Les 10 ans du forum, c'est aussi un peu VOTRE anniversaire !

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Martin
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Re: Les 10 ans du forum, c'est aussi un peu VOTRE anniversai

Message par Martin »

Martin revenait des collines avec sous le bras ses collets relevés. Il avait réussi à attraper un beau lièvre. Bien que sachant que ce brave prêtre de Véréna à la charge de son éducation désapprouverait certainement son "brigandage" et le houspillerait, une fois de plus, c'était aussi la seule personne qu'il connaissait et pouvait réaliser se sublime et délicieux ragoût dont il avait le secret. Et puis il ne serait pas trop dur avec lui puisqu'il ne pouvait lui même s'empêcher de prendre du plaisir à cuisiner.

De retour à la chapelle, Martin prit bien soin de ne pas faire trop de bruit, de frôler les murs dans l'espoir de ne pas se faire prendre pour déposer sa proie dans la cuisine. Avec un peu de chance, il pourrait y parvenir et le prêtre fermerait les yeux, faisant mine de toujours avoir eu ce lièvre.... Et puis....

Martin !!!

Eh mer**... Il m'a eu...

Bien le bonjour. Qu'y a-t-il ?

Fait semblant de ne pas savoir ce qu'il veut. Sur un malentendu, ça peut passer.... Ou pas.

Tu sais très bien de quoi je veux parler. Deux jours que tu n'es pas apparut. Tu sais, je commençais à m'inquiéter, j'ai même pensé à appeler la milice.

Aïe. Lorsqu'il commence comme ça, je finis par réciter avec lui des prières à Véréna.... Une diversion. Vite !

Et tu es encore aller braconner. Je vois d'ici ton gibier. Tssk

L'estocade approche. Une diversion ! Vite !

Tu es en forme aujourd'hui. Bien dormi ?

J'ai passé la nuit à me faire un sang d'encre pour toi ! Je devrais normalement t'enfermer pendant des jours dans la bibliothèque pour que tu passes ton temps à apprendre les saints commandements de la déesse tout en jeûnant et.....

Allons, Julius, calmez vous. Et puis vous adorez cuisiner ce qu'il ramène. De plus, ce jour d'hui est spécial. Vous pouvez passer l'éponge non ?

Le boulanger et chef de la milice ? Mais qu'est ce qu'il fait là ? C'est la misère, il va me mettre dans les geôles et....

Calme toi mon garçon, je ne suis pas là pour t'emmener dans une sombre et froide cellule. Pas tout de suite.... Ah ! Ah ! Ah ! Si tu voyais ton visage !

Essaye de ruser. Détourne le sujet de conversation. Louvoie. Esquive. Gagne du temps.

Capitaine... Qu'est ce qui vous amène par.... un si bon jour ?

Bon sang, qu'est ce qui m'a prit de dire ça !? C'est évident en plus !

C'est moi qui lui ai ordonné de venir, car j'avais prestement besoin de ses services, surtout que l'affaire te concernait toi !

De pire en pire. Mes craintes se confirment.

Effectivement, Julius a abordé ton cas à ma boutique hier. Devant son air renfrogné, projetant presque des étincelles, avec son regard...

Pas la peine d'aborder les détails. Hum hum. Donc, j'ai demandé au capitaine ici présent de me faire quelque chose de prévu pour toi et rien que pour toi. Suis nous à la cuisine immédiatement ET sans faire d'histoire, ou bien tu risquerais de le regretter sévèrement espèce de garnement !!!

Qu'est ce qu'ils ont faits.... Rien que pour moi ? C'est forcément quelque chose de pas bien, pas agréable. Une règle en fer ? Il n'a jamais osé ! Un pilori ? Mais pourquoi dans la cuisine ? Des épinards ? Mais pourquoi faire venir le capitaine ? Je le sens mal.... Oh, voici la porte de ce qui va devenir mon enfer... Qu'est ce que.....

Bon anniversaire espèce de garnement !!!

Julius et le capitaine avaient criés en même temps, effrayant Martin à un tel point que celui ci avait fait un bond en arrière. Un cri pareil juste après une engueulade pareille ? Ce n'était pas humain ! C'était monstrueux !

Ah ! Ah ! Ah ! Nous t'avons bien eu. Julius est venu me voir hier à propos de ton anniversaire. Comme il ne savait pas quoi faire, il a passé commande pour un gâteau, celui que tu vois ici, sur la table. Et tu as en plus une surprise.

Je me suis contenté de passer commande à la boulangerie pour que le capitaine ferme les yeux sur tes braconnages, en échange d'un repas gratuit avec ton lièvre. Le fait que ce jour soit aussi ton anniversaire n'est qu'un simple hasard.

Zut... Je vais pleurer. Ce vieux schnock m'a eu. Il n'avoueras jamais qu'il a fait ça pour moi... Zut, les larmes arrivent.... C'est vraiment une bonne journée.....
Et puis ce cadeau en plus... Impossible de résister....

Bon sang !!! C'est..... Je peux....

Bon sang, il allait vraiment le dire...

Merci Julius !!!!!

Ç’avait vraiment été un bon moment. Inoubliable. Sans doute le meilleur passé.
Gamin, un jour ou l'autre tes plans foireux feront de nous des morues salées. Et tu sais quoi ? Je regretterais même pas car je me serais sans doute amusé comme un fou avant d'y passer.
35 — « Quand la langue fourchue et l’œil de chouette se rencontrent, Morrslieb sourit. »
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Sigmund Engelhart
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Re: Les 10 ans du forum, c'est aussi un peu VOTRE anniversai

Message par Sigmund Engelhart »

Assis à la table, plusieurs godelureaux, et un vieil homme semblant de moindre extraction, sans doute un marchand. La tension dans la salle était palpable, se traduisant par un silence pesant. Tout le monde attendait le souffle coupé que les joueurs abattent leur main.

La soirée avait pour l’instant prit une tournure des plus agréables, dans cette auberge en bord de route, où j’avais fait étape cette nuit, me permettant de sécuriser de raisonnables gains à cette table, menant les jeunes nobliaux peu adroits et impulsifs à la baguette. Ces jeunes écervelés avaient aussi peu de matière grise que leurs bourses étaient rebondies, et je m’étais fait un devoir ce soir-là de rééquilibrer ceci, avec un succès certain jusqu’à présent. Je m’amusai donc à le leur rappeler, leur faisant une fois de plus monter la moutarde au nez.

« Et bien mes sires, semblerait-il que Dame Chance ne vous porte pas dans son cœur ce soir, heureusement pour moi ! Et j’ose vous annoncer une main exceptionnelle ce tour-ci. Tapis ! »

Oui, en jouant ainsi sur leurs nerfs, en les provoquant directement, je les poussai sciemment à l’erreur. Et l’énorme relance avec laquelle je les assommai à l’instant ne manquerait pas de rajouter à leur confusion, les noyant dans le doute à dessein. Ma main actuelle, pour tout observateur en capacité de la voir - ce qui à n’en pas douter relèverait de l’omniscience, tant j’avais prêté attention à ne jamais la révéler complètement aux quelques badauds assistant à la partie - ma main actuelle donc n’avait rien d’exceptionnel, mais j’avais d’autres atouts dans ma manche. Littéralement. Et pour cause, l’une des deux cartes remisées habilement dans les manches de mon pourpoint au tour précédent complétait parfaitement celles qui m’avaient été attribuées ce tour - ci. Autant dire que cela tombait à point nommé, car j’envisageais depuis deux ou trois tours déjà de me retirer de la partie, afin de ne pas risquer d’attirer l’attention de par des gains trop importants. Point n’était nécessaire de s’attirer les suspicions de la foule, et risquer toutes les mésaventures pouvant s’ensuivre.

Profitant de l’annonce des autres joueurs, j’esquissai de prendre ma chopine de bière afin d’escamoter dans le même mouvement le trois de bâtons m’arrangeant peu, le tout dans la plus grande discrétion. J’envisageai donc l’étape suivante avec sérénité, n’ayant plus qu’à récupérer le dix d’épées dans mon autre manche pour obtenir une très belle suite.

« Et bien, pour ma part, je vais suivre. Je sens que la chance va tourner ce soir. Quoi de plus normal, pour mon anniversaire ? »

Le tout fut dit d’un ton amusé. Le dernier joueur était un homme d’une cinquantaine d’années, vêtu d’une tenue de voyage en cuir sans fioritures. Les traits burinés par les ans, un sourire en coin, l’homme paraissait sûr de lui. Et surtout, ne laissait rien transparaître depuis le début de la soirée, restant insondable, un véritable mystère pour moi. Sans avoir franchement perdu de pistoles, l’homme n’avait guère gagné de pièces pour autant, se contentant de jouer prudemment au fur et à mesure des manches. Quelque chose me dérangea dans son attitude du moment, dans ce revirement de tactique soudain. Sans que je ne puisse mettre le doigt sur ce qui m’alertait en dehors de cette mise soudaine.

Il n’était cependant plus question de laisser passer cette manche et les gains qui s’annonçaient, et dévoiler une main amputée d’une carte ferait très mauvais genre. Hors de question de me laisser prendre à forcer la main à la chance ce soir. J’attendis donc que le dernier jeunot annonçât se coucher pour faire remonter le dix d’épée dans ma main. Tout du moins j’esquissai le mouvement discrètement, mais ne finis jamais ce dernier : la pression d’une pointe calée dans le creux de mes reins m’en dissuada bien vite. Le murmure qui l’accompagna entérina ma décision.

« La précédente me plaisait mieux, si cela ne te dérange pas. »

Contrit, je recomposai donc ma main initiale, pour sentir avec soulagement l’appui lombaire s’estomper. Je déplorai néanmoins à l’avance le bilan pécuniaire s’annonçant, et la suite des événements me donna raison, l’homme d’un certain âge emportant donc largement la manche, doté d’une fort belle main.

« Vous voyez, chers amis, je vous l’avais dit. Impensable que la chance ne m’ait pas souri en cet heureux jour !

-Je ne peux qu’en acter la véracité, et vais sur ces faits prendre congé de votre aimable compagnie pour la nuit. Permettez-moi néanmoins de vous souhaitez un excellent anniversaire, her Bauer. »

Et de maudire sa quarte de dix en quittant la salle…
Sigmund Engelhart, Voie du Bonimenteur
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Goraxul
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Re: Les 10 ans du forum, c'est aussi un peu VOTRE anniversai

Message par Goraxul »

Goraxul observait l’étendu d’une plaine désertique. À l’horizon se dessinait une montagne au flanc acéré. Aussi coupante qu’une griffe de démonette. Elle était plus grande que tout ce qui existe. Que tout ce qui n’a jamais été vu par l’homme. Malheureusement pour eux, cette montagne se déplaçait et retournait au cœur du Chaos. Personne d’autre ne pourrait l’observer dans sa magnifique splendeur. D’ici quelque mois, elle sera disparue. Goraxul aurait aimé l’escalader. Y trouver son sommet, et la contrôler.

Une tempête de sable se levait tranquillement, les oiseaux recouverts d’écaille devaient trouver refuge pour ne pas être ensevelis. Goraxul se releva de la bordure de la falaise. Un précipice immense devant lui menaçait quiconque s’en approchant d’une chute mortelle. Derrière lui se trouve un membre du camp qui l’hébergeait pour quelques jours.


« Qu’est-ce qui se passe voyageur ? C’est la première fois que tu croises Tranche-Ciel ? Je sais c’est impressionnant, la première fois. Mais après 15 ans c’est différent. On se rend compte rapidement qu’elle n’aime pas la chaleur, elle fuit les saisons chroniques du sud. Quand l’été arrive près de Kislev, elle se déplace pour ne pas fondre. C’est ce que mon père me racontait. Je sais que c’est un ancien démon majeur de Tzeentch, il aurait essayé un rituel trop ambitieux et serait devenu montagne. Une triste perte selon moi. Allez, viens, rentre avant d’être recouvert de poussières.  »

Le camp était de simple manufacture, quelque tente individuelle, des enfants qui courraient un peu partout. D’immenses chevaux aux crocs sanguinolents montaient la garde autour des abris de fortune. Leurs muscles étaient exposés aux éléments extérieurs, sans cuirs apparents pour les protéger. Comme si c’était nécessaire. Un grand chapiteau était érigé au centre, elle y hébergeait le chef de tribu, sa famille. Ce soir c’était une grande fête. Ce soir c’était l’anniversaire de naissance de la fille du Chef. Elle se nommait Elalock. Les cheveux rasés au couteau pour être plus vigilante. Un froc de cuir léger laissait deviner ses muscles puissants. De longue jambe capable de fuir la nuit meurtrière. Un modèle exemplaire de femme. Elle buvait comme son père et dansait comme sa mère.

La musique des tambours et des cris dans la nuit échauffait les esprits déjà allumés. Goraxul entra dans les festivités. La poussière du sol, la sueur des corps qui s’entrechoquent dans cette danse physique. Les yeux de la princesse et du voyageur se croisèrent plus d’une fois cette nuit-là. La musique prenait forme devant tous. La tente semblait démesurément grande, le vent entrait par les battants. Elle caressait les peaux humides et chaudes. Rapprochaient les guerriers les uns des autres. La tension était à son maximum. Elalock attrapa la main de Goraxul et ensemble fuient la mêlée.

Les invocations guturesque nocturnes proférées auraient fait frémir un cultiste du Grand Prince. Une passion sans fin, une rage charnelle canalisée. C’est dans les nuits semblables que l’on crée des légendes. Un amour animal que peu d’impériaux pourraient comprendre. Il existe un adage au sud, « Il faut souffrir pour être beau ». Ce n’est qu’une goutte d’eau en comparaison à la tempête qui se passa cette nuit-là… C’est au lever matinal de Morrslieb que Goraxul décida de quitter la chambre de la princesse.



« Attends, j’ai un présent pour toi. Bien que c’était ma fête hier, je n’en ai rien à faire de ces présents. Tiens prend les pour les routes à venir, tu vas en avoir besoin. »


Elle lança un sac rempli de vivre et de pièces d’ors dans sa direction.


« Bonne fête voyageur »
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Goraxul , Élu du Chaos Universel

Fiche Wiki

FOR 10 / END 11 / HAB 7 / CHAR 11 / INT 10 / INI 11 / ATT 11 / PAR 11 / TIR 8
MAG 0 / NA 2 / PV 80/80
Compétence
  • Ambidexterie : Utilisation sans malus de deux armes à la fois
  • Arme de prédilection : Hache Chaotique/b] : Bonus +1 ATT pour hache, -1 ATT et PAR pour autre arme 1d3 tours
  • Autorité : Bonus de 1 pour interraction avec militaire
  • Chasse : Bonus de 1 lors de tentative de chasse
  • Coriace : Réduction de -1d3 dégats lors d'une attaque contre lui (minimum de 1 dégats)
  • Coup Puissant : Bonus de 1d3 dégats lors d'une attaque
  • Langue Noir : Permer de parler et de comprendre la langue des monstruosité du Chaos
  • Parade : La valeur de parade des armes et bouclier est doublée
  • Résistance Accrue : Bonus de 1 sur tout ses jets d'endurances
  • Sang Froid : Ne subit pas de malus en cas de situations stressantes
  • Sixième sens : Bonus de 1 lors qu'il se sent traqué pour découvrir la source
  • Survie en milieux hostile : Bonus de 1 lors de tentative de survie en milieux dangereux.

Expérience
  • XP 0/625


Armement
  • 2 x Hache Chaotique : 18+1d8 ; 8(16) PAR ; Percutante : 2 jet de dégât, garder le meilleur. Manier deux haches chaotiques en même temps permet de faire deux attaques.
  • Bouclier du chaos : 6+1d6 ; 16(32) PAR ; Déstabilisant : +2 à tout test visant à pousser/renverser ou à résister. Bouclier : relance automatique de la première parade ratée au cours d'un round.
  • L'Éventreuse : 30+1d10 ; 12(24) PAR ; Percutante [2 jet de dégât, garder le meilleur], Épuisante [-1 aux attribut par tour pendant 5 tour, max -4] Lente [+2 en PAR et en HAB pour défendre contre l'Arme]


Armure
  • Harnois du cultiste de Khorne : 10 points de protection partout sauf la tête.
  • Camail : 6 points de protection sur la tête ; Protection de maille à laquelle peut s'ajouter un casque.
  • Casque Noir : 14 points de protection sur la tête ; -1 INI et ATT, -2 HAB


Mutation 1/8
  • Peau écailleuse : Armure naturelle de 4 sur le bras droit.


Argent
  • Couronne : 8
  • Pistole : 0


RP

Kill List
  • 8 x Skavens
  • 2 x Disques de Tzeentch
  • 2 x Soldats Kislev
  • 1 x Homme-bête
  • 1 x Champion de Khorne mort-vivant
  • 1 x Goraxul miroir
  • 1 x Goblin

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Aria von Gaste
PJ
Messages : 14
Profil : FOR 8/ END 7/ HAB 8 / CHAR 10/INT 11/ INI 8/ ATT 8/ PAR 8/ TIR 8/ NA 1/ PV:60/60 (bonus inclus)
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Localisation : Dans un coin paumée.

Re: Les 10 ans du forum, c'est aussi un peu VOTRE anniversai

Message par Aria von Gaste »

Aria venait de se lever, il était tôt et les premiers rayons du soleil était a peine visible et la jeune noble devait être la seule personne réveiller dans le manoir familiale. C'est les pied nue, et dans sa robe de chambre, que la petite fille descendait discrètement les marches de sa somptueuse demeure, pour ne pas réveiller ses parents ou les domestiques. Elle était devant la porte lorsqu'une voie résonna dans toute la pièce:

Alors ma petite, on s'enfuit le jour de son anniversaire?

La petite noble se retourna et vit sa grand-mère, malgré l'âge de cette dernière, soixante-neuf ans tout de même, elle s'emblait n'avoir qu'un trentaine d'année, grâce notamment à ses long cheveux blond.

Chut, mamie. Tu va réveiller papa et maman.

L'ancienne dévisagé Aria, qui, lorsqu'elle le remarqua, rougit et dit:

S'il te plait mamie, ne dit rien à papa.

Ne dire rien à qu'elle propos?

Mince, la jeune fille s'était vendue toute seule. La vielle dame, qui lisait en la petite fille comme dans un livre ouvert, devina rapidement ce que projetait de faire la gamine.

Ne me dis pas que tu vas dans la forêt, nous t'avons dit mille fois que ce n'était pas sûr pour une enfant. Que d'immondes créatures n'attendaient que ça.

Comme toujours, la grand mère ne se trompait guère, Aria comptait aller dans la foret. Sachant que la jeune fille ne répondrait pas à la vieille noble, elle lui prit la main et la mena dans la cuisine. Une fois arrivées, elle ouvrit rapidement une étrange boite et en sortit un magnifique gâteau aux fruits. Et elle dit d'un air attendrissant:

Tiens ma chérie, c'est pour toi. Joyeux dixième anniversaire.

Une minute plus tard, alors que les deux femme mangeaient le gâteau, la grand mère finit par dire:

Tu sais ma fille, si tu as toujours ce tempérament d'aventurière, quand tu seras plus grande, tu pourrais prendre la place de tes cousins et devenir templier. Mais je divague, quoique tu fasses tu serviras, à ta manière, Sigmar.

Ce fut, à la connaissance d'Aria, la seule fois où sa grand mère s'était trompée.
Aria von Gaste, Voie du Sorcier de Tzeentch
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Lucretia Von Shwitzerhaüm
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Re: Les 10 ans du forum, c'est aussi un peu VOTRE anniversai

Message par Lucretia Von Shwitzerhaüm »

Au travers des évagations de son âme, Lucretia perçut une altération de sa pensée, de ses sens, et de sa perception. Une sensation indistincte, évanescente, mais pourtant bien présente, et qui se raffermit de plus en plus alors qu'elle en prenait pleinement conscience. De ce noir obscur que la jeune femme n'avait connu que depuis trop longtemps, une envolée blanche se greffa à sa vision aveugle. Une lumière pâle transcenda les ténèbres, s'immisça sous ses paupières, et la pénétra en son for intérieur. Depuis combien de temps avait-elle somnolé ? Combien de mois s'étaient écoulés depuis cette première fois où elle avait plongé dans les limbes de l'oubliance ? Elle n'aurait su le dire, mais cette absence prit fin au moment même où ses prunelles smaragdines s'ouvrirent de nouveau sur le monde.

Un carnaval de couleurs chaudes et vives s’imposa d’emblée à son regard, ainsi qu’une myriade de silhouettes qui se croisaient et s’entrecroisaient en un ballet incessant. Une grande salle, une splendide salle se découvrit à elle, magnifiée par un lustre sardanapalesque où se reflétait en chacune de ses perles de cristal toute la nitescence d’un jour touchant à sa fin. Autour d’elle se déroulait un jeu de plateaux d’argent qui circulaient de main en main, de verres finement ciselés remplis d’un alcool translucide à la lumière que l’on gobelotait avec légèreté, de pipes d’ivoire que l’on portait délicatement aux lèvres, et de rideaux de gaze dissimulant des alcôves à la touffeur exaltante.

Après la vision vint l’ouïe, dans un capharnaüm de sons qui s’en allait croissant, amplifié par ce don vampirique qui lui avait été conféré. Une valse lente et envoûtante, jouée par un orchestre replié sur l’un des bas-côtés de la pièce, dont chacun des trois temps était implicitement marqué par les pas chassés gracieux des dames se mêlant à ceux non moins élaborés de ces gentilshommes. La rumeur des conversations ne tarda point à parvenir à ses oreilles, entre les frivolités quotidiennes, les panégyriques se heurtant aux catilinaires allant à l’encontre de leur hôte, et les cabales qui se murmuraient dans l’ombre. A cela s’ajouta bientôt le tintinnabulement du verre qui s’entrechoquait, le doux clapotis, infime mais pourtant si présent, de l’alcool que l’on versait dans une coupe, ainsi les déglutitions discrètes que précédaient les raclements stridents de l’argenterie.

Une douce fragrance bucolique lui chatouilla le nez, qu’elle plissa subtilement. Bien longtemps, là encore, que son odorat n’avait point été ménagé par l’un de ces parfums capiteux dont s’étaient aspergées nombre de ces femmes qui voltaient autour d’elle. Çà, une ancelette apportait un ensemble raffiné de chatteries dont les arômes sucrés firent gazouiller l’estomac de Lucretia ; là, deux jeunes gens s’enlaçaient sur cette valse musarde, et l’attrait d’un désir naissant se fit ressentir alors que leur sang pulsait frénétiquement dans leurs corps, charriant une délicieuse exhalaison carmine dont se reput la Lahmiane.

Mais le toucher, quant à lui, demeura immanquablement hors de sa portée. La jeune femme observait ces silhouettes qui déambulaient au gré d’une gigantesque main invisible, telles des poupées de porcelaine dont on agitait les fils entrelacés. Elle flottait au beau milieu de ce monde qu’elle avait quitté quelque temps auparavant, louvoyant entre ces corps qui ne l’apercevaient pas. Elle évoluait dans un songe éveillé qui lui remembrait ces agapes passées auxquelles elle n’avait que trop participé, et qui lui laissaient à présent comme un sentiment d’inachevé, d’inaccompli. La splendeur de sa jeunesse, qu’elle avait toujours conservée mais à laquelle le don de la non-vie avait retiré cette incroyable ingénuité qui l’avait animée auparavant. L’envie d’y participer de nouveau, de se frayer à la foule, de s’abandonner dans ce bain humain, là où il était si facile et si prenant de badiner, de s’amuser, de manipuler.

Quelques échos assourdis par l’ambiance festive qui régnait au sein de cette grande salle l’informèrent de la nature de l’évènement. L’on fêtait diligemment, dans la joie et l’allégresse, une décennie d’existence, au travers de laquelle bien des destins et des vies avaient été brisés comme bien peu avaient triomphé. Pourtant, la Lahmiane n’éprouvait aucunement le besoin à ce qu’on la dessillât à ce sujet ; elle appartenait indubitablement à ceux dont l’existence avait été couronnée de succès, quand bien même avait-elle connu son lot de vicissitudes et de bissêtres. Elle savait à présent ce qui lui restait à faire, et s’exécuta dans le même temps. Elle embrassa cette même vie, dût-elle la remettre entre ces mêmes mains, gigantesques mais pourtant invisibles, qui s’articulaient au-dessus de son faîte pour altérer de leurs doigts le fatum de ces milliers de petites étincelles existentielles.

Et le toucher lui revint. Son corps, son âme et son esprit s’ancrèrent dans le Vieux Monde, et ce fut là les prémisses d’une renaissance. Lucretia redevint visible pour chacune de ces personnes dont elle ignorait le nom, mais dont les regards la notifièrent instantanément. Alors, avec un allant, une aura et un port altier que jalousaient ses rivales mais que bénissaient leurs maris, la Lahmiane s’empara d’un hanap et d’un entremets, avant de fredonner dans un demi-sourire, de concorde avec le conviva :

« Joyeux anniversaire… »
FOR 16 / END 14 / HAB 17 / CHAR 18 / INT 17 / INI 19* / ATT 17 / PAR 13 / TIR 11 / MAG 17 / NA 4 / PV 134/140
Ma Fiche
Objets particuliers:
- * Anneau Nowelleux (+1 INI)
- Amulette (relance d'un EC: 2/3 utilisations disponibles)

Compétences acquises et Dons du Sang

COMBAT :
Attaque : Coup précis (3), Arme de prédilection ( épée à une main)
Défense : Esquive, Acrobatie de combat, Sang vif (2) (DDS), Coriace,
Autres : Régénération Impie (DDS), Innocence Perdue (DDS), Valse Macabre


MAGIE :
- Sens de la Magie
- Conscience de la Magie
- Maîtrise de l'Aethyr - niveau 3

CHARISME :
- Diplomatie
- Éloquence
- Séduction
- Intimidation
- Comédie
- Etiquette
- Intrigue de cour

INTELLIGENCE :
- Domination (DDS)
- Érudition
- Littérature
- Linguistique
- Histoire
- Administration
- Enseignement
- Connaissance végétale
- Langue étrangère : Kislévarin
- Connaissance des démons

INITIATIVE / HABILETE :
- Sang vif (DDS)
- Réflexes éclairs
- Escalade
- Monte - chevaux
- Sens Accrus
- Vision nocturne

AUTRES :
- Défi de l'Aube (DDS)
- Ame Profane (DDS)
- Forme de Familier : Corneille (DDS)
- Sang argenté (DDS)
- Alphabétisation
- Force accrue
- Chance
- Préparation des poisons

Inventaire :
- Griffe d'Ursun
- Veste de cuir & pèlerine en "voyage" / robe habillée en "réception"
- Anneau de promptitude
- Bague du tumulus
- Sacoche de chanvre
- Lettre de la comtesse
- Gemmes et pépites d'or
- Fleur de salicaire
- Glandes à venin
- Poison (?)

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Friedrich Hadler
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Re: Les 10 ans du forum, c'est aussi un peu VOTRE anniversai

Message par Friedrich Hadler »

Cela remontait à des années de cela. En des temps qui furent heureux pour un petit garçon qui ne se doutait alors de rien. Pourtant, il lui arrivait encore d’y repenser, de temps en temps.
*** Klirduc, 2512***
Le soir tombait sur le petit village côtier de Klirduc, au le Nord de l’Ostland, non loin de Salkalten. Dans la maison des Hadler, c’était l’effervescence. Enfin, surtout pour Friedrich, le fils unique de la maisonnée, qui trépignait d’impatience. Car ce jour n’était pas un jour comme les autres. Comme sa maman le lui avait rappelé depuis ce matin –non pas qu’il en ait eu besoin mais tout de même cela faisait plaisir de ce l’entendre dire- c’était SON anniversaire aujourd’hui ! Il était né il y avait tout juste onze ans, ni plus, ni moins, dans ce village même, dans cette maison même.

Et dès le début, il s’était senti aimé et protégé comme jamais par cette femme si douce et si gentille. Elena Hadler, sa maman ! Et la maman la plus intelligente du village, rien que ça ! Même que son papa était très riche, et que tout ce qu’elle avait chez elle à la boutique c’était pas grand-chose par rapport à la fortune de grand-père, c’était papa qui l’avait dit, Friedrich l’avait entendu un soir glisser quelques mots à ce sujet à ses amis alors qu’Elena n’était pas là et qu’il écoutait derrière la porte.

Son papa, le tout nouvel adjoint au chef de la milice locale, il travaillait beaucoup. Comme toujours. Il n’était pas beaucoup à la maison, toujours au travail. Parti tôt, rentré tard, quand il rentrait ! Mais c’était les aléas du métier, comme il disait, ce qui rendait si fiers Elena et Friedrich. Endurer tout cela, ces nuits blanches, ces dangers. Pour la patrie, pour l’Ostland, pour l’Empire. C’était ce que son papa lui avait dit.

Là, en l’occurrence, s’il n’était pas là, c’était à cause des grands raids sur la côte, orchestrés par un certain Mortkin, le « piard en fer noir » avait-il dit ! Il devait faire des conseils de guerre, paraissait-il. C’était qu’il était important, Alexander Hadler.

Mais ce jour-ci, Friedrich n’était pas très content que son papa ne soit pas là ! Et pour cause, c’était ce soir qu’ils allaient fêter son anniversaire et recevoir ses cadeaux. L’avantage d’être dans une famille riche, outre l’éducation, le confort de vie, et la considération des autres aussi, c’était qu’on avait beaucoup de cadeaux ! A l’inverse, Rick Aerdan, le fils de Mélanie Aerdan, lui, n’avait toujours eu qu’une maman, et une maman pauvre en plus. Il n’avait pas de chance, pourtant, Friedrich l’aimait bien, il jouait souvent avec lui, même si Rick était un peu plus grand ! Et puis, sans se l’avouer, le petit Hadler se sentait un peu supérieur malgré son jeune âge. Après tout, c’était SON père qui protégeait Mélanie la plupart du temps ! Il l’avait même entendu dans la même conversation où son père avait dit que sa mère était sans nul doute « la plus intelligente du village » et « la fille d’un très riche marchande de Marienburg ». Ses amis lui avaient répondu en riant qu’il « prenait bien soin de Mélanie » en même temps ! Protéger les pauvres sans défense, c’était bien le style de son papa ça !

Evidemment, il n’avait rien dit de cette conversation à qui que ce soit ! Il était censé être au lit en train de dormir depuis un moment, mais il avait voulu assister à un de ces « conseils » nocturnes de son père et était sorti en cachette par la fenêtre pour aller écouter à la porte de la milice.

Mais aujourd’hui, il n’avait pas envie que son papa prenne trop longtemps à revenir. C’était son jour, et ce Mortkin ou « piard en fer noir » pourrait attendre. Alors que le soleil s’était déjà couché et que l’enfant tombait de sommeil, sa maman le prit dans ses bras et lui dit d’une voix douce qu’elle et son papa l’aimaient plus que tout, qu’il était leur trésor le plus précieux, et que jamais Alexander ne l’oublierait. Mais elle semblait un peu inquiète quand même.

Heureusement, vers dix heures du soir, la porte s’ouvrit enfin, laissant entrevoir un Alexander Hadler à l’air pressé. Il salua rapidement sa femme et se tourna vers son enfant en ébouriffant ses cheveux, et sortant de sous son manteau un paquet, tout en s’excusant. Il ne pourrait pas rester pour l’anniversaire de son bonhomme, car l’affaire était trop grave, beaucoup plus grave qu’il ne le pensait. Mortkin était la priorité de Valmir von Raukov, le Comte-Electeur d’Ostland lui-même, et on racontait qu’il enverrait son fils aîné Oleg en première ligne pour l’affronter. Mais il était quand même passé et avait pensé au cadeau.

Friedrich était à la fois très déçu et très fier. Sa maman, elle, semblait comprendre, mais être tout aussi déçue qu’il ne puisse rester. Elle tenta de négocier pour qu’il reste au moins pour le gateau, mais Alexander lui dit qu’il devait y aller. Elena salua l’homme qu’elle aimait et avait épousée, le père de son enfant, l’homme de sa vie. Elle lui adressa un baiser sincère puis lui souhaita bonne chance pour le conseil de la nuit qui à coup sûr serait un sacrifice consenti pour la patrie, puisqu’il lui ferait rater l’anniversaire de Friedrich !

Mais alors que son papa repartait, et qu’ils allaient ouvrir les cadeaux sans lui, Elena remarqua que son mari avait oublié son chapeau. Souriante et prévenante, elle confia le couvre-chef à son fils en sachant que cela lui ferai plaisir et lui dit d’aller le lui rapporter avant qu’il n’entre dans la salle privée des grands de la milice, celle que Friedrich aimait appeler le quartier général, le « QG ». L’enfant se saisit du chapeau, ouvrit la porte et se précipita dans les rues mal éclairées par quelques lanternes du village. Curieusement, il ne trouva pas son père sur le trajet du poste de la milice. Mais alors qu’il allait rebrousser chemin, se disant que la réunion avait sûrement lieu autre part ou que son père avait couru et qu’il était déjà dans le bâtiment, il vit une silhouette familière se diriger du côté de chez Mélanie Aerdan. Ah, le gentil ! Il allait s’occuper de voir si tout allait bien chez les habitants pauvres avant de se rendre à la réunion urgente ! C’était vraiment un saint homme, son papa ! Plus grand, c’est sûr, il voudrait être comme lui ! Ni une, ni deux, Friedrich appela son père qui sursauta comme si on venait de le surprendre et referma la porte de Mélanie à la volée. Il semblait très mal à l’aise, mais se recomposa un sourire lorsqu’il vit que ce n’était que Friedrich qui lui apportait son chapeau. Se saisissant du couvre-chef, il remercia son fils et le renvoya chez sa mère au plus vite en lui disant de ne plus revenir le déranger pour de telles choses, parce qu’il avait « du travail à faire »...

Tout content de lui, l’enfant retourna dans sa maison et oublia bien vite cet épisode pour se reporter sur les cadeaux. Il était grand temps de les ouvrir !

Si seulement il avait su… Si seulement il avait mis au courant sa mère…
Lien fiche wiki : http://warforum-jdr.com/wiki-v2/doku.ph ... ich_hadler

Profil : FOR 10 / END 11 / HAB 10 (9*) / CHAR 10 / INT 10 / INI 10 / ATT 14 (13*) / PAR 14 (13*) / TIR 11 / NA 3 / PV 85/85
*: profil avec armure (bonus des compétences non inclus)

Compétences :
• Sang-froid : Votre personnage a ce qu'on appelle des «nerfs d'acier». Il sait rester maître de lui-même dans les situations les plus dangereuses. Bonus de +1 sur n'importe laquelle de ses caractéristiques lors de la réalisation d'une action dans un climat de stress et de tension mentale.

• Coups puissants : augmente les dégâts occasionnés à ses adversaires de + 1D3 pts de dégâts.

• Autorité : bonus de +1 lorsque, confronté à des militaires, il essaye de faire prévaloir son autorité, ses ordres etc.,

• Arme de prédilection : épées à une main : Bonus de +1 en ATT lorsqu'il en utilise en combat. Par contre, lorsqu'il utilise une autre arme que son arme de prédilection, il reçoit un malus de -1 en ATT et en PAR pendant les 1D3 premiers combats qu'il livrera avec cette arme, le temps qu'il s'y adapte.

• Alphabétisation : Votre personnage est capable de lire et d'écrire les langages utilisant l'alphabet du vieux monde s'il comprend ce langage.

• Langage secret : jargon de bataille : Votre personnage sait parler le jargon des batailles.

• Anticipation : Votre personnage, au combat, arrive à prévoir les réactions d'un ennemi. Pour analyser le style de combat de son adversaire direct, il lui faudra 2 rounds entiers. A partir du 3ème round, cette compétence lui permet d'avoir un bonus de +1 en ATT et en PAR contre ce seul adversaire. (Pour bénéficier de ce bonus contre un autre adversaire, il lui faudra l'avoir combattu pendant au moins 2 rounds)

• Adresse au tir (arcs) : +1 en TIR avec un arc.

• Volonté de Fer : Votre personnage se révèle être particulièrement très résistants à la peur, aux attaques mentales et à tout ce qui pourrait tenter de briser sa volonté. Il obtient +1 aux tests pour résister à un contrôle mental, à la peur etc…

• Parade : Double les points de parade de l'arme ou du bouclier utilisé.

• Coriace : Diminue de 1D3 les dégâts subis (jusqu'à un minimum de 1).

•Réflexes éclairs : +1 aux test INI en réaction à la surprise.


Equipement de combat : • Devoir (épée à une main) (18 +1D10, 12 Parade) Les morts-vivants, les démons etc… Que la lame touche subissent 1d6 dégâts de plus
• Bouclier d'acier (6+1d6 dégâts, 16 parade)
• Epée à une main (16 +1D8, 12 Parade)
• Cotte de mailles (9 protection, tout sauf tête -1 HAB, ATT et PAR)
• Arc court (26+1D8, -2 TIR/16 m)

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