a rejoint il y'a quelques jours , il nous a dit que les bêtes viendraient... Que nous devions nous battre nous le savions bien sur. Mais il ne parla pas ni ne dormit pas jusqu'à l'attaque. Il refusait de parler de lui ou de son origine à qui que ce soit..."
Puis attendant un assentiment de la tete du reste des villageois , elle finit.
"- Nous avons une dette envers lui , et nous prirons pour qu'il vive. "

Message par **Faldar Trek** » 24 févr. 2010, 10:47

Faldar était épuisé. Ses muscles endolorits lui rappellait la dure journée écoulée: La marche, les combats, l'opération du soldat...
Il aurait bien voulut s'assoire quelque minute, rien que quelques minutes. Mais il ne le ce permis pas, il y avait encore tant à faire.
Il parla d'une voix lasse

Le sergent Rochiard dit vrais Messire, il y a peut de chance qu'il survive, la dame est son seul espoir. Il faudrait le metre dans un endroit confortable et à l'abri. S'adressant au peuple.Y a t'il un dispenssaire ici ou nous pourrions mettre nos blessés et les votres ?

Faldar aida ensuite à transporté les blessés dans l'endroit désigné par la populace du village.

Les demoiselles s'occupant des blessés, le reguardait de haut en bas et partaient en parlant bas d'un petit rire. Pour le plus grand embaras de Faldar qui sentait ses pommettes s'empourprer. Ce qui arracha à sire Brennelle un sourire.

Et bien Faldar, on plait au dame?

Hum, certe maitre, je n'ai pourtant pas grand chose pour plaire en ce moment. Ma tunique est sale et déchirée, et moi même je ne me sent pas des plus frais.

Mais nous avons sauvé ce village, ca fait que tu deviens tout à fait leur genre.

Ce n'est pas le moment maitre, je vais plutôt allé quérir de quoi nous restauré, à tout de suite maitre.

J'avoue que je ne serais pas contre un repas, merci Faldar, a tout de suite.

et Faldar s'en fut chercher à manger dans le village.

[MJ] Longrange · Message par **[MJ] Longrange** » 28 févr. 2010, 16:26

En demandant un dispensaire , on lui indiqua le chemin de l'église. Un des rares batiments encore en état. Et Faldar participa de bon cœur au transport dans le bâtiment de marbre. Ainsi plusieurs couchettes furent placé au centre des vitraux , en espérant qu'ils vivent. Faldar quitta le soldat et repartit dehors.

Ensuite , L'écuyer voyait que son état physique n'était pas des plus convenable. plus que les déchirures sur sa tunique ici et la, c'était surtout les larges traces de sang qui avaient éclaboussé ses jambières et ses bras. De plus il n'avait pas prévu de tenu de rechange ,et d'expérience , il savait que la moisissure de tel fluide vital pouvait s'avérer nauséabond dans le meilleur des cas.

Ainsi il demanda à une des femmes du village pour la nourriture en premier lieu.

"- Oui, nous mangerons d'ici peu. Le maire a fait ouvrir nos réserves pour vous. "
Puis un moment d'hésitation , car craignant de l'offenser.
"- Souhaitez vous que je nettoie votre tunique Sir Faldar ?"
Demanda elle

"- Faldar , Ce sang est trop épais pour partir aussi facilement , et demande en une autre. " expliqua Sir Brenelle.

En effet, le meilleure des nettoyages ne retirerait pas les immondice de sa tunique , que Sir brennelle lui avait sur son armure et son casque.

On leur proposa des tuniques propres. Certainement tiré de la garde robes de quelques villageois. Ainsi qu'un bain chaud le temps de faire cuir les quelques nourriture.

Contenu du manque d'habitations , la promiscuité était présente ,et seul 2 bains pouvaient être prit en même temps. Faldar et Brennelle en eurent l'honneur du premier.

Faldar avait quelques écorchures sur les bras , provenant du premier combat. Elles étaient cicatrisé mais loin d'être belle.

Brennelle lui envoya le savon.
"- Aller, Nettoie la crasse et l'immondice , qui sait quand nous en aurons de nouveau l'occasion.

Puis il se leva après quelques minutes de nettoyage rendant l'eau aussi sombre que de la beau. Plus d'une semaine de voyage ...
Il n'était pas homme à se prélasser inutilement ,et sortit du bain avant de commencer à se sécher nue prés du feu.

Faldar alors que son maitre se lavait put voir dans l'obscurité d'étranges sillons sur sa peau.
Des cicatrices n'étaient pas le mot. Des marques de guerre ne l'étaient pas non plus. Sa peau n'avait pas un endroit intact.
Faldar avait entendu dire que Sir Brennelle avait effectuer la quête de la dame , il y'a quelques années. En principe , la Quête se termine par l'élévation au rang de Chevalier du Graal , ou la mort ...

On frappa à la porte.

"- Messires , le souper est prêt. Il sera servit devant l'église. "
"- Trés bien , Dites leurs de commencer sans nous ... "

Message par **Faldar Trek** » 05 mars 2010, 11:45

Faldar s'étira avec un sourire de satisfaction évidant en contemplant le feu. Il sentait ses muscles se dégourdir un à un.
Il passa la tunique qu'on lui avait apporté et pensa mentalement qu'il lui faudrais des vetement neuf tres bientot.
Il pensa au combat qu'il avait vécus et au personne qui était morte devant lui. Il essaya d'avoir une petite pensé pour chacune d'elle.
Il s'approcha d'une cruche d'eau et s'en versa un gobelet qu'il but presque d'une traite.
L'eau était fraiche et lui redonnait quelque force. Il s'affala bien vite sur une chaise.
Il regarda encore à la dérobée le dos de son maitre, intrigué par tant de cicatrice.

Je me rend compte que je sais fort peut de chose sur vous maitre. Je sais que vous avez tenté la quete du Graal, mais pour une raison que j'ignore vous n'avez put la mener a son terme. Vous pourriez m'en apprendre plus ? Sans vouloir être indiscret biensur.

Faldar écouta la réponse de son maitre puis dit:

Et maintenant maitre ? Nous allons aider ce village a ce débarasser des hommes-bêtes ou bien une autre route nous attend ? J'aimerais personellement que plus aucune atrocié ne frole les marche de cette ville.

[MJ] Longrange · Message par **[MJ] Longrange** » 07 mars 2010, 20:59

Sir Brenelle, se leva en entendant la question. Et vint se rapprocher de son écuyer , pour le voir en face.

"- Indiscret , ... Non la recherche de la vérité fait partie des Devoirs.Et en honnête homme je n'ai rien à te cacher. "

Il prit une chaise , et entama.

"- Ma Quête commençait il y'a quelques années. Conformément à mes vœux j'ai abandonné ma lance et tout possessions à mon fief et suis partie en quête.
Comme dans les saintes écritures du serment , la lune ne me surprit pas deux fois , et aucun appel à l'aide ne fut sans réponse "

Sa voix resta calme bien qu'une certain regret se fut sentir.

"- J'ai traversé la Bretonnie dans ses endroits les plus reculer , les monts , les plaines , les forets. J'ai répondu à chaque appels à l'aide et j'ai toujours fait de mon mieux pour y répondre. "

"- On parlait d'un sanctuaire de la dame caché au cœur de la foret. J'y suis allé, seul comme toujours , en affrontant une part une , les créatures croisant mon chemin , sans jamais reculer. Après que je sortis victorieux d'un combat contre une harde nombreuse de dizaines de monstres , je m'agenouillai devant un lac , devant ce lieu saint et ... "

Un léger temps de pause.

"- Je n'ai pas été jugé assez pieux pour recevoir la grâce de la Dame. "

Puis lors de sa deuxième question.

"- Nous irons aider les villageois à préparer les défenses. Puis nous ferons évacuer le village après la prochaine attaque, il n'a que trop souffert. "

Sur ces mots il s'en fut.

Message par **Faldar Trek** » 18 mars 2010, 13:09

Faldar était sous le choc de la révélation de son maitre. Jamais il n'avait entendu qu'un chevalier ayant survécus au innomrable épreuve pour devenir chevalier du graal s'était vu refuser le droit de boire au calice a l'ultime moment de sa quete. Il faudrais qu'il se renseigne aupres d'un sage si d'autre préscédant existait.

Mais pour l'heure Faldar avait faim, très faim même. Aussi rangeat il ses questions dans un coin de sa tête et descandit il manger. Il trouva sans peine son maitre attablé devant une chope de biere à l'attendre.

Désolé pour le petit retard maitredit Faldar en s'attablant.

Une servante vint vite lui porter une chope de biere fraiche dont il appréciat l'arôme.

Cela fait plaisir de profiter des petits bien fait de la vie, comme boire un bon breuvage frais après tout ceci, n'est ce pas maitre?

Certe Falard, Certe. A la Santé des braves tombés!

Aux brave! Faldar but ensuite une gorgée de la biere, elle avait un gout amer et rafraichissant. Ce n'était pas une grande cuvé, mais pour l'heure elle serait bien suffisante pour étanché la soif des deux chevalier.

Peut après deux bol de ragout leurs fut servit, la saucé épaisse n'était pas très chargé en morceau de choix, mais c'était chaud et abondant.
Faldar entama une priere.

Ô puissante Dame du lac, benissez les pauvres paysants qui ce prive de leur chère pour que nous puissions manger et recouvrer des forces. Accorde leur protection au court des jours à venir. Benis soit ce repas... bon appétit maitre !

Bon appétit Faldar.

Faldar mangeat de très bon appétit, il savourait chaque cuillere et chaque morceau de pain.

Maitre je me demandais comment défendre le village. Pourrions nous avoir un plan du villag et une carte de la région ? Nous pourrions ainsi mieu nous préparer et planifier une retraite en toute sérénité.

Nous irons voir une fois le repas terminé.

Les deux chevaliers continuerent leur repas...

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