Une sortie facile, une entrée difficile

[Astriel]

Ayant gagner de l'xp avec Longrange et prit deux nouvelles compétences, je me suis retrouvé à trois xp, en rajoutant l'xp gagné par la Liche, Total, 40+3(le poste d'avant) xp, j'ai mis à jour la signature pour les deux objets spéciaux que j'ai eu, et vu les circonstances, je crois que ma bague d'utilité va m'être utile.... (Vu que Nowel est compris avant cet évènement, je pense qu'on peut la compter comme si je l'avais déjà pour la suite (même si on ne la prend pas en compté pour avant), non ?

Je croyais t'avoir envoyé un mail récapitulatif, j'ai oublié ? .
En tout cas, tout est dans ma signature (compétences nouvellement acquises, xp total....) Eh oui, je commence à en avoir beaucoup et je crois que j'ai bien fait de prendre intimidation vu les circonstances.

Astriel était très confus, Il avait reconnue la voix de son mentor, mais c'était impossible qu'il soit ici à frapper cette femme.
Il devait en avoir le cœur net, il se précipita donc dans la cuisine, y croyant sans y croire, s'attendant à une déception, son maître ne pouvait être ici, c'était contre toute logique. Le monde sembla soudain ralentir, chaque fraction de seconde devenant une heure, alors qu'une seconde mettait des mois, voir des années à s'écouler, il devait vraiment être secoué pour être dans cet état, il en avait même oublié la joie d'avoir retrouvé sa rapière, mais que lui arrivait-il ? Jamais entendre la voix de son maître n'aura du avoir autant d'effet sur lui, il se sentait comme dans un rêve, s'attendant à chaque instant à se réveiller, mais ce ne fut pas le cas.
Après ce qui lui sembla une éternité, il atteignit enfin la cuisine, y pénétrant comme une furie, et il y trouva.......

[[MJ] Apocalypsus]

1 XP pour un total de ??
Omg il faut que je m'occupe de comprendre ta situation avant le groupage de RP en XP et competences

Après ce qui lui sembla une éternité, Astriel atteignit enfin la cuisine, y pénétrant comme une furie, et il y trouva...

Jet caché X2

De dos, il pouvait bien s'agir de son fameux mentor. Il tenait apparemment Léonore, la servante, en respect avec un martinet. Vu la zébrure qui saignait en dessous de l'oeil gauche de celle-ci, c'était elle qui avait pris le coup qu'il avait entendu. Léonore portait un couteau de cuisine et bien que de dos, on voyait que celui qui était ou qui ressemblait à son mentor était beaucoup moins assuré. La tension était forte, très forte... Qu'allait faire Astriel ?

[Astriel]

Total:44 xp.
Sinon, j'ai gagné un total de 344xp et j'en ai dépensé 300, montant d'un rang et m'achetant 3 compétences.

Il ne comprenant pas ce qu'il se passait, maintenant qu'il y réfléchissait, pourquoi son mentor frapperait cette femme, lui disant que c'était une bonne à rien, était-ce une fidèle de Tzeentch ?
Mais même ainsi, cela ne collait pas, Meilor n'était jamais violent, ce n'était en rien une brute, ce n'était pas sa façon de punir.
Pourtant, il semblait qu'il était là, il ne savait trop s'il devait se réjouir ou être en colère, cette violence gratuite ne lui plaisait pas, on ne torturait que pour avoir des informations, c'était uniquement dans ces cas-là que l'on pouvait y prendre du plaisir.

Il se devait d'en avoir le cœur net, si c'était son maître, il avait le droit d'avoir des explications. Meilor lui avait toujours appris à s'affirmer, même devant lui, lui disant qu'un jour se ne serait plus lui qui donnerait des ordres et qu'il serait là que à titre de conseiller, montant avec lui vers la gloire.
De sa voix la plus autoritaire, faisant ressortir tout ses aspects montrant qu'il était un noble (Intimidation), il parla.

Quelqu'un pourrait-il m'expliquer ce qu'il se passe exactement ici ?

[[MJ] Apocalypsus]

2XP pour 46

Jet d'intimidation : 18 pour 10+1
Echec

- Quelqu'un pourrait-il m'expliquer ce qu'il se passe exactement ici ? Dit Astriel d'une voix fortement autoritaire...

- Va t'en laquais ! Dit l'homme qui devait être Maître Leiron sans se retourner. Tu ne vois pas que nous sommes occupés à faire l'autorité, ici ? Il va falloir régler ca de suite, espèce de bonne à rien de servante ! Dis moi ce qu'il t'a dit et on oublie ca !

Jet d'intelligence 18 pour 10
Echec

Bien qu'il l'ai appelé "Laquais", rien ne laissait supposer qu'il ne s'agisse pas de Maître Leiron. Sur la joue de la servante, des larmes perlaient, se mêlant au peu de sang qu'avait fait jaillir le violent coup de martinet qui avait claqué quelques moments plus tôt.

- Maître Al'Vannerg, il veut connaître le contenu d'un message top-secret qui vient d'arriver. Il est pour vous ! Défendez-moi, je suis incapable de tuer ! Je vous en supplie.

Jet caché

Une chose était sûre pour le jeune noble : soit elle disait vrai, soit elle y croyait dur comme fer. Dans l'un comme dans l'autre, il fallait faire quelque chose...

[Astriel]

Astriel y comprenait de moins en moins. Il restait immobile, accusant le choc, maître Leiron venait de l'appeler Laquais, lui ?
Même quand il entendit son nom, son maître ne réagit pas, peut être à cause de l'erreur qu'il venait de faire, de tout temps, en tout lieu, jamais il ne s'était comporté agressivement envers lui, il avait toujours été la figure du père bienveillant qu'il n'avait jamais eu, et maintenant, il l'appelait Laquais ?
Le jeune noble sentit l'indignation monter en lui jusqu'à l'étouffement, comment osait-il ? C'était lui qui était promis à un grand avenir, lui que son maître avait toujours préparé à atteindre les sommets de la grandeur, et il n'était plus qu'un laquais ?

Il voulut donner une chance à son maître de s'expliquer, il n'avait pas du le reconnaître, ne s'apercevant que trop tard de son erreur. En plus, il semblait qu'il essayait de récupérer son courrier personnel, en temps normal, il le lui aurait tout simplement demandé, il n'aurait pas tenté de le récupérer ainsi. Cela ne pouvait signifier qu'une chose, il essayait de lui cacher quelque chose.
Ça, plus l'inquiétude qu'il éprouvait pour son petit frère et ce qui était arrivé dans son duché suffit à le rendre furieux comme jamais il ne l'avait pas été, mais qu'arrivait-il à son maître ?
Il parla lentement, chaque mot se détachant distinctement.

Alors comme cela, on ne reconnait plus son disciple, on tenter de lire son courrier personnel, on veut lui cacher des choses ? Maintenant que vous êtes là, vous pourrez peut être me dire où est mon frère ?
Je vous respecte plus que quiconque au monde, aussi je vous laisse l'occasion de vous expliquez.
Cela fait bientôt un an que nous ne sommes plus vu, j'ai vécu beaucoup de choses et appris encore plus, je ne suis plus le jeune blanc-bec qui est parti de notre Baronnie, je pense être assez grand pour connaître toute la vérité.

[[MJ] Apocalypsus]

3XP directs pour un total de 49XP

Astriel parla lentement, distinctement :

- Alors comme cela, on ne reconnait plus son disciple, on tenter de lire son courrier personnel, on veut lui cacher des choses ? Maintenant que vous êtes là, vous pourrez peut être me dire où est mon frère ? Je vous respecte plus que quiconque au monde, aussi je vous laisse l'occasion de vous expliquez. Cela fait bientôt un an que nous ne sommes plus vu, j'ai vécu beaucoup de choses et appris encore plus, je ne suis plus le jeune blanc-bec qui est parti de notre Baronnie, je pense être assez grand pour connaître toute la vérité.

Jet caché

Au fur et à mesure que les questions venaient, la tête se tournait doucement, très doucement vers le jeune baron... Révélant la figure rebondie de l'aubergiste. Il ne répondit pas.

Jet de perception : 1
Réussite critique

Le sang ne fit qu'un tour dans les veines du noble : quelque chose clochait il le savait et attendait que ses sens lui fassent le rapport de la situation. Odeur: moite, comme amer. Peur ! Douleur ! Son nez lui décrivait des choses incompréhensibles que sa bouche mettait à relayer à son tour : goût metallique dans l'air : du sang ! Les yeux, seuls organes de confirmation scrutèrent l'aubergiste qui était pâle, tellement pâle. En quelques secondes, comme si la pièce était figée, Astriel le découvrit. Un couteau. Enfoncé dans le ventre pansi. La raison prenait son tour et agita ses sens vers Léonore, la belle servante. Elle regardait une de ses mains d'un air horrifiée. Elle était rouge sang. C'est à ce moment là qu'elle hurla...

[Astriel]

Il avait tout compris, quel imbécile il était d'avoir pu penser que maître Meilor se trouvait là, tout s'accéléra soudain, alors qu'il retombait les pieds sur terre.
Il devait agir très vite. Alors que la bouche de la servante s'ouvrait, il se précipita vers elle, contournant le corps et le sang, il lui mit la main droite devant la bouche tandis que sa main gauche la prenait par l'épaule.
La regardant bien dans les yeux et utilisant toute sa force de persuasion, il lui dit.

Silence, vous n'allez faire qu'aggravez votre cas, continuez à hurler et vous allez attirer du monde.
Écoutez-moi et je sauverais votre vie.

Adieu le médecin, le repas chaud et la bonne nuit de sommeil, journée maudite ? Il n'aurait su le dire, qu'est-ce qui le poussait à vouloir aider la jeune femme ? Il n'aurait su le dire, certainement pas la lettre qu'elle avait dis avoir reçu, certainement pas une attirance physique qu'il pourrait ressentir pour elle, non, c'était plutôt qu'il voyait en elle une âme perdue, une âme aisément convertible à son dieu.
Il attendit qu'elle se calme, c'est alors qu'un bruit parvint à ses oreilles, l'aubergiste remuait encore. Il continua ensuite en baissant la voix.

Ne bougez-pas et ne dites-rien, il en va de votre salut, faites un bruit trop fort et se sera la mort pour nous deux.

Sa rapière bondit hors de son fourreau, et d'un geste vif, il saisit la tête de l'aubergiste puis lui trancha la gorge, achevant ainsi ses souffrances. Ensuite, il revint à la jeune fille, prêt à remettre la main sur sa bouche si elle recommençait à crier. Une fois qu'il se fut assuré de son silence, il continua, toujours à voix basse.

Vous allez maintenant m'écouter très attentivement, il faut cacher le corps, puis nettoyer le sang, avez-vous une cave où quelque chose dans ce genre que je puisse y trainer le corps tandis que vous nettoyez le sang ?

Au fur et à mesure qu'il parlait, il commençait à saisir quelque chose, tout ceci était un signe de son dieu, son destin n'était pas au Talabecland, il était ailleurs, mais où, son idée d'aller au Marienburg était-elle la bonne ?
Mais il devait s'occuper d'autre chose, la puanteur du sang était forte, mais ce n'était pas son premier cadavre, n'attendant pas de réponse immédiate à sa question, car elle devait encore être sous le choc, il ne lui laissa pas le temps de répondre.

Une fois ceci fait, on va s'asseoir et discuter de votre avenir, vous comprenez bien que vous ne pourrez pas rester ici.
A l'occasion, vous me donnerez cette lettre que vous disiez avoir pour moi.

Sa voix s'adoucit, comme un père parlerait à sa fille terrifié qui venait de faire un cauchemar.

Ne vous inquiétez pas, tout va s'arranger, je vous protégerais.

Sur ces mots, il alla essuyer sa rapière sur les vêtements de l'aubergiste avant de la rengainer, il avait du pain sur la planche, la première étape consisterait à attendre que l'aubergiste se vide de son sang.

[[MJ] Apocalypsus]

Rp excellent, rien à dire => 4XP pour 53

Léonore, la jeune servante était blanche comme un linge et tremblait de tous ses membres. Le couteau qu'elle avait en main tomba à terre avec fracas.

- Oui. On a une petite cave pour le vin. Mais qu'est-ce que je vais faire ? C'était le seul travail que j'ai réussi à avoir, ici... Se lamentait-elle. Seigneur, qu'ai-je fait ?

La voix posée du baron acheva de la réduire au silence, cependant Astriel la vit secouée de sanglots silencieux. Soudain, des voix fusèrent de la grande salle :

- Hého quelqu'un ?
- On veut une chambre !

Léonore blanchit à nouveau.

- Merde des clients.

Elle jeta un coup d'oeil à Astriel.

- Je m'occupe des clients, occupez vous du corps et remontez dans votre chambre. La lettre est cachée sous votre lit.

Elle n'attendit pas de réponse qu'elle partait recevoir les clients.

[Astriel]

Encore des ennuis, vraiment, le destin s'acharnait contre lui. Un instant, il regretta de ne pas avoir tué la jeune fille, mais son instinct lui disait qu'elle pourrait lui être utile, un outil parfait qu'il ne manquait plus que de façonner.

Elle n'avait plus d'endroits où aller, il serait heureux de lui en offrir un, et puis, il fallait bien quelqu'un pour porte son coffre, elle lui devrait bien ça.
Il détacha sa cape, la posant sur une table à peu près propre et surtout vide de sang.
Diantre, lui, obligé de trainer un cadavre et de nettoyer du sang, ce n'était pas tout les jours, et dire qu'il était Baron maintenant.
Un nouveau soupir alors qu'il regardait le cadavre finir de se vider de son sang, c'était décidé, il était maudit. Lorsque la source fut tarie, il se mit en branle, s'il ne se trompait pas, la cave devait être facilement accessible depuis la cuisine, cela devait être la porte avec le verrou de l'autre coté. La porte s'ouvrit en effet sur les ténèbres fraiches de la cave, un bon point, il n'aurait pas beaucoup de chemin à faire. Il se retourna vers le cadavre entouré d'une jolie marre de sang, cela empestait de plus en plus, une véritable infection.

Il était vraiment trop gentil, sa bonté le perdrait un jour, bon s'il était d'accord pour aider la serveuse, pas question de se salir plus que nécessaire, aussi, faisant fi de l'odeur, il dénicha quelques serviettes.
Deux d'entre elles, il les attacha en dessous de ses bottes, deux autres il les enroula autour de ses mains.
Bon, maintenant il était paré, aussi s'approcha t-il des pieds du cadavre, évitant un maximum le sang, puis il les prit, tourna le cadavre, puis prit la direction de la cave, laissant de grandes traces de sang sur le passage du cadavre.
Arrivé en haut des marches, il s'arrêta, puis enjamba précautionneusement le cadavre, prenant bien soin à ne pas glisser sur les traces de sang en les évitant. Ensuite, d'un coup de pied, il poussa le cadavre qui dévala les marches avec un bruit sourd. D'une voix forte et bourrue, il cria d'une voix déformée.

Cré de Sigmar, je m'e ferais jamais à ces scaliers.

Un instant de silence, puis il reprit un peu moins fort, mais toujours audible dans la salle d'à coté.

C'est un d'ces foutoirs dans cte cuisine, ça m'prendra à engager des bonnes à rien, peuvent même pas nettoyer lorsqu'son patron fait un p'tit somme pour s'rposer avec une bonne gnôle.
Léonore, J'veux personnes dans l'cuisine jusqu'à nvel ordre, ou il tâtera d'mon martinet, j'peux vous l'jurer.

La dette de la servante s'allongeait de minutes en minutes, il lui faudrait bien toute une vie pour la rembourser, obligé de se comporter comme un simple paysan, quelle honte.
Il ferma et verrouilla la porte de la cave, ensuite, il alla chercher d'autres serviettes, prit une petite marmite pleine d'eau suspendue au dessus d'un brasier éteint.
Il trempa une première serviette dans la marmite, et commença à éponger.

De Nombreuses serviettes y passèrent, jusqu'à ce que la marmite soit entièrement remplie de sang, le volume de liquide semblant avoir doublé depuis le début. Enfin, après un temps qui lui sembla infini, il avait tout nettoyé, il ne restait dans la cuisine que l'odeur de sang, mais elle n'était pas différente pour ses sens de l'odeur d'un animal, et il était normal que dans une cuisine elle soit présente, on devait souvent y égorger des poulets ou autre.

Cependant, il devait se débarrasser de la marmite. Elle ne tarda pas à rejoindre l'aubergiste, faisant un bruit mou à l'arrivée, elle avait du atterrir sur le cadavre, il ne jugea pas qu'elle fait assez de bruit pour qu'il en résulte un quelconque commentaire et que même si quelqu'un l'entendait, cela ne ressemblait à rien de spécial. Les serviettes attachés autour de ses pieds et de ses mains suivirent le même chemins.
Maintenant il devait se préparer à jouer la comédie, une honte ultime pour lui avant de pouvoir se retirer, mais c'était nécessaire, le seul accès à sa chambre passant par la salle commune, où il semblait que les nouveaux arrivant s'étaient fixés pour ne plus en bouger, flirtant avec la serveuse, il pouvait les entendre à travers la porte que Léonore avait fermé avant de partir.

Il y avait trois ouvertue dans la cuisine, une menant sur la salle commune où était les client et Léonore, une autre menant à la cave, et la troisième menant sans doute à la chambre de l'aubergiste, il utiliserait cela. Il attache de nouveau sa cape, puis sa voix déformée, parlant de façon à être audible dans l'autre pièce.

Mon bonseigneur, V'ous 'vez bien travaillé ? C'fut un plaisir de v'ous prêtez mon b'reau qu'vous so'yez tranquille pour travailler, c'sûr qu'c'est pu pratique qu'crire par terre.

D'une voix absolument normal, n'ayant plus rien à voir avec la première, il dit de son ton le plus courtois.

Je vous remercie mon brave, maintenant si vous me le permettez, je vais me retirer, je me sens fatigué ce soir.


Alors il sortit, saluant poliment les visiteurs, faisant comprendre d'un regard, à Léonore que tout était réglé, puis il monta dans sa chambre, trouva rapidement la lettre dissimulée son lit, puis s'écroula dessus avec une intense satisfaction, ce qu'il avait mal au dos, c'était bien la dernière fois qu'il faisait cela.
Impatient malgré sa grande fatigue, il décacheta la lettre, la lisant avidement.

[[MJ] Apocalypsus]

Il ya de la matière, du contenu et de la qualité. 5XP's par exception pour 58

Avant de commencer, partons sur un jet : les clients sont des habitués. Ils connaissent le patron.
Jet de 10 pour 10-2 (malus de distance)
Echec => pas de différence dans ton RP

Alors il sortit, saluant poliment les visiteurs, faisant comprendre d'un regard, à Léonore que tout était réglé, puis il monta dans sa chambre, trouva rapidement la lettre dissimulée son lit, puis s'écroula dessus avec une intense satisfaction, ce qu'il avait mal au dos, c'était bien la dernière fois qu'il faisait cela.
Impatient malgré sa grande fatigue, il décacheta la lettre, la lisant avidement.

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Astriel,

Il est temps que tu aies des nouvelles de moi... On me traque. Des pustuleux se sont introduits chez nous. J'ai mis Tara et ton frère en lieu sûr. On nous a pris d'avance mais ca ne me contrarie pas: le changement n'est pas notre ennemi il nous rend plus fort. Ils ont tenté de m'assassiner mais comme tu peux le constater dans cette lettre il n'en est rien. Tu as des responsabilités, ton père n'est pas mon oeuvre non plus bien qu'à un moment ou à un autre tu te doutes qu'il l'aurait appris. Je n'ai encore que des informations fragmentées sur ceux qui ont fait le coup.
Ton frère est très prometteur, il a déjà réussi à apprendre les préceptes et le Duc a l'air bien disposé à son égard. C'est bon signe. Nous nous verrons pas avant longtemps, cependant je prendrai soin de ton frère comme j'ai pu le faire avec toi.
Enfin... Léonore la serveuse est une de nos informatrices, tu peux lui demander soutien. Elle est loin d'être la meilleure mais tu sais qu'on accepte n'importe qui de nos jours.

Prend soin de toi,
Moi

P.S.: pas de noms, pas de traçabilité. Détruis le parchemin une fois que c'est lu.

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